Dans une soirée ténébreuse, Fjordor marchait le long d'un champ de ruine remué par la guerre. Un souffle fort se fût sentir. Un éclair toucha le sol devant le guerrier. Une explosion sourde et incolore se produisit devant lui.
Une ombre se créa représentant un monstre démoniaque.
- Bonsoiiiiiiir... Fjordorrrrrrr...
- Bonsoir, tu as ce que je voulais ?
- Ne te pressssssssse pas Guerrier j'ai ce que tu voulaiiiiiiiiis. Mais d'abord montre-moi ma récompenseeeeeeeee.
Je sortis un sachet rougeâtre et le tendis visiblement. Le monstre ombreux se précipita sur lui, mais je l'arrêtai d'une main.
- Un ! Un... ! Ou es le corps ?
- Derrière le buissssssssssons là-bas... Allé... Donne-moi le sang !!!
J'allai m'assurer que l'ombre ne mentait pas puis lui lâcha le sachet.
- Merci Treo.
- De rien Fjordorrrrrr. À ton plaisir, et au mien.
L'Ombre-démon disparut porté par le vent.
Je regardai le corps. Un sourire s'inscrit sur mon visage. Je chuchotais pour moi-même :
- Bientôt père... Oui, le temps est arrivé...
Puis je disparus dans les ténèbres.
Réssurection d'une ordure.
Le cerveau humain cache des choses étranges et commande nos actes. Tout cerveau est différent. Certains son penchés vers le mal d'autre vers le bien. D'autre encore préfère combattre pour le bien sans recourir à la diplomatie.
Dans tout cerveau il y a aussi des choses qui défilent. Bonnes ou mauvaises. Des idées qui passent et nous les choisissons parmi les meilleures.
Il y a toujours, aussi, une partie du conscient qui s'évade dans le cerveaux obligeant l'homme a agir comme celui-ci ordonne.
Parce que dans l'esprit de Fjordor le passé commandait le guerrier, son père fût un flash provoquant. Son cerveau c'était tout de suite mis à travailler le sentiment qu'il avait eu et les sacrifices qu'il avait effectués pour son père alors qu'en faite... Celui-ci n'avait pas été toujours été bon. Et parce que sa vengeance n'avait pas été donné il fallait qu'il vois son père pour calmer son conscient qui le martellait.
---------
Fjordor rentra dans la hûte fit un signe de tête a l'homme qui y était installé et s'assit devant lui...
L’homme qui ouvrit alors la bouche dans un souffle de mort était des plus noirs qu’on pouvait trouver. Son corps à moitié décharné et ensanglanté était recouvert d’un long manteau à capuche rabbatue, il portait des gants de fer et des bottes de cuir mais lorsque il désirait se réchauffer et qu’il enlevait ses gantelets on pouvait voir de larges plaies sur une main en décomposition…
_ Bien, dit-il d’une voix sombre et caverneuse, tu es venu…
J’aurais besoin de nombreux ingrédients pour accomplir le rituel, continua-t-il.
_ Je trouverais se qu’il te faut… Au prix de ma vie ! Il faut au moins miser cela pour en retirer une…
_ Je n’ai que faire de ta vie ou de celle d’un autre ! <souffle> Mais écoute bien maintenant :
J’aurais besoin d’une dent de dragon, d’une touffe importante de tes cheveux, d’un peu de ton sperme, de poudre de souffre, d’une de tes côtes et bien sûr… d’une fiole de sang de satanique…
Ne laissant pas le temps à Fjordor de continuer
Maintenant part et ne reviens qu’avec cela !
Dans tout cerveau il y a aussi des choses qui défilent. Bonnes ou mauvaises. Des idées qui passent et nous les choisissons parmi les meilleures.
Il y a toujours, aussi, une partie du conscient qui s'évade dans le cerveaux obligeant l'homme a agir comme celui-ci ordonne.
Parce que dans l'esprit de Fjordor le passé commandait le guerrier, son père fût un flash provoquant. Son cerveau c'était tout de suite mis à travailler le sentiment qu'il avait eu et les sacrifices qu'il avait effectués pour son père alors qu'en faite... Celui-ci n'avait pas été toujours été bon. Et parce que sa vengeance n'avait pas été donné il fallait qu'il vois son père pour calmer son conscient qui le martellait.
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Fjordor rentra dans la hûte fit un signe de tête a l'homme qui y était installé et s'assit devant lui...
L’homme qui ouvrit alors la bouche dans un souffle de mort était des plus noirs qu’on pouvait trouver. Son corps à moitié décharné et ensanglanté était recouvert d’un long manteau à capuche rabbatue, il portait des gants de fer et des bottes de cuir mais lorsque il désirait se réchauffer et qu’il enlevait ses gantelets on pouvait voir de larges plaies sur une main en décomposition…
_ Bien, dit-il d’une voix sombre et caverneuse, tu es venu…
J’aurais besoin de nombreux ingrédients pour accomplir le rituel, continua-t-il.
_ Je trouverais se qu’il te faut… Au prix de ma vie ! Il faut au moins miser cela pour en retirer une…
_ Je n’ai que faire de ta vie ou de celle d’un autre ! <souffle> Mais écoute bien maintenant :
J’aurais besoin d’une dent de dragon, d’une touffe importante de tes cheveux, d’un peu de ton sperme, de poudre de souffre, d’une de tes côtes et bien sûr… d’une fiole de sang de satanique…
Ne laissant pas le temps à Fjordor de continuer
Maintenant part et ne reviens qu’avec cela !
Last edited by Fjordor on 26 Aug 2007, 17:53, edited 4 times in total.
L’ombre des arbres formait une sorte de créature infernale et terrifiante sur le sol feuillu de la forêt. La rosée du matin rafraîchissait l’atmosphère lourde de l’endroit où chevauchait le guerrier. Fjordor respirait paisiblement sur son cheval au galop, les ténèbres malgré les éclaircies de l’aurore régnaient sur les lieux donnant au viking une lueur de furtivité.
La petite maison de bois de sapin devant lequel Fjordor s’arrêta était pour le moins effrayante. Accroché au toit, des poupées lacérées se balançaient au vent et des animaux pendus aux poteaux donnait un peu de charme à la bicquoque forestière.
Fjordor donna trois violents coups à la porte, soudain le vent s’arrêta, un silence mortuaire planait sur la petite clairière. Un frisson le parcouru, il respira un bon coup et entra…
_Il y a quelqu’un ?!
_ Approche toi du feu que je te voie humain… <dit>
Le viking s’avança et découvrit une vieille dame affalée sur le fauteuil en train de tricoter une écharpe avec un tissu douteux qui lui faisait horriblement penser à de la peau humaine…
Elle était habillée d’une vieille robe rapiécée laissant apparaître deux os tranchant sortant de son ventre… On pouvait également voir à la lueur d'une bougie un cadavre dans une arrière pièce, mais Fjordor repris sa contemplation de la dame tant sa laideur était frappante...
_J’ai besoin d’une dent de dragon et de poussière de souffre…
_ Tu auras ce que tu veux, mais contre un petit cadeau… <souriant>
Jure-tu de faire ce que je te demanderai si je te donne ce que tu cherches ?
_ Je le jure !
_ Bien… cela fait longtemps que je n’ai pas goûté à la chaleur d’un homme… J’aurais besoin d’un homme viril pour une nuit…
Apporte moi cela ou fait le travail toi-même, ce que je ne te conseille pas…
Dégoûté par l’image, Fjordor acquiesca et s’en alla
Quand le jour suivant Fjordor revint et procéda à l’échange, les cris qu’il entendit en repartant lui firent comprendre que ce n’était pas totalement amical…
Mais qu’importe, il avait déjà deux ingrédients…
se répétant à lui-même
Bientôt père, bientôt…
La petite maison de bois de sapin devant lequel Fjordor s’arrêta était pour le moins effrayante. Accroché au toit, des poupées lacérées se balançaient au vent et des animaux pendus aux poteaux donnait un peu de charme à la bicquoque forestière.
Fjordor donna trois violents coups à la porte, soudain le vent s’arrêta, un silence mortuaire planait sur la petite clairière. Un frisson le parcouru, il respira un bon coup et entra…
_Il y a quelqu’un ?!
_ Approche toi du feu que je te voie humain… <dit>
Le viking s’avança et découvrit une vieille dame affalée sur le fauteuil en train de tricoter une écharpe avec un tissu douteux qui lui faisait horriblement penser à de la peau humaine…
Elle était habillée d’une vieille robe rapiécée laissant apparaître deux os tranchant sortant de son ventre… On pouvait également voir à la lueur d'une bougie un cadavre dans une arrière pièce, mais Fjordor repris sa contemplation de la dame tant sa laideur était frappante...
_J’ai besoin d’une dent de dragon et de poussière de souffre…
_ Tu auras ce que tu veux, mais contre un petit cadeau… <souriant>
Jure-tu de faire ce que je te demanderai si je te donne ce que tu cherches ?
_ Je le jure !
_ Bien… cela fait longtemps que je n’ai pas goûté à la chaleur d’un homme… J’aurais besoin d’un homme viril pour une nuit…
Apporte moi cela ou fait le travail toi-même, ce que je ne te conseille pas…
Dégoûté par l’image, Fjordor acquiesca et s’en alla
Quand le jour suivant Fjordor revint et procéda à l’échange, les cris qu’il entendit en repartant lui firent comprendre que ce n’était pas totalement amical…
Mais qu’importe, il avait déjà deux ingrédients…
se répétant à lui-même
Bientôt père, bientôt…
Last edited by Fjordor on 26 Aug 2007, 17:54, edited 1 time in total.
Les faibles lueurs des bougies éclairait quelque peu la chambre, le ciel nocturne en effet n’offrait que peu de réconfort et le foyer dans le coin de la pièce n’était pas de grande utilité tant sa puissance était minime.
Une lame dans la main, le corps allongé sur le lit de sa chambre à l’auberge, un gant dans la bouche pour étouffer les cris, et l’esprit berserk dans le bras ; Fjordor planta son couteau dans les côtes, et s’en arracha une de celles-ci…
La douleur était immense, ce qui le fit presque tomber dans les pommes. Il versa rapidement sa bouteille d’alcool sur la plaie avant de la bander avec son drap. Il se releva péniblement et se coupa une tresse de cheveux, tout ces efforts l’avait rendu très faible et s’est avec chance qu’il réussit à mettre les deux ingrédients dans le sac qu’il avait prévu.
Malgré tout, il finit par tomber sur le sol…
Le réveil était lourd, surtout pour la tête du guerrier endommagée par la chute lorsqu’elle avait heurtée le parquet.
Il se releva et sans un mot pour l’aubergiste éberlué à la vue de la tête du guerrier, il sortit monta son cheval et partit vers Caldey…
Perché sur un arbre, Fjordor se faisait ombre parmi les autres dans la nuit silencieuse. La route peu pratiquée ne laissait passer que quelques marchands et étrangers. Le viking attendait surement une attaque de convoi organisée par les sataniques qui avait toujours revendiqués la région.
Ils ne le firent pas attendre...
Sortant des fourrés, trois sataniques sautèrent sur un groupe de colporteurs, ils les massacrèrent pour qu’ensuite deux des agresseurs partent au galop sur les deux chevaux qui constituaient le trait de la charrette. Le dernier rassemblant le butin sans doute pour le cacher dans une quelquoncque planque dans les bois.
Fjordor sauta sur lui, et le tua sur le coup. Il sortit son couteau perça le cou du satanique avant d’en récolter le fruit dans une fiole bientôt rougie par son contenu.
Fier de la facilité avec laquelle il avait agi malgré son handicap, il repartit, ombre silencieuse dans la nuit…
Une lame dans la main, le corps allongé sur le lit de sa chambre à l’auberge, un gant dans la bouche pour étouffer les cris, et l’esprit berserk dans le bras ; Fjordor planta son couteau dans les côtes, et s’en arracha une de celles-ci…
La douleur était immense, ce qui le fit presque tomber dans les pommes. Il versa rapidement sa bouteille d’alcool sur la plaie avant de la bander avec son drap. Il se releva péniblement et se coupa une tresse de cheveux, tout ces efforts l’avait rendu très faible et s’est avec chance qu’il réussit à mettre les deux ingrédients dans le sac qu’il avait prévu.
Malgré tout, il finit par tomber sur le sol…
Le réveil était lourd, surtout pour la tête du guerrier endommagée par la chute lorsqu’elle avait heurtée le parquet.
Il se releva et sans un mot pour l’aubergiste éberlué à la vue de la tête du guerrier, il sortit monta son cheval et partit vers Caldey…
Perché sur un arbre, Fjordor se faisait ombre parmi les autres dans la nuit silencieuse. La route peu pratiquée ne laissait passer que quelques marchands et étrangers. Le viking attendait surement une attaque de convoi organisée par les sataniques qui avait toujours revendiqués la région.
Ils ne le firent pas attendre...
Sortant des fourrés, trois sataniques sautèrent sur un groupe de colporteurs, ils les massacrèrent pour qu’ensuite deux des agresseurs partent au galop sur les deux chevaux qui constituaient le trait de la charrette. Le dernier rassemblant le butin sans doute pour le cacher dans une quelquoncque planque dans les bois.
Fjordor sauta sur lui, et le tua sur le coup. Il sortit son couteau perça le cou du satanique avant d’en récolter le fruit dans une fiole bientôt rougie par son contenu.
Fier de la facilité avec laquelle il avait agi malgré son handicap, il repartit, ombre silencieuse dans la nuit…
Amaia marchait hors de l’eau, regardant autours d’elle le paysage somptueux qui s’offrait à elle. Paysage somptueux, femme somptueuse. Fjordor arriva lentement près de sa fiancée, dès les premières secondes passées avec elle était composée d’un long baiser amoureux, comme toujours celle-ci répondait à celui-ci au plus grand plaisir du guerrier. Les rapports avec sa fiancée s’étaient toujours avérés très actifs…
Grâce à cela, il avait récolté le dernier ingrédient nécessaire à son plan, il regrettait d’avoir eu besoin d’abuser de son plaisir pour un besoin si personnel…
Lui disant au revoir, il repartit vers la hutte du nécromant, porté par les vents ténébreux…
Il entra, le personnage le fit s’asseoir, et là s’entamma la discussion la plus rude… le prix…
_ Je veux la vie de ton père, son souffle…
_ Laisse moi juste le plaisir de lui parler, et peux être plus…
_ Allons-y !
Ils se levèrent et sortirent…
Sache juste une chose, tu devras amener son esprit aux portes des enfers… sinon je ne pourrai l’atteindre, je ne t’accompagnerai pas là-bas, tu devras y aller seul…
Grâce à cela, il avait récolté le dernier ingrédient nécessaire à son plan, il regrettait d’avoir eu besoin d’abuser de son plaisir pour un besoin si personnel…
Lui disant au revoir, il repartit vers la hutte du nécromant, porté par les vents ténébreux…
Il entra, le personnage le fit s’asseoir, et là s’entamma la discussion la plus rude… le prix…
_ Je veux la vie de ton père, son souffle…
_ Laisse moi juste le plaisir de lui parler, et peux être plus…
_ Allons-y !
Ils se levèrent et sortirent…
Sache juste une chose, tu devras amener son esprit aux portes des enfers… sinon je ne pourrai l’atteindre, je ne t’accompagnerai pas là-bas, tu devras y aller seul…