Posted: 19 Jul 2009, 09:32
Les échecs des uns…
Une fois sortie de la taverne, Farisa aperçu un grand homme en armure, assez beau, aux traits masculins. Elle le reconnu : elle lui avait déjà parlé une fois… C'est un homme qui détestait les sarrasines, et n'avait pas hésité à le lui cracher à la figure, la dernière fois.
Farisa lui fit un clin d'œil de loin, en le fixant du regard.
L'homme, concentré, sérieux et droit, s'avança alors vers la sarrasine.
"Bonsoir, on s'est déjà rencontré, non?", dit Farisa en se mordant la lèvre, une voix faussement délicieuse.
"Il est vrai que nous nous sommes déjà rencontrés. Que voulez-vous?", répliqua sèchement le guerrier.
"Oh… je ne voulais que faire plus ample connaissance", dit-elle d'un air mielleux et inoffensif.
Le soldat rougit, et baissa alors sa garde psychologique. Ils se présentèrent : lui, c'était Achilles. Farisa lui demanda alors, pourquoi il était rebuté par sa présence, au début. Il lui répliqua qu'il n'aimait pas les sarrasines, qu'il les trouvait laides. Parfait pour elle, se disait Farisa! C'est un défi qui aurait titillé l'égo de n'importe quelle fille comme Farisa : plus l'homme la rejetait, plus il "fallait" qu'elle le conquière!
Farisa lui joua alors le tour de la fille impressionnée, lui faisant indirectement quelques avances. Et petit à petit, Achilles devint de moins en moins insensible aux battements de cils de la jeune brune. Tant bien même qu'il lui proposa de lui-même, de trouver un coin tranquille pour se reposer.
Comblée, elle le suivit au bord d'un lac, au Nord de Hoth. Sur la plage, le guerrier était maintenant pressé de s'asseoir contre Farisa. Ils discutèrent de comment Achilles perdit sa femme, tuée par l'énorme chef Aegis, Vrrogg, sur l'ancien monde. Farisa se saisit de l'opportunité pour s'approcher de lui, lui prêtant réconfort, et partageant elle aussi, la perte de sa famille, dont plus particulièrement son père.
L'homme, confiant et touché, la pris alors dans ses bras. Elle approcha son visage de celui de l'homme, et lui chuchota à l'oreille :
"Fleurety, prends cet homme, il est à toi!", dit-elle d'une voix douce et traitre, avant de glisser une lame dans le dos d'Achilles.
Alors que celui-ci était stupéfait, et ne réalisait pas vraiment ce qui lui arrivait, Farisa prit vivement son bouclier, et le frappa violement, poussant en même temps un couinement jouissif et aigüe, le sourire extatique, et respirant très fort. L'homme, sonné, était alors victime d'une ruée de coups fouets. Tandis qu'elle frappait, la voix intérieure qu'elle connaissait bien se mit alors à crier dans sa tête :
"Ouiii!!! Vas-y!!!", criait-elle. "Ouuiiooooouuhcc…", la voit partait en échos incompréhensibles, rendant presque folle d'extase Farisa qui fouettait et fouettait en riant et jouissant, sans s'arrêter!
Dans l'extase, Farisa senti une chaleur intense venue de l'intérieur. La pierre étrange qu'elle portait à son cou lui brulait presque la poitrine. Et tandis qu'elle frappait, cette énergie semblait se canaliser à travers son fouet, brulant les vêtements de l'homme. Le fouet, devenu lumineux, presqu'aveuglant, commençait à percer l'armure, qui fondait par endroit sous le coup de l'énergie intense.
Mais Achilles était un guerrier redoutable, et lorsqu'il repris consciences, quelques dizaines de secondes plus tard, il eut la force de jeter son bouclier contre la frêle jeune fille, la sonnant à son tour lorsque l'écu lui fracassa le visage. Il trouva alors la concentration d'appeler quelques pouvoirs qui le transformèrent en gigantesque animal des bois et donna plusieurs coups fatals à Farisa.
Achilles, essoufflé et dominant Farisa, allongée sur le sol, gravement blessée, l'observa un instant pendant qu'elle reprenait ses esprits. Lorsqu'il croisa finalement le regard de la sarrasine désorientée, il lui porta un dernier coup de bouclier, extrêmement violent, en pleine tête, en faisant gicler son sang sur l'herbe.
Cette fois, c'en était fini d'elle…
(hrp: dialogue ig ici)
Une fois sortie de la taverne, Farisa aperçu un grand homme en armure, assez beau, aux traits masculins. Elle le reconnu : elle lui avait déjà parlé une fois… C'est un homme qui détestait les sarrasines, et n'avait pas hésité à le lui cracher à la figure, la dernière fois.
Farisa lui fit un clin d'œil de loin, en le fixant du regard.
L'homme, concentré, sérieux et droit, s'avança alors vers la sarrasine.
"Bonsoir, on s'est déjà rencontré, non?", dit Farisa en se mordant la lèvre, une voix faussement délicieuse.
"Il est vrai que nous nous sommes déjà rencontrés. Que voulez-vous?", répliqua sèchement le guerrier.
"Oh… je ne voulais que faire plus ample connaissance", dit-elle d'un air mielleux et inoffensif.
Le soldat rougit, et baissa alors sa garde psychologique. Ils se présentèrent : lui, c'était Achilles. Farisa lui demanda alors, pourquoi il était rebuté par sa présence, au début. Il lui répliqua qu'il n'aimait pas les sarrasines, qu'il les trouvait laides. Parfait pour elle, se disait Farisa! C'est un défi qui aurait titillé l'égo de n'importe quelle fille comme Farisa : plus l'homme la rejetait, plus il "fallait" qu'elle le conquière!
Farisa lui joua alors le tour de la fille impressionnée, lui faisant indirectement quelques avances. Et petit à petit, Achilles devint de moins en moins insensible aux battements de cils de la jeune brune. Tant bien même qu'il lui proposa de lui-même, de trouver un coin tranquille pour se reposer.
Comblée, elle le suivit au bord d'un lac, au Nord de Hoth. Sur la plage, le guerrier était maintenant pressé de s'asseoir contre Farisa. Ils discutèrent de comment Achilles perdit sa femme, tuée par l'énorme chef Aegis, Vrrogg, sur l'ancien monde. Farisa se saisit de l'opportunité pour s'approcher de lui, lui prêtant réconfort, et partageant elle aussi, la perte de sa famille, dont plus particulièrement son père.
L'homme, confiant et touché, la pris alors dans ses bras. Elle approcha son visage de celui de l'homme, et lui chuchota à l'oreille :
"Fleurety, prends cet homme, il est à toi!", dit-elle d'une voix douce et traitre, avant de glisser une lame dans le dos d'Achilles.
Alors que celui-ci était stupéfait, et ne réalisait pas vraiment ce qui lui arrivait, Farisa prit vivement son bouclier, et le frappa violement, poussant en même temps un couinement jouissif et aigüe, le sourire extatique, et respirant très fort. L'homme, sonné, était alors victime d'une ruée de coups fouets. Tandis qu'elle frappait, la voix intérieure qu'elle connaissait bien se mit alors à crier dans sa tête :
"Ouiii!!! Vas-y!!!", criait-elle. "Ouuiiooooouuhcc…", la voit partait en échos incompréhensibles, rendant presque folle d'extase Farisa qui fouettait et fouettait en riant et jouissant, sans s'arrêter!
Dans l'extase, Farisa senti une chaleur intense venue de l'intérieur. La pierre étrange qu'elle portait à son cou lui brulait presque la poitrine. Et tandis qu'elle frappait, cette énergie semblait se canaliser à travers son fouet, brulant les vêtements de l'homme. Le fouet, devenu lumineux, presqu'aveuglant, commençait à percer l'armure, qui fondait par endroit sous le coup de l'énergie intense.
Mais Achilles était un guerrier redoutable, et lorsqu'il repris consciences, quelques dizaines de secondes plus tard, il eut la force de jeter son bouclier contre la frêle jeune fille, la sonnant à son tour lorsque l'écu lui fracassa le visage. Il trouva alors la concentration d'appeler quelques pouvoirs qui le transformèrent en gigantesque animal des bois et donna plusieurs coups fatals à Farisa.
Achilles, essoufflé et dominant Farisa, allongée sur le sol, gravement blessée, l'observa un instant pendant qu'elle reprenait ses esprits. Lorsqu'il croisa finalement le regard de la sarrasine désorientée, il lui porta un dernier coup de bouclier, extrêmement violent, en pleine tête, en faisant gicler son sang sur l'herbe.
Cette fois, c'en était fini d'elle…
(hrp: dialogue ig ici)