Poemes...
Poemes...
C'est de la bouche d'un vieux guerrier,
Que cette histoire me fut contée.
Dans un trou de verdure baignée par la lumiere,
Repose un guerrier près de la rivière.
Il est calme, presque paisible,
Dans sa main, serrée, une pierre bleu marine,
Mais sur son visage la douleur est visible,
Plus aucune odeur ne chatouillera ses narines.
L'observateur avisé cherchera une blessure,
Mais bien qu'usée intacte est son armure.
Ce n'est pas une lame qui l'a tué,
Car il est mort d'avoir trop aimé.
Que cette histoire me fut contée.
Dans un trou de verdure baignée par la lumiere,
Repose un guerrier près de la rivière.
Il est calme, presque paisible,
Dans sa main, serrée, une pierre bleu marine,
Mais sur son visage la douleur est visible,
Plus aucune odeur ne chatouillera ses narines.
L'observateur avisé cherchera une blessure,
Mais bien qu'usée intacte est son armure.
Ce n'est pas une lame qui l'a tué,
Car il est mort d'avoir trop aimé.
Marchant vers les glaciales contrées de Midgard..
Rencontre fortuite aux ombres de la cité lumière
Belle paroles, superficiels aveux, souvenirs éphémères
Aux caprices d’un corps aide fut remise
Aux yeux d’un homme, le rêve d’une promise
Seconde rencontre au cœur de minuit
D’un rêve, la réalité donne place à l’envie
Regard de braise, visage de glace
Habile illusion, ce sentiment n’a nulle place
Tierce rencontre au sein d’un rêve fantasque
L’image hante, séduit le coeur, détruit le masque
Long les jours où divague l’esprit
Belles les nuits où des regards est à l’abri
Un homme enchaîné
Par sa belle des nuits étoilées
Seul point à partager
Avoir reçut de la nuit, le baiser…
Belle paroles, superficiels aveux, souvenirs éphémères
Aux caprices d’un corps aide fut remise
Aux yeux d’un homme, le rêve d’une promise
Seconde rencontre au cœur de minuit
D’un rêve, la réalité donne place à l’envie
Regard de braise, visage de glace
Habile illusion, ce sentiment n’a nulle place
Tierce rencontre au sein d’un rêve fantasque
L’image hante, séduit le coeur, détruit le masque
Long les jours où divague l’esprit
Belles les nuits où des regards est à l’abri
Un homme enchaîné
Par sa belle des nuits étoilées
Seul point à partager
Avoir reçut de la nuit, le baiser…
Marchant vers les glaciales contrées de Midgard..
Il etait une rose avec ses petales
Petales jaune, au mileu de la faune
Petales rose, au mileu de la prose
Petales rouge, au mileu de la fouge
Fleur aux miles parfums
parfum de bonheur
parfum d'amour
parfum toujours
Mais on oublie la rose noir
Petales à la fin de l'histoire
parfum qui laisse choir
La vie na de sens que par la mort
Tel le mythe de la rose noir.
Petales jaune, au mileu de la faune
Petales rose, au mileu de la prose
Petales rouge, au mileu de la fouge
Fleur aux miles parfums
parfum de bonheur
parfum d'amour
parfum toujours
Mais on oublie la rose noir
Petales à la fin de l'histoire
parfum qui laisse choir
La vie na de sens que par la mort
Tel le mythe de la rose noir.
Marchant vers les glaciales contrées de Midgard..
Le jour se lève sur tes terres
Tes monts souillés de chairs et de sangs
Pennine lieu de jeux et de guerres
De tant de morts et d’affrontements
Terre des hommes, submergée de lumière
Dévoile nous enfin tes monts d’argent
Pour tout ce peuple d’Albion qui meurt
Pour tenter de chasser l’assaillant
Ces hommes unis comme un seul corps
Pour tenir aux assauts des ces fous
Ces créatures voulant nos forts
Connues comme capables de tout
Oh épée porte moi et mes hommes
Au devant de ce flot d’insolents
Lutter pour la paix du royaume
Pour nos hommes, nos femmes et nos enfants
Oh Albion lève toi prends les armes
Montre à ces fous que tu es vivant
Bien sur tu vas verser des larmes
Mais l’ennemi versera son sang
Le Roy Arthur est mort de leur rage
Mais son esprit est toujours ici
Nous nous devons de lui rendre hommage
Comme tous ceux déjà tombés pour lui
Albionais prends les rangs et avance
Comme tous tes frères et tes sœurs
Ce soir viendra l’heure de la danse
Sur les tombes de nos envahisseurs
Tes monts souillés de chairs et de sangs
Pennine lieu de jeux et de guerres
De tant de morts et d’affrontements
Terre des hommes, submergée de lumière
Dévoile nous enfin tes monts d’argent
Pour tout ce peuple d’Albion qui meurt
Pour tenter de chasser l’assaillant
Ces hommes unis comme un seul corps
Pour tenir aux assauts des ces fous
Ces créatures voulant nos forts
Connues comme capables de tout
Oh épée porte moi et mes hommes
Au devant de ce flot d’insolents
Lutter pour la paix du royaume
Pour nos hommes, nos femmes et nos enfants
Oh Albion lève toi prends les armes
Montre à ces fous que tu es vivant
Bien sur tu vas verser des larmes
Mais l’ennemi versera son sang
Le Roy Arthur est mort de leur rage
Mais son esprit est toujours ici
Nous nous devons de lui rendre hommage
Comme tous ceux déjà tombés pour lui
Albionais prends les rangs et avance
Comme tous tes frères et tes sœurs
Ce soir viendra l’heure de la danse
Sur les tombes de nos envahisseurs
Marchant vers les glaciales contrées de Midgard..
Ô mon âme dans ce sous-bois emprisonne-toi
Vagabonde sur l'onde orangée de cet océan
Marée de mousse, de feuilles, d'humus en émoi
Ere encore un peu avant de t'assoupir lassivement
Je rêverai doucement des bruissements dans les feuilles
Des mille bruits, des mille saveurs, des milles lumières
De la brume étendant ses ailes vaporeuses comme un linceuil
Je rêverai de toi Automne ! Durant tout l'hiver ...
Vagabonde sur l'onde orangée de cet océan
Marée de mousse, de feuilles, d'humus en émoi
Ere encore un peu avant de t'assoupir lassivement
Je rêverai doucement des bruissements dans les feuilles
Des mille bruits, des mille saveurs, des milles lumières
De la brume étendant ses ailes vaporeuses comme un linceuil
Je rêverai de toi Automne ! Durant tout l'hiver ...
Marchant vers les glaciales contrées de Midgard..
- Canibal Corpse
- Gros Bill
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- Joined: 12 Nov 2004, 21:49
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Et je chevauche le vent,
Parce qu'il est mon ami!
Lui volle trois pas devant,
En territoire ennemi,
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Ne portant nulle attention
Aux combats environants.
Où nous conduit sa passion?
Du visage rayonnant
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Je cherche la réponse.
Dominant cette plaine,
Entre arbres et ronces,
Au milieu de cette haine,
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Un homme, une femme
Que même la langue opose,
Parlent avec leur âme.
Sur l'autre leurs yeux se posent.
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Pour eux le temps s'arrête.
Du chemin montent fureurs
Et cris, prets à fendre nos têtes;
Mais je n ai pas peur.
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Elle crie des mots étranges,
Et même suplie et peste;
Lui, sa mort, il s'en arrange
N'esquissant aucun geste.
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Elle s'agenouille, pleure,
Arrive de nouvelles troupes,
Sans crainte, telle une fleur,
Est piétinée par le groupe...
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Sur la colline, reposent
Un homme, une femme,
Votre servante qui ose
Cette question :"Par mon âme,
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?"
Parce qu'il est mon ami!
Lui volle trois pas devant,
En territoire ennemi,
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Ne portant nulle attention
Aux combats environants.
Où nous conduit sa passion?
Du visage rayonnant
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Je cherche la réponse.
Dominant cette plaine,
Entre arbres et ronces,
Au milieu de cette haine,
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Un homme, une femme
Que même la langue opose,
Parlent avec leur âme.
Sur l'autre leurs yeux se posent.
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Pour eux le temps s'arrête.
Du chemin montent fureurs
Et cris, prets à fendre nos têtes;
Mais je n ai pas peur.
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Elle crie des mots étranges,
Et même suplie et peste;
Lui, sa mort, il s'en arrange
N'esquissant aucun geste.
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Elle s'agenouille, pleure,
Arrive de nouvelles troupes,
Sans crainte, telle une fleur,
Est piétinée par le groupe...
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?
Sur la colline, reposent
Un homme, une femme,
Votre servante qui ose
Cette question :"Par mon âme,
Est ce la réalité
Ou bien vais-je m'éveiller?"
Marchant vers les glaciales contrées de Midgard..
essai.. c'est pas fameux...
La mort guette
Et les chevaliers regrettent
Que tant de sang soit fut versé
Que tant de bruits fassent nos épées,
Que tant de vies,
Furent enlevées ainsi
La vie se meurt
Et les chevaliers demeurent,
Contre des causes inutiles
Contre les puissances futiles,
Les chevaliers se vengent,
Et l'on demande l'aide des anges,
Les chevaliers ne dorment plus,
On voit une ombre, une épée, quelqu'un qui tue...
Paoling
Et les chevaliers regrettent
Que tant de sang soit fut versé
Que tant de bruits fassent nos épées,
Que tant de vies,
Furent enlevées ainsi
La vie se meurt
Et les chevaliers demeurent,
Contre des causes inutiles
Contre les puissances futiles,
Les chevaliers se vengent,
Et l'on demande l'aide des anges,
Les chevaliers ne dorment plus,
On voit une ombre, une épée, quelqu'un qui tue...
Paoling