[Histoire]La nuit éternelle: la marche des flammes.
Posted: 13 Dec 2005, 19:53
Depuis quelques jours, un ciel vide, sans nuages, laissait place au soleil et aux nuits étoilées. Cette situation stable avait prit la place des accès d'instabilité météorologique qu'Amtenaël avait l'habitude de subir. Certains disaient, comme à l'habitude, qu'après le calme... la tempête. Ils avaient toutefois l'habitude de rapidement enchaîner avec un autre dicton: “après la pluie, le beau temps.” Peu se doutaient que les beaux jours qui passaient doucement sur les terres sauvages d'Amtenaël seraient les derniers à connaître la stabilité pour un long... un très long moment.
La lune était pleine, et en plein milieu du ciel ouvert cette nuit-là, le firmament donna une curieuse impression de prodondeur infinie. Les étoiles avaient disparues soudainement, et la noirceur qui couvrait les cieux était presque palpable. De l'infini, un rougeoiement progressif devenait de plus en plus vif, jusqu'à devenir aussi coloré que la lave de Nyr Midgard. Les regards rivés vers le phénomène ne comprirent jamais réellement ce qui arrivait.
Des étoiles filantes apparaissaient doucement, et dansaient, tel le spectacle d'un jongleur de torches dans la nuit. Une réelle tempête se développait en altitude, et la foudre statique était visible d'en bas. Les comètes, de plus en plus nombreuses, virevoltaient chaotiquement dans le miasme de lave gazeuse qu'était devenu la voûte céleste. Le spectacle fut extraordinaire, jusqu'à ce que les étoiles filantes donnent l'impression de perdre de l'altitude.
Il ne fallut pas longtemps pour confirmer que ce n'était pas qu'une simple impression. Les astres s'écrasèrent un à un sur la terre d'Amtenaël, à travers l'île d'Avalon, formant des amas de pierre fumante, toujours en feu. Les aventuriers et les curieux s'approchèrent avec précaution de ces rochers enflammés tombés du ciel, pour mieux se rendre compte que les flammes semblaient vivantes. Des flammes jaillirent d'énormes humanoïdes de magma qui semblaient peu à peu prendre conscience de leur état et de leur position.
La révélation suivante fut la plus douloureuse: les élémentaux de feu n'étaient pas là pour discuter. Leur toucher fut suffisant pour calciner ceux qui avaient daigné trop s'approcher d'eux. Leur nombre d'abord peu élevé se multipliait lentement, comme les arbres et les plantes autour prenaient feu à leur contact. Malgré le mystère qui planait autour de leur apparition si soudaine, leurs intentions étaient claires: détruire.
La lune était pleine, et en plein milieu du ciel ouvert cette nuit-là, le firmament donna une curieuse impression de prodondeur infinie. Les étoiles avaient disparues soudainement, et la noirceur qui couvrait les cieux était presque palpable. De l'infini, un rougeoiement progressif devenait de plus en plus vif, jusqu'à devenir aussi coloré que la lave de Nyr Midgard. Les regards rivés vers le phénomène ne comprirent jamais réellement ce qui arrivait.
Des étoiles filantes apparaissaient doucement, et dansaient, tel le spectacle d'un jongleur de torches dans la nuit. Une réelle tempête se développait en altitude, et la foudre statique était visible d'en bas. Les comètes, de plus en plus nombreuses, virevoltaient chaotiquement dans le miasme de lave gazeuse qu'était devenu la voûte céleste. Le spectacle fut extraordinaire, jusqu'à ce que les étoiles filantes donnent l'impression de perdre de l'altitude.
Il ne fallut pas longtemps pour confirmer que ce n'était pas qu'une simple impression. Les astres s'écrasèrent un à un sur la terre d'Amtenaël, à travers l'île d'Avalon, formant des amas de pierre fumante, toujours en feu. Les aventuriers et les curieux s'approchèrent avec précaution de ces rochers enflammés tombés du ciel, pour mieux se rendre compte que les flammes semblaient vivantes. Des flammes jaillirent d'énormes humanoïdes de magma qui semblaient peu à peu prendre conscience de leur état et de leur position.
La révélation suivante fut la plus douloureuse: les élémentaux de feu n'étaient pas là pour discuter. Leur toucher fut suffisant pour calciner ceux qui avaient daigné trop s'approcher d'eux. Leur nombre d'abord peu élevé se multipliait lentement, comme les arbres et les plantes autour prenaient feu à leur contact. Malgré le mystère qui planait autour de leur apparition si soudaine, leurs intentions étaient claires: détruire.