[BG/Récit]Nessie
Posted: 05 Jun 2007, 03:35
[HRP]Voilà j'ai décidée de faire un journal récité par ma barde au fur et à mesure qu'elle évoluera IG. Vous pouvez laisser vos impressions, je prends très bien la critique CONSTRUCTIVE.
P.S: Comme ça, sans le reste de l'histoire, le déroulement risque d'être dur à suivre, mais avec la fin tout ce démélangera!
Le Journal de Nessie
-Première partie-
Je l’aimais déjà.
J’aimais son odeur, son parfum, il sentait l’automne. Il avait les yeux d’un rouge vif éblouissant et les cheveux d’un vert éclatant. Je le rêvais éveillée et je le sentais endormie. Il n’était pas une saison ; il n’était pas l’automne. Il était un brave homme, il était bel et bien réel. Il était mon prince. Il ne le savait pas, mais moi oui.
Je l’avais sentie. Comme si je savais qu’elle chevauchait jusqu’à moi à dos de son étalon ornée d’argent et à la crinière d’or. Elle courrait à travers les champs et les barbares pour venir se marier à mon ouïe.
Je l’avais rêvée. Comme si je savais qu’il chevauchait jusqu’à moi à dos de son étalon à la robe écarlate. Il courrait à travers les champs et les barbares pour venir se marier à moi.
Il était devant moi, j’étais subjuguée. Je n’étais qu’une vulgaire musicienne et poète. Lui était un brave guerrier, indépendant. Et moi, j’étais une jeune femme en manque d’amour, en manque de son amour.
Sa voix sonnait à mes oreilles comme une mélancolie plus belle que celles jouées par mes instruments. Aucun son ne pouvait m’émerveillée autant. Il était beau et ses bras me réconfortaient sans même m’y être abandonnée.
Mon récit n’est que la description de mon cœur. Je ne sais si un jour mes pensées lui parviendront. Je continuerai de le rêver éveillée, et de le sentir endormie.
-Deuxième Partie-
Mon enfance
Je jouais de mon luth, c’était ma profession. Je vivais de ma flûte, c’était mon obsession.
Je rêvais de mon prince, c’était ma raison. Le son de sa voix me chavirait encore, la musique jouée par le vent m’hypnotisait. Cela sonnait comme une mélodie où chaque note est jouée intégralement, comme si chaque cuivre, chaque vent était séparée, mais pourtant ils étaient tous de la même mélodie. Comme une chanson que l’on écoute trop souvent parce qu’elle nous bouleverse.
J'avais apprit enfant à jouer de ces instruments : tambour, flûte et luth. Les notes que je jouais s’encraient en moi. La force que ce phénomène me donnait était indescriptible. Mon père était un grand interprète. Quand bébé je pleurais, il n’avait qu’à faire sonner une corde de son luth pour que je ne cesse. J'avais dans l’âme tout ce qu’il fallait pour être une musicienne redoutée. Il n’avait qu’à me tendre une flûte que je jouais déjà ma première ligne à l’âge de 10 ans....
Mon enfance fut belle et simple jusqu’à mon adolescence.
Mes parents sont morts d’une maladie incurable quand j’avais 14 ans. Ils me léguèrent ce qu’il restait de leur pittoresque fortune. En grandissant une autre passion c’était découverte en moi ; l’écriture. J’écrivais des vers, me noyant dans mes propres mots. Je buvais mon écriture comme un vampire se délecte du sang de sa proie. Vers l’âge de 16 ans je découvris un autre don. Le don de pouvoir bénir et guérir les gens à l’aide d’un simple touché. Je n’étais pas une fée, ni un ange, j’étais une jeune celte solitaire. C’est à ce moment que je me mis à fréquenter les autres. Certains étaient de valeureux guerriers comme celui qui hantait tous mes rêves les plus magiques.
P.S: Comme ça, sans le reste de l'histoire, le déroulement risque d'être dur à suivre, mais avec la fin tout ce démélangera!
Le Journal de Nessie
-Première partie-
Je l’aimais déjà.
J’aimais son odeur, son parfum, il sentait l’automne. Il avait les yeux d’un rouge vif éblouissant et les cheveux d’un vert éclatant. Je le rêvais éveillée et je le sentais endormie. Il n’était pas une saison ; il n’était pas l’automne. Il était un brave homme, il était bel et bien réel. Il était mon prince. Il ne le savait pas, mais moi oui.
Je l’avais sentie. Comme si je savais qu’elle chevauchait jusqu’à moi à dos de son étalon ornée d’argent et à la crinière d’or. Elle courrait à travers les champs et les barbares pour venir se marier à mon ouïe.
Je l’avais rêvée. Comme si je savais qu’il chevauchait jusqu’à moi à dos de son étalon à la robe écarlate. Il courrait à travers les champs et les barbares pour venir se marier à moi.
Il était devant moi, j’étais subjuguée. Je n’étais qu’une vulgaire musicienne et poète. Lui était un brave guerrier, indépendant. Et moi, j’étais une jeune femme en manque d’amour, en manque de son amour.
Sa voix sonnait à mes oreilles comme une mélancolie plus belle que celles jouées par mes instruments. Aucun son ne pouvait m’émerveillée autant. Il était beau et ses bras me réconfortaient sans même m’y être abandonnée.
Mon récit n’est que la description de mon cœur. Je ne sais si un jour mes pensées lui parviendront. Je continuerai de le rêver éveillée, et de le sentir endormie.
-Deuxième Partie-
Mon enfance
Je jouais de mon luth, c’était ma profession. Je vivais de ma flûte, c’était mon obsession.
Je rêvais de mon prince, c’était ma raison. Le son de sa voix me chavirait encore, la musique jouée par le vent m’hypnotisait. Cela sonnait comme une mélodie où chaque note est jouée intégralement, comme si chaque cuivre, chaque vent était séparée, mais pourtant ils étaient tous de la même mélodie. Comme une chanson que l’on écoute trop souvent parce qu’elle nous bouleverse.
J'avais apprit enfant à jouer de ces instruments : tambour, flûte et luth. Les notes que je jouais s’encraient en moi. La force que ce phénomène me donnait était indescriptible. Mon père était un grand interprète. Quand bébé je pleurais, il n’avait qu’à faire sonner une corde de son luth pour que je ne cesse. J'avais dans l’âme tout ce qu’il fallait pour être une musicienne redoutée. Il n’avait qu’à me tendre une flûte que je jouais déjà ma première ligne à l’âge de 10 ans....
Mon enfance fut belle et simple jusqu’à mon adolescence.
Mes parents sont morts d’une maladie incurable quand j’avais 14 ans. Ils me léguèrent ce qu’il restait de leur pittoresque fortune. En grandissant une autre passion c’était découverte en moi ; l’écriture. J’écrivais des vers, me noyant dans mes propres mots. Je buvais mon écriture comme un vampire se délecte du sang de sa proie. Vers l’âge de 16 ans je découvris un autre don. Le don de pouvoir bénir et guérir les gens à l’aide d’un simple touché. Je n’étais pas une fée, ni un ange, j’étais une jeune celte solitaire. C’est à ce moment que je me mis à fréquenter les autres. Certains étaient de valeureux guerriers comme celui qui hantait tous mes rêves les plus magiques.