<Protecteur de l'Ange>
Posted: 24 Apr 2005, 10:53
bonjour j'ai refai le BG beaucoup de fois toujour amélioré voila la fin je ne pense pas faire mieux!!!:
Un matin d’hiver, alors qu’une fine pluie tombait depuis quelques heures, les deux amis Tirkpi et Ploixi se retrouvèrent à la taverne du « chevalier ».
Les deux hommes se parlèrent de leurs problèmes tout en buvant une cervoise de leur contrée.
Soudain un homme fit irruption dans la taverne et la porte pourtant solide alla heurter le mur de l’unique salle en faisant grincer ses gonds.
On pouvait distinguer malgré l’obscurité de la taverne la peur sur le visage détrempé de l’homme. Celui-ci s’avança haletant dans la salle en direction des deux amis.
Arrivé à hauteur des deux hommes il se pencha et leur chuchota :
« Généraux Tirkpi, Ploixi !! Nos sentinelles ont repérées une avant-garde de légionnaires dans nos forêts.
Les deux compagnons se regardèrent .Tirkpi se leva et mit la main au fourreau de son épée.
Tout en se dirigeant vers le donjon, il ordonna aux habitants de se barricader dans leur maison.
Pendant ce temps là, Ploixi ordonnait aux armés de se préparer et passait entre les sentinelles pour recueillir des informations supplémentaires.
Quelques minutes plus tard, Ploixi et Tirkpi se vêtirent d’un heaume, d’un haubert et d’une armure de maille gravés du cheval argenté de leur village et enfourchèrent leur destrier. Ils rassemblèrent à leur côté les soldats qui leur étaient fidèle et se mirent en route. Après quelques minutes de galop dans la nuit sombre, il s’arrêtèrent au milieu d’un champ emplit d’eau. Ils attendirent là silencieux dans l’humidité.
Soudain surgi de la lisière de la foret une rangée de torches. Les bruits des sabots des chevaux galopant dans l’eau s’arrêtèrent et laissèrent place à un silence pesant et inquiétant. La matinée commencée à peine quand les missionnaires du mal commencèrent à s’agiter. Soudain un couloir se dessina entre les soldats vêtus de noir et de rouge et apparu un cortége de cavaliers richement parés et se tenait au milieu un homme donc la taille et l’envergure ne pouvait laisser indifférent.
Celui-ci sorti du cortége et s’avancé dans la plaine. Les généraux Trikpi et Ploixi s’avancèrent et firent face à ce serviteur du mal.
L’aube commençait à se lever et le vent inclinait doucement les brins d’herbe quand le général Tirkpi se mit à hurler à l’intention du chef des légionnaires :
« Partez, vous êtes nullement les bienvenues en ces terres, elles appartiennent à nos ancêtres et vous les souillez en venant perturber cette calme matinée. Je vous le répète : partez ! Ou vous serrez chassés pas la force de ce contrée jusqu’au dernier. En foulant cette prairie vous avez attiré notre courroux, votre avenir ne se résume qu’à deux mots : la mort !!
Le calme revient dans la prairie et les paroles de Trikpi continuèrent de résonner dans la prairie comme si elles étaient portées par la faible brise.
Ne voyant aucune réaction dans les rangs des missionnaires, Ploixi mis la main au fourreau et en retira son arme : un épée magnifique, forgée par ses ancêtres et qui servit bien des fois à combattre le mal. Alors qu’il levait son épée dans les cieux, tous ses soldats firent de même. Les chevaux commencèrent à s’agiter et Tirkpi tout en calmant sa jument blanche ajusta son bouclier à son bras et sortit son épée.
Le temps était comme arrêté et soudain Ploixi abaissa son épée…Tous les soldats aux insignes du cheval argenté changèrent, la prairie secouée par les le fracas des sabots des chevaux fut bientôt noyée sous le cris. Les cris de guerre laissèrent bientôt place a un grand fracas, les soldats se percutèrent, les armes s’emplirent de sang…S’en suivit une bataille acharnée entre les deux camps, chacun prenant a son tour l’avantage sur l’autre. L’herbe verte avait laissé place à une mare de sang dans laquelle s’entassée les corps des soldats terrassés.
Mais l’armée de Tirkpi et Ploixi était beaucoup moins nombreuse que celle des légionnaires. C’est ainsi que l’armée du mal commença a prendre le dessus et les généraux Tirkpi et Ploixi se retrouvèrent vite encerclés avec quelques un de leurs meilleurs soldats. C’est à ce moment la que les armées du mal s’arrêtèrent et firent silence. Un homme s’avança, il était couvert de sang et on ne voyait de la tête que ces yeux vert se détachant de sa peau tachée de rouge.
Il se mit à rire et déclara : « Tes ancêtres ne t’ont pas protégés a ce que je vois. Vous ne pouvez rien faire contre les forces du mal… Lucifer nous porte et nous protége. Soumettez vous à lui ou vous mourez. »
Ploixi s’agenouilla pour faire croire à sa soumission et attrapa une dague posée sur le sol. Il se releva et alla l’enfoncer dans les côtes de l’homme. Celui-ci prit par surprise laissa échapper un cri de surprise et de douleur. Alors que sur tous les visages des soldats au cheval argenté, se lissaient la satisfaction et la vengeance, les soldats du mal sortirent leurs armes et se remirent à combattre… Alors que le bruit des armes s’entrechoquant résonnait la plaine, les nuages s’écartèrent et laissèrent place à un ciel bleu emplit de soleil. Les rayons du soleil vinrent éclairer la campagne faisant briller les chevaux argentés des armures. Les combats continuaient dans cette atmosphère chaude et alors que les soldats de Trikpi et Ploixi se faisaient rares dans la plaine, les rayons du soleil se firent de plus en plus fort. Alors que cette lumière se faisait aveuglante, surgit d’entre les rayons un corps humain.
Tous les rayons de la clairière convergeaient vers son centre où se trouvait ce corps. Survolant les combats, ce corps avait des allures féminines… Elle s’approcha de Trikpi et de Ploixi, leur mit la main sur l’épaule et disparurent.
Trois jours plus tard, Trikpi se réveilla dans un lit mœlleu, il porta la main a son flanc ou il pensait trouver une profonde cicatrice due à la dague d’un soldat mais ni trouva rien, il se relevât et fit le tour de la pièce dans l’espoir d’obtenir des réponses a ses questions. La pièce était assez grande et les murs étaient couverts de tissu blancs, il régnait dans cette pièce un atmosphère de bien être et de joie. Il sorti de la pièce et découvrit un long couloir donnant sur un patio dans lequel était assis la femme qu’il avait vue quelques jours plus tôt. Lorsqu’il s’approché, il remarqua la beauté de la jeune femme, celle-ci était tellement éblouissante qu’il ne fut pas choqué de la présence de deux ailes dans son dos. Voulant partager la beauté de cette femme avec son frère Ploixi, il parti à sa recherche et le trouva dans une salle similaire à la sienne. Il s’approcha de lui et lui chuchota dans l’oreille : « Ploixi ! Ploixi réveille toi… Il secoua gentiment son frère qui commença à s’éveiller. Celui-ci semblait mécontent qu’on le réveil puis ouvrant les yeux, il se figea…
Tirkpi voulant savoir d’où venait cette stupeur se retourna et découvrit dans l’encadrement de la porte la femme qui avait éveillé son émerveillement.
Elle lui sembla encore plus belle, ses cheveux couleur d’or étaient coiffés de la façon la plus belle qu’il ait jamais vu : des mèches de cheveux lui tombait devant les yeux et des tresses couleur argent formaient un chignon sur l’arrière de sa tête.
Cette femme superbe s’approcha d’eux révélant deux ailes dans son dos.
Puis elle se mit à leur parler dune voie douce et sensuelle: «Vous êtes ici chez moi, je vous ai choisi permît les hommes des trois royaumes pour prendre soin de moi. Alors que vous alliez mourir dans cette plaine, je vous ai recueilli car je pensais que vous étiez les hommes dont j’avais besoin.
En échange de votre vie, je ne vous demande que de me protéger et de proférer mes paroles. Ainsi vous serez amenés à réunir des êtres de tous les royaumes dans le but de répandre mes paroles de paix.
Les deux hommes étourdis par la beauté de l’ange et par ses paroles se regardèrent et acceptèrent la lourde tache que leur avait confiée l’ange.
Celle-ci les renvoya sur terre ou il découvrir l’envergure de leur tache ainsi que des pouvoirs qui leur avait été conférés par l’ange.
Ainsi les deux hommes bâtirent la campagne à la recherche de soutien et mirent en place le culte de l’ange.
il a été fait par Milamberg et Tirkpi en aide ainsi que ploixi et Prota nous quatres avons fait de notre mieux pour reussir cette guilde
Un matin d’hiver, alors qu’une fine pluie tombait depuis quelques heures, les deux amis Tirkpi et Ploixi se retrouvèrent à la taverne du « chevalier ».
Les deux hommes se parlèrent de leurs problèmes tout en buvant une cervoise de leur contrée.
Soudain un homme fit irruption dans la taverne et la porte pourtant solide alla heurter le mur de l’unique salle en faisant grincer ses gonds.
On pouvait distinguer malgré l’obscurité de la taverne la peur sur le visage détrempé de l’homme. Celui-ci s’avança haletant dans la salle en direction des deux amis.
Arrivé à hauteur des deux hommes il se pencha et leur chuchota :
« Généraux Tirkpi, Ploixi !! Nos sentinelles ont repérées une avant-garde de légionnaires dans nos forêts.
Les deux compagnons se regardèrent .Tirkpi se leva et mit la main au fourreau de son épée.
Tout en se dirigeant vers le donjon, il ordonna aux habitants de se barricader dans leur maison.
Pendant ce temps là, Ploixi ordonnait aux armés de se préparer et passait entre les sentinelles pour recueillir des informations supplémentaires.
Quelques minutes plus tard, Ploixi et Tirkpi se vêtirent d’un heaume, d’un haubert et d’une armure de maille gravés du cheval argenté de leur village et enfourchèrent leur destrier. Ils rassemblèrent à leur côté les soldats qui leur étaient fidèle et se mirent en route. Après quelques minutes de galop dans la nuit sombre, il s’arrêtèrent au milieu d’un champ emplit d’eau. Ils attendirent là silencieux dans l’humidité.
Soudain surgi de la lisière de la foret une rangée de torches. Les bruits des sabots des chevaux galopant dans l’eau s’arrêtèrent et laissèrent place à un silence pesant et inquiétant. La matinée commencée à peine quand les missionnaires du mal commencèrent à s’agiter. Soudain un couloir se dessina entre les soldats vêtus de noir et de rouge et apparu un cortége de cavaliers richement parés et se tenait au milieu un homme donc la taille et l’envergure ne pouvait laisser indifférent.
Celui-ci sorti du cortége et s’avancé dans la plaine. Les généraux Trikpi et Ploixi s’avancèrent et firent face à ce serviteur du mal.
L’aube commençait à se lever et le vent inclinait doucement les brins d’herbe quand le général Tirkpi se mit à hurler à l’intention du chef des légionnaires :
« Partez, vous êtes nullement les bienvenues en ces terres, elles appartiennent à nos ancêtres et vous les souillez en venant perturber cette calme matinée. Je vous le répète : partez ! Ou vous serrez chassés pas la force de ce contrée jusqu’au dernier. En foulant cette prairie vous avez attiré notre courroux, votre avenir ne se résume qu’à deux mots : la mort !!
Le calme revient dans la prairie et les paroles de Trikpi continuèrent de résonner dans la prairie comme si elles étaient portées par la faible brise.
Ne voyant aucune réaction dans les rangs des missionnaires, Ploixi mis la main au fourreau et en retira son arme : un épée magnifique, forgée par ses ancêtres et qui servit bien des fois à combattre le mal. Alors qu’il levait son épée dans les cieux, tous ses soldats firent de même. Les chevaux commencèrent à s’agiter et Tirkpi tout en calmant sa jument blanche ajusta son bouclier à son bras et sortit son épée.
Le temps était comme arrêté et soudain Ploixi abaissa son épée…Tous les soldats aux insignes du cheval argenté changèrent, la prairie secouée par les le fracas des sabots des chevaux fut bientôt noyée sous le cris. Les cris de guerre laissèrent bientôt place a un grand fracas, les soldats se percutèrent, les armes s’emplirent de sang…S’en suivit une bataille acharnée entre les deux camps, chacun prenant a son tour l’avantage sur l’autre. L’herbe verte avait laissé place à une mare de sang dans laquelle s’entassée les corps des soldats terrassés.
Mais l’armée de Tirkpi et Ploixi était beaucoup moins nombreuse que celle des légionnaires. C’est ainsi que l’armée du mal commença a prendre le dessus et les généraux Tirkpi et Ploixi se retrouvèrent vite encerclés avec quelques un de leurs meilleurs soldats. C’est à ce moment la que les armées du mal s’arrêtèrent et firent silence. Un homme s’avança, il était couvert de sang et on ne voyait de la tête que ces yeux vert se détachant de sa peau tachée de rouge.
Il se mit à rire et déclara : « Tes ancêtres ne t’ont pas protégés a ce que je vois. Vous ne pouvez rien faire contre les forces du mal… Lucifer nous porte et nous protége. Soumettez vous à lui ou vous mourez. »
Ploixi s’agenouilla pour faire croire à sa soumission et attrapa une dague posée sur le sol. Il se releva et alla l’enfoncer dans les côtes de l’homme. Celui-ci prit par surprise laissa échapper un cri de surprise et de douleur. Alors que sur tous les visages des soldats au cheval argenté, se lissaient la satisfaction et la vengeance, les soldats du mal sortirent leurs armes et se remirent à combattre… Alors que le bruit des armes s’entrechoquant résonnait la plaine, les nuages s’écartèrent et laissèrent place à un ciel bleu emplit de soleil. Les rayons du soleil vinrent éclairer la campagne faisant briller les chevaux argentés des armures. Les combats continuaient dans cette atmosphère chaude et alors que les soldats de Trikpi et Ploixi se faisaient rares dans la plaine, les rayons du soleil se firent de plus en plus fort. Alors que cette lumière se faisait aveuglante, surgit d’entre les rayons un corps humain.
Tous les rayons de la clairière convergeaient vers son centre où se trouvait ce corps. Survolant les combats, ce corps avait des allures féminines… Elle s’approcha de Trikpi et de Ploixi, leur mit la main sur l’épaule et disparurent.
Trois jours plus tard, Trikpi se réveilla dans un lit mœlleu, il porta la main a son flanc ou il pensait trouver une profonde cicatrice due à la dague d’un soldat mais ni trouva rien, il se relevât et fit le tour de la pièce dans l’espoir d’obtenir des réponses a ses questions. La pièce était assez grande et les murs étaient couverts de tissu blancs, il régnait dans cette pièce un atmosphère de bien être et de joie. Il sorti de la pièce et découvrit un long couloir donnant sur un patio dans lequel était assis la femme qu’il avait vue quelques jours plus tôt. Lorsqu’il s’approché, il remarqua la beauté de la jeune femme, celle-ci était tellement éblouissante qu’il ne fut pas choqué de la présence de deux ailes dans son dos. Voulant partager la beauté de cette femme avec son frère Ploixi, il parti à sa recherche et le trouva dans une salle similaire à la sienne. Il s’approcha de lui et lui chuchota dans l’oreille : « Ploixi ! Ploixi réveille toi… Il secoua gentiment son frère qui commença à s’éveiller. Celui-ci semblait mécontent qu’on le réveil puis ouvrant les yeux, il se figea…
Tirkpi voulant savoir d’où venait cette stupeur se retourna et découvrit dans l’encadrement de la porte la femme qui avait éveillé son émerveillement.
Elle lui sembla encore plus belle, ses cheveux couleur d’or étaient coiffés de la façon la plus belle qu’il ait jamais vu : des mèches de cheveux lui tombait devant les yeux et des tresses couleur argent formaient un chignon sur l’arrière de sa tête.
Cette femme superbe s’approcha d’eux révélant deux ailes dans son dos.
Puis elle se mit à leur parler dune voie douce et sensuelle: «Vous êtes ici chez moi, je vous ai choisi permît les hommes des trois royaumes pour prendre soin de moi. Alors que vous alliez mourir dans cette plaine, je vous ai recueilli car je pensais que vous étiez les hommes dont j’avais besoin.
En échange de votre vie, je ne vous demande que de me protéger et de proférer mes paroles. Ainsi vous serez amenés à réunir des êtres de tous les royaumes dans le but de répandre mes paroles de paix.
Les deux hommes étourdis par la beauté de l’ange et par ses paroles se regardèrent et acceptèrent la lourde tache que leur avait confiée l’ange.
Celle-ci les renvoya sur terre ou il découvrir l’envergure de leur tache ainsi que des pouvoirs qui leur avait été conférés par l’ange.
Ainsi les deux hommes bâtirent la campagne à la recherche de soutien et mirent en place le culte de l’ange.
il a été fait par Milamberg et Tirkpi en aide ainsi que ploixi et Prota nous quatres avons fait de notre mieux pour reussir cette guilde