[BG] Merculrik
Posted: 21 Jul 2009, 14:40
I) la jeunesse de Merculrik
Etant doué en chant depuis mon jeune âge, j’ai choisi de poursuivre des études dans ce domaine. N’ayant pas connu mes parents j’ai toujours été autodidacte, jusqu'à ce que j’eusse dix-sept cycles. Pendant l’une de mes représentations à la cour d’un illustre prince, alors que mes vocales hypnotisaient une fois de plus tous mon publique, je fus surpris qu’un personnage me fixait de ces yeux brûlants, alors que tous les autres me regardaient avide d’entendre la suite, espérant que ce moment ne finisse jamais. Qui était-il pour me défier ainsi, lui seul auquel mon pouvoir ne pouvait atteindre.
Une fois le spectacle fini, quelqu’un vint toquer à la porte de ma loge.
Persuadé que c’était cet homme je n’osais à peine ouvrir, mais je n’en eu pas besoin, car il apparût devant moi sans que rien ne bouge. Ce très vieille homme vêtu de noir se mis à rire en voyant ma tête, car j’étais complètement abasourdi.
C’est ainsi que mon Mentor fit connaissance avec moi. Je savais que j’avais un pouvoir à travers mes chants, mais lui en savait beaucoup plus. Après avoir entendu parler de moi, Krakenis, tel était son nom, voulu m’entendre chanter pour être sur que je puisse être son disciple.
Grâce à son rude enseignement, je sus parfaitement maîtriser ma voix, mais plus simplement à des fins artistiques, car en fonction du ton de ma voix et des paroles qui jaillissent de ma gorge, peut se créer des mélodies noires me permettant d’acquérir des pouvoirs surhumains, comme me déplacer à la vitesse d’un cheval au galop, soigner mes blessures et bien d’autre encore.
En plus d’être mon Maître, il devint comme le père que je n’avais jamais eu. J’avais enfin un exemple à suivre, mais après quelques années il décida qu’il était temps pour moi de passé au stade suivant.
Je me rendis compte que son plan était démoniaque, et qu’il voulait faire de moi un soldat maléfique. Chaque chant qu’il m’enseignait devenait de plus en plus lugubre, et les sorts qui en ressortaient avaient pour but de vaincre, voir même de tuer. J’avais une confiance total en lui, et lorsque je me posais la question de savoir si je faisais bien, je savais quoi me répondre, je faisais mal et ça me plaisait. Je devenais encore plus intéressé chaque jour, mais l’apprentissage de tous ces sorts arriva à son terme.
Krakenis décida qu’il fallait que j’affronte un adversaire à fin de mesurer mes pouvoirs. Il me donna une mission : je devais voler les parchemins de résurrection d’un vieux prêtre, habitant un manoir au beau milieu d’une forêt.
Après m'être rendu sur place pendant la nuit, je gravis le mur de l’enceinte, mais là, quelle surprise, le prêtre m’attendait accompagné de trois hommes en armes. En un instant il ordonna que l’on me saisisse, mais il n’avait pas prévu que même attaché, mes chants pouvaient les atteindre.
Pourtant je décidai de me taire, afin d’attendre le bon moment pour agir. Le prêtre me dit qu’il savait ma venue, car il avait, lors de ça dernière séance rituelle, eu une vision de moi le terrassant. Depuis il avait engagé ses trois mercenaires afin de garantir ça sécurité. Malgré sa vision, il ne voulait pas me tuer, de part son ordre premièrement, mais aussi car il était d’alignement bon. Une fois dans son salon, je fus attaché sur un fauteuil puis les gardes nous laissèrent.
Alors qu’il s’apprêta à ouvrir la bouche pour en savoir plus sur moi, je pris la parole pour lui demander directement où ce trouvait les parchemins magiques. Il fut surpris que je les connaisse, mais se reprit vite, pour me dire :
_ « C’est donc pour cela que tu es venu, ces parchemins sont sacrés, il est hors de question que je te les donne ! Demain nous iront voir les autorités et tu seras jeté en prison !
_ Très bien, puisque tu ne veux pas me les donner, je te ferai avouer où tu les caches. »
Je me mis à chanter un sort de paralysie, me détacha aisément de mes liens et me dirigea vers le prêtre.
_ « Je répètes ma question, où caches tu ces parchemins ? dit le moi ou je vais devoir te tuer à petit feu ! »
Je ne me savais pas si machiavélique, mais je fus fière de la peur que j’exerçais sur le saint homme. Comme il refusait de répondre je commençai à sortir des sons de plus en plus horrible, des notes discordantes qui atteignaient directement sont cerveau et lui créaient de terribles douleurs.
Il tenta de crier pour avertir les gardes, donc j’intensifiai sa douleur ce qui eu vite fait de le calmer. Au bout de dix minutes il me supplia d’arrêter et me dit où se trouvaient les parchemins. Malheureusement ils n’étaient pas dans cette pièce et le manoir était grand et gardé par les trois mercenaires.
Je lui demandai donc d’appeler les gardes un par un, ce qu’il fit sans trop d’hésitation. Mes chants paralysèrent chacun d’entre eux, et par sécurité je décidai de les tuer. Ils furent mes premiers meurtres. Je me retournai vers le prêtre terrorisé et lui dit que je lui réservais le même sort s’il ne me disait pas la vérité. Mais le prêtre ne m’avait pas menti, je trouvai les parchemins et retournai le voir.
Lui s’était remis de sa paralysie, avait pris l’une des armes des gardes et m’attendait de pied ferme.
Je rentrai dans le salon et là il m’assena un coup d’épée dont j’ai encore la cicatrice sur le bras. La haine monta en moi et je fis explosé sa cervelle d’une note des plus affreuse qu’Amtenael connu de son existence.
Ma mission accomplie, fière de mon efficacité je pris le pas pour rentrer chez mon Maître. Une fois arrivé Krakenis me félicita et me confia qu’il n’avait plus rien à m’apprendre. Que, dès lors, je ne devrais plus revenir chez lui, car il devait se pencher sur l’étude de ses parchemins, afin d’en apprendre leurs pouvoirs. Je fus triste de cette nouvelle car il était pour moi ma seule famille, mais il insista.
Je parti donc trouver l’aventure, et à force de vagabonder dans les endroits les plus sordide, tout en perfectionnant mes techniques et multipliant les meurtres, je fini par apprendre l’existence d’une confrérie secrète, adoratrice de Lucifer, propageant le mal.
Quelque cycles plus tard, Je décidai donc de retourner voir mon Mentor pour plus d’explication sur elle, malgré ses mises en garde à propos qu’il ne fallait plus que je revienne.
Lorsqu’il m’ouvrit je le vis extrêmement contrarier de voir que ce fut moi et me dit :
_ « Merculrik, mon meilleur disciple, pourquoi as tu décidé de me désobéir ? C’est la mort qui t’attend maintenant ! »
Et il commença à incanter un sort, je savais qu’il connaissait tous les miens, donc qu’ils n’auraient aucun effet sur lui. Mais durant l’année que je venais de passé seul, j’eusse appris l’art de l’épée afin d’être sur de pouvoir me sortir de bien des dilemmes. Je tirai la lame de mon fourreau et lui planta dans le ventre.
Après un terrible crie de douleur Krakenis me dit allongé sur le sol :
_ « Je voulais simplement te tuer pour mieux te ressusciter… j’ai enfin réussi à maîtriser les parchemins… moi qui croyait t'avoir tout appris, je vois que la vie extérieur t'a permis d’être encore plus fort que moi…
_ Maître, non ! Ne mourez pas ! Je ne voulais pas vous tuer, mais vous me menaciez !
_ Qu’il en soit ainsi… fichu paradoxe, savoir redonner la vie à quelqu’un et mourir sans pouvoir le faire soit même… pourquoi es tu revenu ?
_ Je souhaitais avoir des renseignements sur une confrérie maléfique adoratrice de Lucifer. »
Krakenis parut d’abord surpris, puis après un léger point de réflexion s’exclama tout en crachant du sang :
_ « Bien sur, il s’agit de la Légion Noire, si je n’avais pas été si solitaire j’aurais fait parti de celle-ci, et puis j’ai fini par l’oublier… si elle est venue à tes oreilles, c’est que tu conviens de par ton tempérament à en être membre. Elle sera ta nouvelle famille. Lorsque j’étais jeune, il y a très longtemps, un être démoniaque nommé Drak vint me rendre visite afin de me recruter. A l’époque je pensais n’avoir besoin de personne, et déclina son offre. Je n’en sais pas plus. »
Et il mourut de ses blessures. Je fis un bucher en son honneur et repris mon chemin.
Maintenant je n’avais plus qu’une idée en tête, trouver cet Ordre ténébreux pour en devenir membre.
Etant doué en chant depuis mon jeune âge, j’ai choisi de poursuivre des études dans ce domaine. N’ayant pas connu mes parents j’ai toujours été autodidacte, jusqu'à ce que j’eusse dix-sept cycles. Pendant l’une de mes représentations à la cour d’un illustre prince, alors que mes vocales hypnotisaient une fois de plus tous mon publique, je fus surpris qu’un personnage me fixait de ces yeux brûlants, alors que tous les autres me regardaient avide d’entendre la suite, espérant que ce moment ne finisse jamais. Qui était-il pour me défier ainsi, lui seul auquel mon pouvoir ne pouvait atteindre.
Une fois le spectacle fini, quelqu’un vint toquer à la porte de ma loge.
Persuadé que c’était cet homme je n’osais à peine ouvrir, mais je n’en eu pas besoin, car il apparût devant moi sans que rien ne bouge. Ce très vieille homme vêtu de noir se mis à rire en voyant ma tête, car j’étais complètement abasourdi.
C’est ainsi que mon Mentor fit connaissance avec moi. Je savais que j’avais un pouvoir à travers mes chants, mais lui en savait beaucoup plus. Après avoir entendu parler de moi, Krakenis, tel était son nom, voulu m’entendre chanter pour être sur que je puisse être son disciple.
Grâce à son rude enseignement, je sus parfaitement maîtriser ma voix, mais plus simplement à des fins artistiques, car en fonction du ton de ma voix et des paroles qui jaillissent de ma gorge, peut se créer des mélodies noires me permettant d’acquérir des pouvoirs surhumains, comme me déplacer à la vitesse d’un cheval au galop, soigner mes blessures et bien d’autre encore.
En plus d’être mon Maître, il devint comme le père que je n’avais jamais eu. J’avais enfin un exemple à suivre, mais après quelques années il décida qu’il était temps pour moi de passé au stade suivant.
Je me rendis compte que son plan était démoniaque, et qu’il voulait faire de moi un soldat maléfique. Chaque chant qu’il m’enseignait devenait de plus en plus lugubre, et les sorts qui en ressortaient avaient pour but de vaincre, voir même de tuer. J’avais une confiance total en lui, et lorsque je me posais la question de savoir si je faisais bien, je savais quoi me répondre, je faisais mal et ça me plaisait. Je devenais encore plus intéressé chaque jour, mais l’apprentissage de tous ces sorts arriva à son terme.
Krakenis décida qu’il fallait que j’affronte un adversaire à fin de mesurer mes pouvoirs. Il me donna une mission : je devais voler les parchemins de résurrection d’un vieux prêtre, habitant un manoir au beau milieu d’une forêt.
Après m'être rendu sur place pendant la nuit, je gravis le mur de l’enceinte, mais là, quelle surprise, le prêtre m’attendait accompagné de trois hommes en armes. En un instant il ordonna que l’on me saisisse, mais il n’avait pas prévu que même attaché, mes chants pouvaient les atteindre.
Pourtant je décidai de me taire, afin d’attendre le bon moment pour agir. Le prêtre me dit qu’il savait ma venue, car il avait, lors de ça dernière séance rituelle, eu une vision de moi le terrassant. Depuis il avait engagé ses trois mercenaires afin de garantir ça sécurité. Malgré sa vision, il ne voulait pas me tuer, de part son ordre premièrement, mais aussi car il était d’alignement bon. Une fois dans son salon, je fus attaché sur un fauteuil puis les gardes nous laissèrent.
Alors qu’il s’apprêta à ouvrir la bouche pour en savoir plus sur moi, je pris la parole pour lui demander directement où ce trouvait les parchemins magiques. Il fut surpris que je les connaisse, mais se reprit vite, pour me dire :
_ « C’est donc pour cela que tu es venu, ces parchemins sont sacrés, il est hors de question que je te les donne ! Demain nous iront voir les autorités et tu seras jeté en prison !
_ Très bien, puisque tu ne veux pas me les donner, je te ferai avouer où tu les caches. »
Je me mis à chanter un sort de paralysie, me détacha aisément de mes liens et me dirigea vers le prêtre.
_ « Je répètes ma question, où caches tu ces parchemins ? dit le moi ou je vais devoir te tuer à petit feu ! »
Je ne me savais pas si machiavélique, mais je fus fière de la peur que j’exerçais sur le saint homme. Comme il refusait de répondre je commençai à sortir des sons de plus en plus horrible, des notes discordantes qui atteignaient directement sont cerveau et lui créaient de terribles douleurs.
Il tenta de crier pour avertir les gardes, donc j’intensifiai sa douleur ce qui eu vite fait de le calmer. Au bout de dix minutes il me supplia d’arrêter et me dit où se trouvaient les parchemins. Malheureusement ils n’étaient pas dans cette pièce et le manoir était grand et gardé par les trois mercenaires.
Je lui demandai donc d’appeler les gardes un par un, ce qu’il fit sans trop d’hésitation. Mes chants paralysèrent chacun d’entre eux, et par sécurité je décidai de les tuer. Ils furent mes premiers meurtres. Je me retournai vers le prêtre terrorisé et lui dit que je lui réservais le même sort s’il ne me disait pas la vérité. Mais le prêtre ne m’avait pas menti, je trouvai les parchemins et retournai le voir.
Lui s’était remis de sa paralysie, avait pris l’une des armes des gardes et m’attendait de pied ferme.
Je rentrai dans le salon et là il m’assena un coup d’épée dont j’ai encore la cicatrice sur le bras. La haine monta en moi et je fis explosé sa cervelle d’une note des plus affreuse qu’Amtenael connu de son existence.
Ma mission accomplie, fière de mon efficacité je pris le pas pour rentrer chez mon Maître. Une fois arrivé Krakenis me félicita et me confia qu’il n’avait plus rien à m’apprendre. Que, dès lors, je ne devrais plus revenir chez lui, car il devait se pencher sur l’étude de ses parchemins, afin d’en apprendre leurs pouvoirs. Je fus triste de cette nouvelle car il était pour moi ma seule famille, mais il insista.
Je parti donc trouver l’aventure, et à force de vagabonder dans les endroits les plus sordide, tout en perfectionnant mes techniques et multipliant les meurtres, je fini par apprendre l’existence d’une confrérie secrète, adoratrice de Lucifer, propageant le mal.
Quelque cycles plus tard, Je décidai donc de retourner voir mon Mentor pour plus d’explication sur elle, malgré ses mises en garde à propos qu’il ne fallait plus que je revienne.
Lorsqu’il m’ouvrit je le vis extrêmement contrarier de voir que ce fut moi et me dit :
_ « Merculrik, mon meilleur disciple, pourquoi as tu décidé de me désobéir ? C’est la mort qui t’attend maintenant ! »
Et il commença à incanter un sort, je savais qu’il connaissait tous les miens, donc qu’ils n’auraient aucun effet sur lui. Mais durant l’année que je venais de passé seul, j’eusse appris l’art de l’épée afin d’être sur de pouvoir me sortir de bien des dilemmes. Je tirai la lame de mon fourreau et lui planta dans le ventre.
Après un terrible crie de douleur Krakenis me dit allongé sur le sol :
_ « Je voulais simplement te tuer pour mieux te ressusciter… j’ai enfin réussi à maîtriser les parchemins… moi qui croyait t'avoir tout appris, je vois que la vie extérieur t'a permis d’être encore plus fort que moi…
_ Maître, non ! Ne mourez pas ! Je ne voulais pas vous tuer, mais vous me menaciez !
_ Qu’il en soit ainsi… fichu paradoxe, savoir redonner la vie à quelqu’un et mourir sans pouvoir le faire soit même… pourquoi es tu revenu ?
_ Je souhaitais avoir des renseignements sur une confrérie maléfique adoratrice de Lucifer. »
Krakenis parut d’abord surpris, puis après un léger point de réflexion s’exclama tout en crachant du sang :
_ « Bien sur, il s’agit de la Légion Noire, si je n’avais pas été si solitaire j’aurais fait parti de celle-ci, et puis j’ai fini par l’oublier… si elle est venue à tes oreilles, c’est que tu conviens de par ton tempérament à en être membre. Elle sera ta nouvelle famille. Lorsque j’étais jeune, il y a très longtemps, un être démoniaque nommé Drak vint me rendre visite afin de me recruter. A l’époque je pensais n’avoir besoin de personne, et déclina son offre. Je n’en sais pas plus. »
Et il mourut de ses blessures. Je fis un bucher en son honneur et repris mon chemin.
Maintenant je n’avais plus qu’une idée en tête, trouver cet Ordre ténébreux pour en devenir membre.