La Maison des Ménes.
1 : l'histoire.
2 : Quelques points.
3 : Une idée des rangs
La journée arrivait à sa décadence, quand au loin derrière l’azur ne brille presque plus les rayons du soleil. Le visage trempé par la triste sueur, l’homme fixe avec fierté le travail qui s’achève enfin après les longs mois de labeur. Il vient à l’aide de paysans et gens de petites naissance d’achever une palissade de bois qui protégera affirme t’il à qui veut bien l’entendre son domaine. Ce n’est hélas pas un de ces domaines de riche seigneur, ni même la moitié des terres que possédait son père, seulement une plaine frôlant les collines Albionaises, traversé par un petit ruisseau ou les bestiaux se reposent déjà avec insouciance.
Il fait nuit maintenant, le Breton est assis seul face au foyer trônant au milieu d’une salle circulaire et vide. Ses mains tendus vers le feux il songe, tant est à faire encore, mais ses songeries ne seront durer, car voila son ami Rénos qui vient le sortir de sa rêverie habituel.
- <Et>.Lui dit-il d’un air interrogateur.
- <Je> répondit Inalis d’un ton grave <Quand> Un silence se fit observer, puis il reprit,<Le>
- <Monseigneur>, répondit le vassal en fixant le feux, <Vous> A ces mots, l’homme salua et se retira en silence, il était dans les habitudes de ces deux Bretons de parler peu entres eux et d’éviter les futiles pertes de temps, un long voyage l’attendait, il tomberait quelques jours plus tard sous les traits des bandits et ainsi partait le dernier vassal d’Inalis le Jeune.
Le lendemain matin, le jeune seigneur fit le tour de ses terres. Au loin il pouvait voir se lever le château d’Albion, dernier vestige d’une gloire perdue. Qu’est devenu l’époque des Rois ? Simple souvenir, remplacé par les querelles de gueux, bandits, guildes et vermines en tout genre. Alors il songea, des heures et des heures quand soudain il se leva. N’était-il pas le dernier des Méles se demanda t’il, si un homme avait un droit sur l’Albion, n’était-ce pas lui ? Petit seigneur sans poids, mais tout de même le dernier représentant de cette noblesse qui formait le prestige du royaume, son père était bien le fils du cousin de l’oncle du dernier Roi Albionais après tout.
Quelques jours après que ces affirmations s’écoulèrent, il constata que son retour en Albion ne fut pas si bon qu’il l’espérait. On l’écoutait avec méfiance, et on aimait peu le croiser, car beaucoup de familles de la région s’étaient endettés auprès de son père, on avait sans doutes peur de voir le fils réclamer les comptes. Et puis, la vue de ces chevaliers condamnés à l’état de mercenaire le démoralisait, partout la misère, mais surtout la perte de fierté. Il fut encore plus surpris d’apprendre qu’Albion était tout simplement délaissé, Midgard avait ses hordes, Hibernia ses ordres, l’Atlantide ses monarques, quant à son pays natale, rien… Le désordre régné en maître, et qui le voulait pouvait d’un instant à l’autre réduire la région en cendre. C’était la misère qui engendrait la misère, un homme qui accumulait assez de richesse, s’en allait tout de suite hors du pays, s’engageant chez les autres, et ceux qui restaient, n’était autre que les faibles, les crèves la faim, ou les mal intentionnés.
Un de ces matins où il arpentait la place sous l’ombre de l’immense forteresse en quête de gens cherchant besogne, il observa avec curiosité une scène. Un borgne sale, à la cotte de maille crasseuse allait d’étales en étales, réclamant ce qu’il appellait la taxe de protection. Quand il finis par se présenter au jeune noble.
- <H> Lui lança t’il, dévoilant ainsi quelques dents d’une noirceur de jais
- <En> Répondit-il d’un air indifférent tout en croisant ses bras
- <En> A ces mots, le borgne s’avança, un gourdin en main. Mais il n’eut le temps de lever la main, qu’Inalis retirant un pan de sa cape, tira une lame accroché à ses flancs. La pointe de la lame alla désarmer l’adversaire, tout en entaillant le visage de celui-ci, le tout accompagné d’injures. Il se retira, sans retenter autre chose. Le fils d’Enos remis l’arme dans son fourreau d’acier, tout en regardant les petits gens qui s’approchaient. Un d’entres eux osa sortir du demi cercle.
- <Mon> Dit-il d’une voix empli de reconnaissance. <Comment>
- <Je>
L’homme se retira, laissant derrière lui la foule, depuis, la rumeur circule en Albion qu’un seigneur de l’ancien temps à refait surface, que l’ordre et la fierté du pays auront qui sait, peu être la chance d’être relevé comme jadis, aux glorieux temps des Rois. Ainsi commencèrent les nouveaux jours de la Maison des Ménes.
Quelques points sur la Maison des Ménes .
La Maison de Ménes, est une organisation, un regroupement de personnes aux origines diverses, implantés sur un petit fief Albionais ( qui peu être, un jour sera grand qui sait ? ), elle se formera autour d’un system féodal moyenâgeux, impliquant le rapport Suzerain/Vassal. Ce rapport, formera qui sait, dans le futur la première noblesse d’Albion, ( Quand on parle au futur, tout est incertain ). Tout membres, habitants du ( des dans un futur ) domaine de la seigneurie des Ménes n’est pas obligatoirement noble, au contraire, nous y trouverons le petit peuple, allant de l’artisan, au paysan, au soldat, et ainsi de suite.
Cette seigneurie, bien que petite, mais unique en Albion, à la prétention de protéger les intérêts d’Albion, même si pour le moment ses moyens sont très faibles, voir inexistant ( Le dernier vassal de cette seigneurie est mort ne l’oubliez pas ). Les ambitions par contre, sont grandes, très grandes.
Dans un futur proche, ou lointain, il sera qui sait, possible aux premiers membres anoblis, de former leur propre seigneurie, et de gérer un fief, voir plus. La hiearchie est donc en constante évolution, et le plus petit à sa chance.
Je tiens à rappeler, qu’autre qu’Albion, ou la terre, la guilde devra exclusivement tenir grâce au lien qu’est le rp, très peu de bg, de paroles sur le forum, tout ig, en rp, en direct, du frais du tout beau comme on les aiment. Inutile de dire, que la sélection rp est très sévère. Ainsi sera fixé de bonnes bases.
Une idée des rangs.
Voici une idée de ce que nous pouvons trouver en rang.
Le seigneur.
Clés de voûte de l’opération, il gère, s’occupe des terres, ordonne, fait la lois sur son domaine. Tenu par sa position noble, il possède quelques privilèges, mais est prié de savoir se tenir, noblesse oblige.
L’intendant.
Le plus souvent un proche du seigneur, l’intendant s’occupe des biens de son seigneur quand celui-ci ne peu être présent, c’est un fin économe. Il connaît supposons nous, à la perfection l’entreprise de son suzerain.
Le chevalier.
Il arrive, que des hommes se distinguent par leur bravoure, leur fidélité à leur seigneur. Ils sont parfois élevés au rang de chevalier, premier palier de la noblesse, il offre le droit aux vassaux, et une petite terre. Attention, les chevaliers en échange de leurs droits, sont les premiers envoyés en cas de conflit.
Le capitaine.
Un autre rang militaire, offert à ceux qui savent gérer les hommes tout en étant proche d’eux. Fin stratège, au charisme fort.
Soldat/Garde.
C’est un peu l’homme à tout faire, aussi bien utilisé pour les campagnes militaires que pour garantir la sécurité, la solde n’est pas mauvaise mais on ne demande jamais l’avis d’un soldat.
L’artisan, le paysan, l’homme libre.
Les travailleurs ont une place particulière, on ne leur demande pas des comtes, sauf qui sait, la taxe. Mais il arrive qu’en cas de conflit, le seigneur fasse chercher ces simples gens et les arment. Personne n’est à l’abri du service militaire. A part cette éventualité, ces gens vivent paisiblement et forment leur richesse à la force du poignet.
L’écuyer.
Un jeune homme principalement issue de petite bourgeoisie, confié à un chevalier afin d’apprendre le travail. De nombreuses années s’écouleront avant qu’il ait une chance d’arriver lui même a ce prestigieux titre.
Serf.
Ce rang, est réservé au criminel, ceux qui ont une peine à purger. Un serf n’à rien à dire, il prend ce qu’on lui donne, et fait ce qu’on lui ordonne de faire.
Note : Bien sur, tout les métiers, rangs, titres sont envisageable. Nous ne nous amuserons pas à tous les inscrire, sous peine de prendre un temps assez long.
Je suis ouvert à toutes critiques, questions, et autres.
Ps : je recherche des membres.
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Last edited by Lembach on 07 Jan 2007, 14:08, edited 2 times in total.
J'ai rien contre.
ça me fait un peu rire quand meme , ya 2 jours y'avait un post , avec une personne qui disait : C'est pas normal , ya personne qui défends Albion , et 2 jours plus tard on voit ça.
Enfin bref , Bg un peu cour je trouve sinon c'est sympa , un nom ... original , et enfin quelqu'un qui se préocuppe des paysans (mais ou ils sont ?!)
il ne me reste qu'une chose a dire : Bonne chance.
Enfin bref , Bg un peu cour je trouve sinon c'est sympa , un nom ... original , et enfin quelqu'un qui se préocuppe des paysans (mais ou ils sont ?!)
il ne me reste qu'une chose a dire : Bonne chance.
Je ne suis pas un TROLL ... je suis un frostalf.
Khatar Hacte , Chaman 5L,
Rhauc Sort , Mercenaire lvl 42
Shayn Khill , Champion lvl 33
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Shayn Khill , Champion lvl 33
non... je ne vois que le premier mot de chaque phrase de dialogue...Lembach wrote:Suis-je le seul a ne pas voir les dialogues s'afficher ?
Aarkasha eldritch lvl 50 OCH
Benedict paladin du clergé albionnais lvl 42
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"on dit que le battement d'aile d'un papillon peut engendrer un typhon à l'autre bout du monde."
théorie du chaos.
