Si un brave voyageur pouvait m'indiquer le lieu ou je puisse aquerir un baton ou grimoire me permettant de traduire la langue empoyée par certains personnes traversant notre contrée , je l'en remercirai grandement.
Trop souvent , ne reconnaissant qu'un ou deux mots par phrase lorsque l'on m'aborde, je ne puis renseigner le voyageur.
Mes demandes d'eclaircissement sur leur langage en laissent froid plus d'un, qui s'en retourne ou va jusqu'a m'insulter en argant que "se né q1 jeu" ...
Si une bonne ame trouve un tel grimoire , je propose qu'il soit distribué à toutes personnes pénétrant les terres d'Amtenael.
Les GM ayant déja beaucoup de travail;
je me demandais s'il n'etait pas possible que certaine personnes puissent avoir certain "droits GM" tels que :
- mis en prison (durée automatique à determinée de 30' ou 1h par exemple)
- retrait automatique de pieces d'argent ou or (par le GM)
Tout ceci bien sur afin de rétablir un peu de RP et de banir à jamais le langage SMS et autres abreviations de notre serveur.
Recherche Baton traducteur
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Akirra Thau feu 2x
Garde d'Albion
... Si les pates de lapin portaient bonheur ...
Elles seraient encore sur le lapin.
Garde d'Albion
... Si les pates de lapin portaient bonheur ...
Elles seraient encore sur le lapin.
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X-@B Brutal
- Demi-Dieu
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- Joined: 21 Oct 2004, 18:40
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C'est déja le rôle des membres de la Garde Divine. Héro a ce rôle. Le recrutement ne se fait qu'aprés un long apprentissage des rudiments d'un tel grade, et ce, au sein des Disciples de la Garde Divine.
Mais il est vrai qu'un grimoire devrait être remis aux jeunes combattants.
Apprendre à manier les armes, c'est bien, maitriser son langage a l'air plus compliqué...
Je pense que les combattants devraient être recruté celon le test que je suis en train de préparer...
Je commence alors a inventer le test de QI....
Mais il est vrai qu'un grimoire devrait être remis aux jeunes combattants.
Apprendre à manier les armes, c'est bien, maitriser son langage a l'air plus compliqué...
Je pense que les combattants devraient être recruté celon le test que je suis en train de préparer...
Je commence alors a inventer le test de QI....
un jour d'hiver
la plupart des gardes étaient restés dans la taverne de La Licorne d'Argent afin de savourer le savoureux vin que offrait la citée d'Albion. c'est un endroit que la plupart d'entre nous venait pour se reposer après une dure journée d'entrainement. Je m'étais m'éclipsé pour faire ma ronde de garde dans les ruelles de la citée. Un royaume qui ne resssemblait plus à ce que nos rois ont combattu et préservaient durant des siècles. Les tours hautaines et majestueuses n'étaient que ruines, la fougère a envahit les jardins et les démons enfouis au plus pronfonds des ténébres ont resurgit...
...des années ont passées jusqu'à ce que les habitants de ce royaume se révoltent après tant de pillage et d'insécurité...La Garde d'Albion fut instauré ce jour...
...Depuis ces braves citoyens ont pris ce rôle, la vie prit petit à petit forme...
Les ruelles étaient inondées de gens de toute catégorie, les enfants pleurnichaient dans les bras de leurs mères à la quête d'un jouet et quelques badauds étaient rassemblaient autour d'un marchand qui haranguait les vertus magiques de ses plantes. Cette citée était pour moi une source de tranquilité et de refuge
- Noble seigneur souhaitez-vous goûter à mes délicieux pains?
Je me retourna et découvrit une belle jeune femme dont les cheveux étaient recouvert d'une fine couche de neige. Cette damoiselle me rappela soudainement une rencontre que j'avais fait cinq ans en arrière, en un jour d'hiver.
j'étais encore dans les bois afin préserver le monde de ma haine et de chasser le mal qui était en moi, cette soif insastifaite de tuer. Quand soudain une cacophonie de hurlements et de cries retentirent à quelques pas de mon refuge, attira mon attention. Les drakorans, monstres bleuâtres à moitié dragons et lézards étaient perpetuellement en chasse afin d'assouvir leur faim. Ils était cinq à attaquer une inconnue vétue de noir et dont la cape voletait dans dans les airs.
Aussi vif que l'éclair et porté par la rage qui était en moi, je pris mes deux dague et la unique chose qui comptait à mes yeux était de secourir cette personne.
L'air crépita autour d'elle, un phénomème que peu de gens ordinaire ne remarqueront pas s'ils ne sont pas issue d'un certain niveau de combat. Une décharge de pouvoir aussi tranchant qu'une hache de guerre fit sauter le crâne du monstre le plus le proche. Ensuite comme un melon pourri martelé de coup de baton, la tête du second explosa. Les trois survivants se déployèrent pour mieux prendre la distance pour attaquer car la dame était épuisée après ce gros effort. Rapide comme l'éclair, je me jeta vers eux les yeux remplit de haine. Feintant à gauche, je pivota et frappa la créature qui était à ma droite. Ma dague transperça la dure peau, le drakoran s'écroula et son sang souillant un peu plus la neige. Alors que je me préparait à un autre duel, les deux derniers monstres se jetèrent sur moi. Une esquive que j'avais apprit avec tant d'entrainement m'a permis de revenir aussi vite pour trancher leur têtes. Essoufflé, je me suis assis pour reprendre des forces.
-merci à vous valeureux guerrier, vous êtes mon sauveur. Je vous dois la vie et je ne saurais jamais comment vous remercier.
Elle s'inclina délicatement avec tant de grâce.
-pa de pb, c rien
-heu... désolé, je ne comprends pas votre language, je dois vous laisser
Elle recula de quelques pas, à la fois embarrassée et hésitante suite à mon comportement et mon apparence qui depuis des années dans la forêt m'a coupé du monde. Elle s'en alla...
Et, je me rappelle encore de cette rencontre avec cette étrange Dame dont le visage était caché par le capuchon de sa cape ne laissant dévoilé que cette fine bouche sensuellle. Elle avait une douce voix aussi mélodieuse que surnaturelle et qui m'a envouté délivrant le peu d'humanité et d'amour enfoui au plus profond de mon coeur. Elle semblait pour moi une personne que j'ai toujours connu et aimé.
Je prit la décision de parcourir tous les royaumes afin de la trouver et de lui dire que j'étais un homme pret à lui servir et non une bête. Mais à travers mes voyages, j'ai remarqué que nous étions qu'une centaine dans ces terres et que la plupart d'entre eux parlaient ce language que j'avais autrefois. Je fit la connaissance de Dame Klates qui a combattu pendant longtemps ce fléau et désespérée par l'ampleur de cette maladie qu'elle la nommait, partit loin dans les terres lointaines. Mais elle m'a fait un aveu que si je souhaite retrouver cette inconnu, je dois m'adapter à ce monde et le combattre intelligemment car je me retrouverai seul.
les dernières nouvelles est que cette charmante personnes se trouve actuellement à albion...
Sufeng,
...des années ont passées jusqu'à ce que les habitants de ce royaume se révoltent après tant de pillage et d'insécurité...La Garde d'Albion fut instauré ce jour...
...Depuis ces braves citoyens ont pris ce rôle, la vie prit petit à petit forme...
Les ruelles étaient inondées de gens de toute catégorie, les enfants pleurnichaient dans les bras de leurs mères à la quête d'un jouet et quelques badauds étaient rassemblaient autour d'un marchand qui haranguait les vertus magiques de ses plantes. Cette citée était pour moi une source de tranquilité et de refuge
- Noble seigneur souhaitez-vous goûter à mes délicieux pains?
Je me retourna et découvrit une belle jeune femme dont les cheveux étaient recouvert d'une fine couche de neige. Cette damoiselle me rappela soudainement une rencontre que j'avais fait cinq ans en arrière, en un jour d'hiver.
j'étais encore dans les bois afin préserver le monde de ma haine et de chasser le mal qui était en moi, cette soif insastifaite de tuer. Quand soudain une cacophonie de hurlements et de cries retentirent à quelques pas de mon refuge, attira mon attention. Les drakorans, monstres bleuâtres à moitié dragons et lézards étaient perpetuellement en chasse afin d'assouvir leur faim. Ils était cinq à attaquer une inconnue vétue de noir et dont la cape voletait dans dans les airs.
Aussi vif que l'éclair et porté par la rage qui était en moi, je pris mes deux dague et la unique chose qui comptait à mes yeux était de secourir cette personne.
L'air crépita autour d'elle, un phénomème que peu de gens ordinaire ne remarqueront pas s'ils ne sont pas issue d'un certain niveau de combat. Une décharge de pouvoir aussi tranchant qu'une hache de guerre fit sauter le crâne du monstre le plus le proche. Ensuite comme un melon pourri martelé de coup de baton, la tête du second explosa. Les trois survivants se déployèrent pour mieux prendre la distance pour attaquer car la dame était épuisée après ce gros effort. Rapide comme l'éclair, je me jeta vers eux les yeux remplit de haine. Feintant à gauche, je pivota et frappa la créature qui était à ma droite. Ma dague transperça la dure peau, le drakoran s'écroula et son sang souillant un peu plus la neige. Alors que je me préparait à un autre duel, les deux derniers monstres se jetèrent sur moi. Une esquive que j'avais apprit avec tant d'entrainement m'a permis de revenir aussi vite pour trancher leur têtes. Essoufflé, je me suis assis pour reprendre des forces.
-merci à vous valeureux guerrier, vous êtes mon sauveur. Je vous dois la vie et je ne saurais jamais comment vous remercier.
Elle s'inclina délicatement avec tant de grâce.
-pa de pb, c rien
-heu... désolé, je ne comprends pas votre language, je dois vous laisser
Elle recula de quelques pas, à la fois embarrassée et hésitante suite à mon comportement et mon apparence qui depuis des années dans la forêt m'a coupé du monde. Elle s'en alla...
Et, je me rappelle encore de cette rencontre avec cette étrange Dame dont le visage était caché par le capuchon de sa cape ne laissant dévoilé que cette fine bouche sensuellle. Elle avait une douce voix aussi mélodieuse que surnaturelle et qui m'a envouté délivrant le peu d'humanité et d'amour enfoui au plus profond de mon coeur. Elle semblait pour moi une personne que j'ai toujours connu et aimé.
Je prit la décision de parcourir tous les royaumes afin de la trouver et de lui dire que j'étais un homme pret à lui servir et non une bête. Mais à travers mes voyages, j'ai remarqué que nous étions qu'une centaine dans ces terres et que la plupart d'entre eux parlaient ce language que j'avais autrefois. Je fit la connaissance de Dame Klates qui a combattu pendant longtemps ce fléau et désespérée par l'ampleur de cette maladie qu'elle la nommait, partit loin dans les terres lointaines. Mais elle m'a fait un aveu que si je souhaite retrouver cette inconnu, je dois m'adapter à ce monde et le combattre intelligemment car je me retrouverai seul.
les dernières nouvelles est que cette charmante personnes se trouve actuellement à albion...
Sufeng,
Voici l'autre face de cette histoire
Le mal se repand...iL ronge les entrailles de la terre et le coeur des hommes...Ce matin là;je me suis reveille avec la certitude que cette infection devait etre erradiquer,je decidais donc de mettre ma magie au service du bien.Deja des groupes de resistances s etait formé et nous debarassait des betes rodants autour du village et menassant nos enfants.
A la premiere heure du jour quelques villageois temeraires dont je fesait partie allérent defendre les allentours.Le groupe n etant pas nombreux , nous avancions lentement.Rester vigilant, ne laissez personne à la traine, rester grouper tel etait les mots qui resonnait dans ma tete.
J etais sur le qui vive prete à declencher mes pouvoirs mais sachant aussi que je devait le preserver car ils etaient limiter.Mes doigts serraient mon baton rendant mes articulations blanches.Le visage fermé mais le regard determiner;nous avançions...
Et d uncoup tout s accelera.les cris derages des guerriers et les incantations des magiciens.Plus rien ne compte... LA VIE peut etre... LE BIEN...LA VICTOIRE...
Me laissent guidee par mon instinct;je ne reflechie plus ,les geste deviennent banals; frapper; esquiver,...nous repoussons nos assaillants.Mais lavictoire est de courte duree;bientot d immondes lezards humanoides bleutès se jette sur nous, dessimant le peu de personne restant encore.Je puise dans mes dernieres resources et declanche mon reste de pouvoir pour en tuer quelques un.
L energie du desespoir voila ma seule force en cette fin de combat.J etait prete a acueillir la mort.
Mais ; soudain, il sortit du fond d un bosquet.Il avait l aspect d une bete. Ne sachant s il etait un sauveur ou le messager de la mort,je restais petrifiee. Mais lorsqu il sortit deux dagues et pourfendit les monstres, je su que mon heure n'etait pas encore sonnée.Mon desespoir fut muee en une envie oppresante de vivre. Mon baton fendit l'air et les os .Le combat fut finit; le vide...Le silence...La mort hantait ses lieux.Reprenant mes esprits,je pris enfin le temps d observer cet homme etrange venu de nul part.La bete avait l air d avoir pris le pas sur l'homme, seul dans son regard percait une etincelle d humanité.
J etait secouee par les evenements et la mort de mes compagnons, mais je pris quand meme
la peine de le remercier; des mots s envollerent dans ma bouche et je m inclinais avec gratitude. Il me repondis avec des mots inconnus pour moi; je le lui fit comprendre; m excusant. Je ne pouvais m eterniser ici, trop de chose s y etait passer. Je regardais mon sauveur, une derniere fois.Son regard...cette peine au fond des yeux; un combat inachever; et une tenacité a la vie. Je fixais son image dans mon esprit; celle d un homme, d une ame humaine delaisee par les siens et isolee de la societe. Doucement je reculais; et abattue je rentrai au village.
Pendant des annees,ce visage hantat mes nuits.
Le mal se repand...iL ronge les entrailles de la terre et le coeur des hommes...Ce matin là;je me suis reveille avec la certitude que cette infection devait etre erradiquer,je decidais donc de mettre ma magie au service du bien.Deja des groupes de resistances s etait formé et nous debarassait des betes rodants autour du village et menassant nos enfants.
A la premiere heure du jour quelques villageois temeraires dont je fesait partie allérent defendre les allentours.Le groupe n etant pas nombreux , nous avancions lentement.Rester vigilant, ne laissez personne à la traine, rester grouper tel etait les mots qui resonnait dans ma tete.
J etais sur le qui vive prete à declencher mes pouvoirs mais sachant aussi que je devait le preserver car ils etaient limiter.Mes doigts serraient mon baton rendant mes articulations blanches.Le visage fermé mais le regard determiner;nous avançions...
Et d uncoup tout s accelera.les cris derages des guerriers et les incantations des magiciens.Plus rien ne compte... LA VIE peut etre... LE BIEN...LA VICTOIRE...
Me laissent guidee par mon instinct;je ne reflechie plus ,les geste deviennent banals; frapper; esquiver,...nous repoussons nos assaillants.Mais lavictoire est de courte duree;bientot d immondes lezards humanoides bleutès se jette sur nous, dessimant le peu de personne restant encore.Je puise dans mes dernieres resources et declanche mon reste de pouvoir pour en tuer quelques un.
L energie du desespoir voila ma seule force en cette fin de combat.J etait prete a acueillir la mort.
Mais ; soudain, il sortit du fond d un bosquet.Il avait l aspect d une bete. Ne sachant s il etait un sauveur ou le messager de la mort,je restais petrifiee. Mais lorsqu il sortit deux dagues et pourfendit les monstres, je su que mon heure n'etait pas encore sonnée.Mon desespoir fut muee en une envie oppresante de vivre. Mon baton fendit l'air et les os .Le combat fut finit; le vide...Le silence...La mort hantait ses lieux.Reprenant mes esprits,je pris enfin le temps d observer cet homme etrange venu de nul part.La bete avait l air d avoir pris le pas sur l'homme, seul dans son regard percait une etincelle d humanité.
J etait secouee par les evenements et la mort de mes compagnons, mais je pris quand meme
la peine de le remercier; des mots s envollerent dans ma bouche et je m inclinais avec gratitude. Il me repondis avec des mots inconnus pour moi; je le lui fit comprendre; m excusant. Je ne pouvais m eterniser ici, trop de chose s y etait passer. Je regardais mon sauveur, une derniere fois.Son regard...cette peine au fond des yeux; un combat inachever; et une tenacité a la vie. Je fixais son image dans mon esprit; celle d un homme, d une ame humaine delaisee par les siens et isolee de la societe. Doucement je reculais; et abattue je rentrai au village.
Pendant des annees,ce visage hantat mes nuits.
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Cinq annee s etait ecoulee revenant sur mes terres, on m avait prier de reprendre les fonctions de mon pere disparu et je fut promise en epousaille a un garcon d une terre voisine; cette alliance n avait d autre but que d augnenter la puissance de nos territoires menacer alors par des guerres ancestrales.Dans la region, on s etait preparer longuement pour les ceremonies; s etait l occasions de festoyer.Tous y etaient conviés; des plus riches au plus nécessiteux. Les evevnement s'enchainaient et moi, je ne fesait de les subir. Ma raison disait d'accepter cette aliance mais ma passion me murmurait que cet homme a qui j'ètait destine, je ne le jugerais jamais digne de moi. Il n'avait subit aucune epreuve dans sa vie , il n'avait pas de carracteres sa vie n'était que coussins dorés et habit de velour, jamais il n'avait connu le mort, le danger, la souffrance. Ma vie a moi en etait une succesion. Je decidais donc que la raison etait plus forte et ce fut donc la mort dans l'ame que j'assistais a ce banquet. Les yeux brillant de joie a l'idee que les querelles se teminent enfin etait pour moi un petite consolation a cet avenir que l'on m'avait imposer.Des personne de tout ages riaient, d'autre plus temeraire dansait de facon ridicule il faut le dire. D'autre groupe exagerait sur la boissons et chantais a tutete des chanson paillardes. Et puis la dans un coin,il y avait cet homme etrange car il ne participait pas au joie de la fete. Il me fixait avec un regard qui me semblait famillié sans me rapelle l'origine. Ce fut en decouvrant deux dague pendu a sa ceinture que je le reconnu. C'etait lui... Mon sauveur, l'homme des bois. Il avait bien changé. L'homme si sauvage etait a present un vaillant guerrier, dont les nombreux combat avait laissé des sequelle indelebiles. Il emanait de lui puissance, honneur et force.
A suivre ...
A suivre ...
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rencontre
Tout devint flou autour de moi.
Les doux chants elfiques, la musique à la fois mélodieuse et envoûtante n’étaient q’un bourdonnement comparable à celui des abeilles. Des ombres qui semblaient être habillées de soie et d’or me parlaient d’une bataille lointaine. Une brume surnaturelle s’était déposée en ce lieu et ne laissait apparaître qu’un chemin comme si les rayons du soleil transperçaient les nuages. Cette inconnue que j’ai ardemment cherchée pendant des années semblerait se tenir devant moi.
Hibernia est un royaume remplit de myriade de merveilles et que personne ne se lasserait de contempler. Toute la beauté de cette nature a été concentrée et rassemblé vers cette personne. Sa longue chevelure de jais encadrait un doux visage ivoirin dans lequel brillait des yeux de saphir. Ses cheveux cascadaient sur ses épaules et sa voluptueuse poitrine. Sa tunique ocre, aux broderies en fil couleur émeraude aux manches et au cou, laissait apparaître une silhouette élancée. La ceinture était un superbe tissage de fils dorés. Ses traits étaient gracieux et parfaits. Sa beauté douloureuse– à laquelle je n’avais jamais assisté – aurait sans doute fait pâlir les plus merveilleuses femmes issues d’une noble descendance.
Envoûté par cette mystérieuse dame, mes passions s’éveillèrent animant mes jambes à me diriger vers elle. Un besoin vital brûler en moi : je devais absolument entendre sa voix.
Soudain, son regard azur se posa sur moi. Si perçant qu’il pénétrait le fond de mes entrailles que mon cœur fût compressé comme par un étau. Ma volonté ne faillait pas et j’avançais.
Au fur et mesure de mes pas, j’entendis ma raison qui m’ordonnait de m’arrêter. Pourquoi ? Et soudain, tout devint claire : j’assistais à son mariage. Cependant, cette lucidité acquise, il était trop tard. J’étais devant elle. Pris de court, ma seule issue bien qu’épouvantable était de présenter mes hommages.
Une voix suave et cristalline se fit entendre. Une voix qui me hantait depuis ces cinq longues années. Je souris. Mais, ma joie n’en fut que plus horrible. Quelle monstrueuse sensation d’être témoin d’un déchirement entre la raison et la passion ! Mon envie de lui parler, de lui avouer mes dures années de quêtes afin de la retrouver me torturait amèrement. Mais, le souvenir de son engagement prenait le dessus… Je sentis mon sourire s’évanouir…
Quand, le cor retentit. Mon devoir de soldat m’appelait. J’empoignais avec rage mes deux dagues et les dégainais….un dernier regard emplit de mélancolie et je partit….
Sufeng,
Les doux chants elfiques, la musique à la fois mélodieuse et envoûtante n’étaient q’un bourdonnement comparable à celui des abeilles. Des ombres qui semblaient être habillées de soie et d’or me parlaient d’une bataille lointaine. Une brume surnaturelle s’était déposée en ce lieu et ne laissait apparaître qu’un chemin comme si les rayons du soleil transperçaient les nuages. Cette inconnue que j’ai ardemment cherchée pendant des années semblerait se tenir devant moi.
Hibernia est un royaume remplit de myriade de merveilles et que personne ne se lasserait de contempler. Toute la beauté de cette nature a été concentrée et rassemblé vers cette personne. Sa longue chevelure de jais encadrait un doux visage ivoirin dans lequel brillait des yeux de saphir. Ses cheveux cascadaient sur ses épaules et sa voluptueuse poitrine. Sa tunique ocre, aux broderies en fil couleur émeraude aux manches et au cou, laissait apparaître une silhouette élancée. La ceinture était un superbe tissage de fils dorés. Ses traits étaient gracieux et parfaits. Sa beauté douloureuse– à laquelle je n’avais jamais assisté – aurait sans doute fait pâlir les plus merveilleuses femmes issues d’une noble descendance.
Envoûté par cette mystérieuse dame, mes passions s’éveillèrent animant mes jambes à me diriger vers elle. Un besoin vital brûler en moi : je devais absolument entendre sa voix.
Soudain, son regard azur se posa sur moi. Si perçant qu’il pénétrait le fond de mes entrailles que mon cœur fût compressé comme par un étau. Ma volonté ne faillait pas et j’avançais.
Au fur et mesure de mes pas, j’entendis ma raison qui m’ordonnait de m’arrêter. Pourquoi ? Et soudain, tout devint claire : j’assistais à son mariage. Cependant, cette lucidité acquise, il était trop tard. J’étais devant elle. Pris de court, ma seule issue bien qu’épouvantable était de présenter mes hommages.
Une voix suave et cristalline se fit entendre. Une voix qui me hantait depuis ces cinq longues années. Je souris. Mais, ma joie n’en fut que plus horrible. Quelle monstrueuse sensation d’être témoin d’un déchirement entre la raison et la passion ! Mon envie de lui parler, de lui avouer mes dures années de quêtes afin de la retrouver me torturait amèrement. Mais, le souvenir de son engagement prenait le dessus… Je sentis mon sourire s’évanouir…
Quand, le cor retentit. Mon devoir de soldat m’appelait. J’empoignais avec rage mes deux dagues et les dégainais….un dernier regard emplit de mélancolie et je partit….
Sufeng,
Cruel etait la vie; qui me mettait en presence de l etre tant rechercher le jour ou fort de mon desespoir; je m etait tournee vers la sagesse et la raison.
Mais voila qu il sapproche de moi . Un secret espoir nait en moi :qu il me dise qu il ressent tous ce que moi meme je respire que ses sentiments sont le reflet des miens.
J endurais son regard avec un calme aquatique; sans rien montrer de mes pensees .
Sous le rideau noirs de sa chevelure; son visage parut lègerement tirè , les yeux graves.
Je me vis en songe elevé ma main blanche jusqu à sa joue, effleuré sa peau douce , et la meche d ébène qui coulait tout contre ; il frisonna. Et me dit suis venu à toi , pour t ennener en terre d ALBION toi ma destinée, je te cherchais depuis ce jour ou le feu et la glace a unis nos deux regards ; toi qui fait battre mon coeur d une douloureuse sentation de manque laisse ce pantoche et accompagne moi . U n moment , le soufle suspendu , j attendis , me demandant si quelque chose , en moi ou en dehors , allait se fissurer...
Mais rien ne bougea...? JE NE FESAIT QUE REVER.
Un parfum monta à mes narines : encens , cuir , mètal aiguisé , et je souris malgres moi , enivrée.
Lair de la nuit etait devenu plus dense ,la lumière des étoiles plus vive dans le ciel velouté ; car celui qu on venait de citer''GENERAL SUFENG " Chef armer des GARDES D ALBION s approchait.
Je pouvait enfuin mettre un nom sur ce visage tant aimé ; murmurer son nom ;etreentendre sa voix qui m avait fait tant chavirer...
Mais au milieux de sa lancéé vers moi ; il s arrete tourne les talons et s enfuit.
Je le regardais partir sans comprendre ,j etait la silencieuse ,avec un regard qui portait dèja mon propre deuil ;totut se dechirait en moi me laissant telune ame errante ; incappable de faire un mouvement ; je me sentait petrifiée .
Mais voila qu il sapproche de moi . Un secret espoir nait en moi :qu il me dise qu il ressent tous ce que moi meme je respire que ses sentiments sont le reflet des miens.
J endurais son regard avec un calme aquatique; sans rien montrer de mes pensees .
Sous le rideau noirs de sa chevelure; son visage parut lègerement tirè , les yeux graves.
Je me vis en songe elevé ma main blanche jusqu à sa joue, effleuré sa peau douce , et la meche d ébène qui coulait tout contre ; il frisonna. Et me dit suis venu à toi , pour t ennener en terre d ALBION toi ma destinée, je te cherchais depuis ce jour ou le feu et la glace a unis nos deux regards ; toi qui fait battre mon coeur d une douloureuse sentation de manque laisse ce pantoche et accompagne moi . U n moment , le soufle suspendu , j attendis , me demandant si quelque chose , en moi ou en dehors , allait se fissurer...
Mais rien ne bougea...? JE NE FESAIT QUE REVER.
Un parfum monta à mes narines : encens , cuir , mètal aiguisé , et je souris malgres moi , enivrée.
Lair de la nuit etait devenu plus dense ,la lumière des étoiles plus vive dans le ciel velouté ; car celui qu on venait de citer''GENERAL SUFENG " Chef armer des GARDES D ALBION s approchait.
Je pouvait enfuin mettre un nom sur ce visage tant aimé ; murmurer son nom ;etreentendre sa voix qui m avait fait tant chavirer...
Mais au milieux de sa lancéé vers moi ; il s arrete tourne les talons et s enfuit.
Je le regardais partir sans comprendre ,j etait la silencieuse ,avec un regard qui portait dèja mon propre deuil ;totut se dechirait en moi me laissant telune ame errante ; incappable de faire un mouvement ; je me sentait petrifiée .
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Le silencieux echange etait passé inapercu, au yeux de toute l assemblee sauf à ceux de Nariel; mon promis, qui , tout en pretendant ajuster sa chemise, me jetait des regards d abord suspicieux puis douloureux, nos regards se croisérent , et nous sumes ; lui: qu il avait compris que jamais il n aurait la partie de mon coeur que Sufeng avait conquise; et moi que malgrès cela il m aimerait d un amour scincère .Nos yeux se croiserent encore et on pouvait y lire que chacun accepterai l autre dans son entieretè.
Le mariage aura 5 jours et 6 nuits comme le voulait la coutume Hibernienne.
Loin d etre dèsastreux notre vie de couple fut assez agreable; c est vrai l amour n y etait pas, de mon coté du moins, mais, je le respectais et l aimais d une facon particuliere.
Ayant une grande influence dans la politique nous fumes convier; Nariel et moi,aux grand conseil des trois royaumes;pour discuter en ces temps difficile de guerre; des sollutins afin de retrouver une nouvelle ére de paix. Cette reunions se deroula en terre d Albion.
Le mariage aura 5 jours et 6 nuits comme le voulait la coutume Hibernienne.
Loin d etre dèsastreux notre vie de couple fut assez agreable; c est vrai l amour n y etait pas, de mon coté du moins, mais, je le respectais et l aimais d une facon particuliere.
Ayant une grande influence dans la politique nous fumes convier; Nariel et moi,aux grand conseil des trois royaumes;pour discuter en ces temps difficile de guerre; des sollutins afin de retrouver une nouvelle ére de paix. Cette reunions se deroula en terre d Albion.
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