(bg Fjordor)

L'histoire d'Amtenaël
Fjordor
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Chapitre 1 : Introduction.


Je n’avais encore que 6 ans et déjà, je sillonnais les champs, l’épée à la main sur mon cheval de bois. Mon village n’était pas bien grand, mais l’on s’y plaisait… Le village c’était la famille.

De part et d’autre de celui-ci s’étendaient les champs colorés par les fleurs jaunes se balançant sous l’effet du vent. Ma patrie était composée d’une vingtaine de maisons, un petit camp d’entraînement pour les hommes, les moulins où j’aidais mon père au travail…


Chapitre 2 : Le paternel.

Mon père était grand, la parfaite représentation d’un Viking dans toute sa splendeur... Ses traits étaient forts, rudes, et marqués. C’était un homme fort et connu des autres hommes du village pour son courage…
Peu d’hommes l’égalaient à la chasse et encore moins au maniement des armes. S’alliant aux autres villages pour se battre, mon père avait déjà gagné beaucoup de batailles et ramené beaucoup de trophées. Il était tout pour moi, c’était… Mon exemple, celui d’un homme fier qui marchait droit.


Chapitre 3 : L’attaque.

On avait entendu que les tempêtes des dieux avaient détruit des villages voisins… Peu en était sorti… Très peu même…


C’était le jour de mon 7e anniversaire : Une fête avait été organisée au village en ma faveur car j’allais enfin pouvoir chasser avec mon père…
Je regardais les autres enfants jaloux de ne pas avoir un père aussi bon chasseur, et que c’était donc moi qui serais le meilleur guerrier !





Alors que nous allions passer au banquet, la cloche retentit, celle qui prévient de l’arrivée des intempéries...

Mon père avait rassemblé les hommes du village devant le fort et criait des instructions même si de loin on pouvait distinguer les quelques dixaine de cyclone s’approcher de nous.

les enfants avaient été envoyés dans les caves souterraines secrètes creusées, il y a peu. D’en bas, on entendait les femmes et hommes s’affoler et prier nos seigneurs que la tempête ne nous atteint pas.
Et puis une explosion…
Des cris…

Puis plus rien…

Je sorti le premier en courant bien que les autres me criaient de rester et arrivé a la hauteur de village, je ne voyait plus rien… Des champs de ruines ici et la mais plus une maison.

Mon cœur était de rage, mon sang bouillait, mes poings étaient sérés sur la hache de mon père que j’avais retrouvée dans le champ…
C’était mon héritage, mon avenir…

Lorsqu’une voix retentit dans ma tête :

« Ne pleure pas mon garçon… Ton village était décadent… il nous fallait créer ces cyclones pour le raser. Tu retrouveras une famille. »

Je me mis alors a crier de toute mes forces :

« JE VENGERAIS MON PERE ! VOUS N’ETES PAS HUMAIN ! JE… JE VOUS TUERAIS TOUS !!!

J’éclatai enfin en sanglot pour ensuite me faire rejoindre par les autres jeunes…


Chapitre 4 : La chasse.( 8 ans plus tard )

- « Planque toi ! il va te voir...»
- « Fais pas chier ! Je vais l’avoir tout seul… C’est moi qui ramènerais la peau du Gruzull ! »
- « Il t’a vu ! Planque toi tu vas te faire mordre…»
- « Ta gueule ! Tout est prévus... »
- « Le monstre arrive ! Fais gaffe !
- « Merde ! ma flèche est bloquée ! … Haaaaaaa ! »
- « J’arrive ! Cours !!! »
- « Haaaa ! je saigne aide moi ! »

Je dégaine la hache de mon père et d’un coup je tranchai le ventre du monstre, qui se découpe en deux morceaux plus ou moins de même grandeur…

- « Merde, il t’a bien touché ! J’te ramène au village..
Doc ! Doc ! Fjarbir est touché ! Il s’est fait mordre par un Gruzull ! »
- « Porte le dans la tente ! Et enlève lui sa tunique ! Ça va Fjar tout va bien, c’est rien qu’une égratignure. »

En vérité la blessure était profonde. Une morsure d’un Gruzull peut être mortelle ! Les dents étaient rentrées dans la chair et étaient sorties de l’autre coté. Fjarbir devait se faire opéré et il pouvait y rester… Après plusieurs heures d’attente Lorbiradir, le médecin, sort de sa tente avec un large sourire le visage en sang…

- « Après trente essais, j’ai enfin réussi ! IL EST PAS MORT !! AHAHAH ! »

J’étais soulagé, Fjarbir était une tête brûlée des plus belles mais mes plus belles prise exposées sur le mur de ma maison avait été gagnée avec lui…
J’avais aujourd’hui 15 ans, et ma mémoire effaçait petit a petit le visage de mon père dont je m’efforçais de garder en tête…
Bien qu’il soit mort, il m’aidait dans tous les ouvrages les plus fatigants me donnant la force, en temps de guerre, m’enlevant ma peur et me donnant de courage… Mon père était avec moi, partout…


Chapitre 5 : Préparations de guerre.

Au levé du soleil, le coq du village me réveilla comme tous les matins…
Le village était encore désert et la rosée du matin me trempait les pieds de façon désagréable. Je fis le tour du village quand une affiche accrocha mon regard. Il était question d’un recrutement pour partir en guerre.

- « Avis aux habitants du village : Tous les hommes pouvant tenir une arme sont demandés au fort de Midgard, demain matin quand le soleil sera au zenith.

Kirboran, votre chef. »

Je ne connaissais pas les ennemis, mais l’on défendait les Vikings. C’était pour ça que j’étais parti…


Le voyage était long mais grâce à notre soif de combattre, on ne vit point le temps passer. Arrivés au fort, les hommes des autres village étaient déjà présent au garde-à-vous en train d’écouter Kirboran criant des slogans encourageant…

- « Ne vous laissez pas abattre par l’ennemi… Ne vous laissez pas effrayer par l’ennemi… Ne détournez pas le regard quand vous regarderez votre ennemi… Ne reculez sous aucun prétexte… Ne fléchissez pas devant la douleur … Ne faiblissez devant rien… Repoussez l’envahisseur ! N’ayez pas peur de la mort !»

J’écoutais se discour stupéfait par le charisme de notre chef. Les hommes présents étaient déjà armés et prêts à se battre même si la bataille ne commencerait qu’au lever de soleil. J’avais emporté la hache de mon père que j’avais réparé du temps et une armure que ma mère m’avait offerte.
Celle-ci était en maille que mon père avait forgée autrefois pour notre chef. J’avais l’age de la porter car un enfant de 12 ans n’aurait pu la garder plus de deux minutes sur les épaules à cause de son poids. J’étais fin prêt pour la bataille. Je partageais ma tente avec Fjarbir qui répétait les mouvements appris au village.
Cette nuit la nous ne dormions pas à cause de l’excitation d’une par mais aussi a cause de notre voisin de tente qui lui dormais bien et ronflait a faire trembler les toiles de notre tente.

- « Et Fjordor tu dors ? »
- « Mmmmh… »
- « Tu dors pas … Tu crois qu’on va tuer plus que 10 gars ? Parce que bon, on avait dit 10 mais la je suis chaud pour m’en faire au moins 100 ! »
- « Rêve pas… C’est moi qui en tuerais 100… »
- « Ahaha bonne blague… c’est pas parce que t’a tué 2 monstres en plus que moi que t’es plus fort.. »
- « On verra demain… »

Moi et Fjarbir contions les monstres tués durant les chasses. Je savais bien qu’il contait bien en faire autant avec les ennemis.

- « Fjordor… ? »
- « Quoi ? »
- « On conte les ennemis tué demain ? »
- « Dort ! »
- « Merci… »

J’étais contant de me battre à c’est coté. Je suis sûr que grâce a lui nous tuerons plus d’ennemis.

Chapitre 6 : La bataille.

Le lendemain matin, j’ai été réveillé par le mouvement des hommes qui s’armaient. Je sortis de ma tente, Fjarbir était déjà sorti et regardait les alentours.
Il était armé de son casque, son armure ses gants et son épée. On distinguait les drapeaux sataniques, il devait y en avoir au moins une centaine. Le jour levé, on distinguait mieux tous nos hommes.
On était au moins 10 000.
Le champ de bataille était une plaine découverte, encadrée d’un côté d’une forêt et de l’autre d’un camps de hobgoblins.
L’ennemi était apparemment déjà situé derrière une petite colline. Soudain on entendit :

- « Tous les soldats sont attendus devant le fort ! Tous les soldats sont attendus devant le fort ! »

On se précipita à cet endroit et nous regardions maintenant Kirboran qui nous observait.

- « Pour vaincre l’ennemi, il nous faut une tactique. La voilà : Nous attendrons qu’il charge nos archers situés en haut de nos murs tirons deux volés et a mon commandement, vous chargerez. Les hommes d’abord et les enfants après. »

Quelque heure plus tard, nous étions tous prêts en haut de la colline attendant l’ennemi. Un moment après, nous entendions les chefs sataniques crier des paroles priant les dieux du mal afin qu’ils les aides et au même moment Kirboran nous cria les mêmes paroles qu’ils nous avaient dites hier.

Et puis plus rien. Je voyais Fjarbir l’épée à la main comme si son avenir dépendait du tranchant de sa lame. Je vins me mettre a coté de lui :

- « Ça va ? »
- « Ouais… Pas de problème. »
- « 100 alors … »
- « … Heuuuu, j’ai un peu exagéré… Je dirais plutôt… 99. »
- « Ahahah, t’es irrécupérable toi ! »
- « Et pas toi peut-être ? »

Nous éclatâmes de rire ensemble et peut-être… pour la dernière fois.

« j’te parie mon goûter que c’est moi qui bute le premier. »
- « Ne rêve pas mon pauvre ami, ma hache fait deux fois ton épée, je les toucherais en premier… »
- « Fais ton malin avec ton arme de barbare ! De toute façon c’est le résultat final qui compte. »

Quand soudain un bruit derrière la colline se fit entendre. Puis un premier ennemis s’approcha. C’était un troll, grand, tout vêtu de rouge.
Il ne pût faire quelques pas que deux flèches se plantèrent dans les deux yeux de celui-ci, il tituba quelques instant avant de s’écrouler…

- « Tu me dois un goûter ! Ahahahaha. Ça fait 1 à 0 Premier point pour Monsieur Fjarbir le précis, grand, fort, valeureux, beau, sentimental, dragueur, chanteur… »

Je devais reconnaître que pour le coup tout lui allait bien. C’était le plus précis de tous les archers.

- « Ok, ok ta gagné mon goûté… Mais la partie ne fait que commencer ! »

Les hommes l’acclamèrent brièvement. Mais tous s’arretèrent quand la charge ennemie fut lancée.
Une première volée fut tirée qui s’abattit sur les premières lignes ennemies les faisant tomber tels un château de cartes qui s’écroule. Une deuxième s’abattue enfin sur le groupe qui se dispersât dans la confusion. Une troisième volée fut ordonnée par notre chef vu que les sataniques avançaient moins vite que prévu...

- « Où leur à t’on donc appris à courir a ceux-là ! » dit un des hommes.

La troisième volée fut un succès car elle donna la peur à beaucoup d’ennemis qui prirent la fuite.

Quand le groupe principal fut à bonne distance, notre charge fut lancée accélérée par la descente. Des cris de rage furent lancés d’ici et de là, des épées, haches et marteaux se levèrent face à l’ennemi. La rencontre des lames fut terrible, le choc paraissait comme un tremblement de terre. On entendait des cris, l’acier s’entrechoquer.

Quand l’ennemi fut à portée j’abattis ma hache sur le premier venu qui lui rentra dans l’épaule laissant tomber le bras sur le sol.
L’Homme criant de tout ses poumons et d’un autre coup je lui coupa la tête. Celle-ci roula sur le sol,s’arretant contre une pierre. Je lançai à vois haute :

- « Et de 1 ! »

Fjarbir n’était pas encore rentré en contact, mais je le voyait souriant sous son casque.
D’un coup un autre abattit son épée sur ma tête, je me décalai sur le côté et plantai ma hache dans ses côtes pour couper l’ennemi en deux.
C’était marrant ! Je voulais recommencer en appliquant les tactiques apprises au cours de mon entraînement. Quand Fjarbir rentra au contact. J’entendis :

- « Moi sa fait 4 ! »
Je lançai :
- « Quand tu auras appris à compter tu sauras me dire qu’après 1 c’est 2…»
- « Sauf quand mon épée embroche trois gars en même temps ! »

Il rigolait, le sourire inscrit sur son visage.

Une rangée de 5 ennemis étaient devant moi et d’un coup je sortit mes petits couteaux glissai entre leurs jambes et les plantai entre c’est deux-ci. Ils tombèrent tous par terre criant de douleur il fut facile de les achever après en leur coupant la tête avec ma hache .
Je pris ensuite celle-ci et les transperçai d’une lance que je plantai derrière moi … C’était amusant. Je criai :

- « Ça fait 5 ! »
- « Pareil, viens ici on devra plus crier ! »

Alors que je combattais, j’entendis un cri de guerre anti-déique qui déclanchât ma rage… Ma soif de sang. Petit à petit je me demandais si je combattais dans le bon camp. Mon but était de faire payer aux dieux se qu’ils nous avaient fait. Je me retournai donc et voyant Fjarbir découper une tête et je criai :
« Noooon ! »

Je levai ma hache et coupai Fjarbir en deux.
Je fronçai les sourcils et attaquai mon propre camp.

Après la victoire des sataniques… Je n’avais qu’une idée en tête… Tuer… Tuer… Tuer. Il fallait faire payer ces dieux maudits.

Je me rendis alors chez mes nouveaux alliés pour leur prier de les rejoindre.



Chapitre 7 : Le début du commencement.

Je ressentais en moi une réelle envie de... Domminer, tuer... Tuer...

J’arrivais au recruteur que j’avais contacté pour rejoindre l’ordre de l’In Nomine Satanas.
Arriver là-bas je fus acceuilli par Zwarg, un champion engourdi par le passé. Acceuilli dans l’ordre je remarquai vite la violence des combats et la soif de sang qu’ils possédaient. L’Ulwarth que je vénérais se nommait Nébiros, seigneur du sang et des combats. Je ne remarquais encore la présence q’il occupait dans mon esprit.

En ses nouveaux temps, je rencontrai une femme dont la beauté éblouirais les plus froids. Dont le charisme redonnerais le courage au plus abattu. La lumière qu’elle émanait de son corps, me rendais fou de douleur à l’idée qu’elle puisse aimer quelqu’un d’autre que moi. Je me mis donc en quête de gagner son amour tant le mien pour elle était fou!

De mon coté Nébiros me soufflait les cibles a lui donner en offrande, je tuais les impurs, et les tâches de ce monde. Il y avait en moi une grande partie de lui.

J’aimais dorénavant Amaia et elle éprouvait un même amour pour ma personne. Malheureusement il y eu un probleme avec Loctar le maitre d’Amaia. Mes croyances étaiens portées vers le mal pour rassasié ma soif de vengence celle d’Amaia étaient differentes, c’est ce qui créa le confli entre Loctar est moi. Il ne voulais pas que je vois l’amour de ma vie, il voulait me détruire... Je lui parlas en espérant qu’il me laissa voir son éleve mais la fin de la dicution se fini en bain de sang.


Chapitre 8 : Acte suicidaire...

Je marchais tranquillement le long d’un camp minotaure. Lorsque la vois sombre et profonde de Nébiros se fit entendre. Il me dit dans ma tête :

“ J’ai besoin d’un coeur fort, le tien...”

J’étais effrayé par l’idée mais plus rien ne me retenais sur ce mondre depuis que mon amour m’avais été retiré. Mon coeur ne valais plus rien a mes yeux. Surement que mon frêre Aragornuse pleurerais ma perte mais Nébiros me l’avais demandé, je devais m’offrir a lui, donner mon âme a l’Ulwarth que je vénérais.

Je pris donc une lâme tranchante, je ressentais le froid de la petit épée se posé sur mon torse et transpercé ma peau.
Je vus une larme de sang coulé le long de la lame puis s’éclater sur le sol. Sans hésiter j’appuiai fermement sur la lâme...
Une sensation d’horreur et d’effroie m’envailli aussi tôt. Je regardai la lame trouer mon coeur et je tombai inconscient quelque instants plus tard.

Je ne voyais plus rien. Du noir partout, puis une silouhette etrange s’appocha de moi. Je ne pu en distinguer les formes car elle dégagait une lumière éblouissante. Lorsque j’entendis une voix claire qui me disait :

-“ Tu ne peux pas partir maintenant. Quelqu’un t’aime en bas. Tout n’es pas perdu.”


Je voulais répondre a la mystérieuse silhouette mais la voix ne sortait pas. Aucun son ne parvenais a passer ma gorge.



Chapitre 9 : Le reveille.

Je me reveilli dans une tente au milieu d’un champ de tulipe.
Le vent était fort et le sable balayait mon visage d’une facon désagréable. J’exploras timidement les parages lorsque que je découvri la mer s’étendre a quelque lieux de mes pieds.

J’avais entendu une histoire sur un ile séparé du monde que nous ne pouvions rejoindre qu’à la nage à cause des rumeurs terrifiantes qui pesaient sur la région et qui fesaient fuir les navires. Je partis donc à la nage rejoindre la côte qui se révellait petit à petit encore cachée par la brume matinale.

Pendant ma petit nage refroidissante, je refléchi aux évenements réçents et partit je décidai d’aller voir ma bien aimée.


Pourquoi m’avoir fait cette faveur alors que j’avais trailli mes dieux...
Je me laissai versé quelques larmes...

Pourquoi cela m’arrive t’il a moi ? Je ne voulais qu’une famille tranquille, calme. Aimer une femme faire un enfant l’éduquer et lui apprendre tout se que je sais...
Je me rendis compte à ce moment mon erreur. Je voulais rejoindre la femme que j’aimais et combattre à ces cotés ce qui m’avais controlé... Réduit a néant... Tuer...


Chapitre 10 : Le Fin du commencement, le début d’un juste milieu.


L’armée des tenebres avait acceuilli Amaia j’espere qu’elle en ferai autant pour moi. Je recontrai Adras recruteur des Tenebrerum Bellatores. Il me fesai passer un test d’honneté et ensuite me fit attaquer Drakys que je battu.

J’avais changé ma hache pour un marteau. Trop de sang avait coulé a cause de cette arme je m’en fis forger une autre plus puissante encore qui tuerais, certe, mais pour les bonnes causes...

Mes differentes résons qui me poussaient étaient dabord la femme que j’aimai et que je portai dans mon coeur et puis pour détruire le mot vangence et ceux qui m’on poussé a le suivre jusqu’a me tuer.

Apres l’entretien avec Adras j’eu le plaisir et le grand honneur de rencontrer le Seigneur Yco. L’entretien ce passa plutôt bien malgré les différents problème que j’avai avec Loctar.

Cette nuit la j’était rassuré. Je sentai le soufle chaud d’Amaia sur mon cou et le plaisir de dormir a ses coté. Je pouvais enfin profiter de mon amour et le partager plainement sans probleme.


Je partis en croisade quelques temps pour dabord m’améliorer et puis repensser a toutes ses choses et evenements qui s’étaient passé sous mes yeux. Mon amour me manquerais certe mais il ne serais que plus intance a mon arrivée.

Je me nomme Fjordor Ordor frere d’Aragornuse le Grand. Aimant d’Amaia et combattant compétent. Je n’ai pas changé depuis ma création sur ce monde, justement j’ai évolué parmis les grands. Mon père me manque dommage qu’il na pas pu voir se que je suis devenu... J’ai sa fierté dans mon coeur, sont courage dans mon âme. Sa force dans mon arme. Et puis a coté de mon pere dans mon coeur, on trouve Amaia. Resplandissante, charmente, magnifique...




Fjordor Ordor

Ecrit pendant la croisade.

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(HRP) Voila j'attend vos réaction et les trucs qui sont a changer ou a amélioré. Jécouterais volontier toute remarque et appliquerais au prochain BG vos proposition et remarque volontier. :) (/HRP)
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