Emprisonné, torturé.

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Fjordor
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Un ciel calme inondait le matin encore jeune. Les vents étaient absent ce qui laissait au paysage, une chance de ce montrer dans les plus belles formes. Les chants en cœurs des paysans masquaient les douces paroles des oiseaux mais ceux-ci, non découragé, se regroupèrent dans une mélodie de battement d'ailes pour chanter en cœur. Un temps beau et frais, un peu trop beau...

Le guerrier galopais la tête haute, fier dans cette cape qu'il portait depuis longtemps à présent, représentant le symbole de l'armée ténébreuse. Une main commandant la monture tandis que l'autre, saluait les croisés présents donnait au guerrier ténébreux, une image de grand roi rentrant dans sa forteresse après une croisade interminable. Le village d'Albion était calme, un peut trop.


- Pas d'Oréthorniens ? Fjordor s'exprima avec un étonnement déconcertant.

- Halte ténébreux !

- A si...

La monture se retourna vers les interpellants.

- Je puis quelque chose pour vous ?

- Veuillez... Fjordor ?

- Et oui Aldaris ! C'est moi.

- Tu.. Tu es encore avec Amaia ?

- Et bien oui. Elle va bientôt porter notre enfant.

- Et bien tu ne traines pas toi. Soldat, ne pointé plus cet homme avec le bout de votre arme. Il est pacifique.

- Peut-être pas... Ces mots, le guerrier, l'avait murmuré avec un sourire assassin.

- Tu es Oréthorniens ?

- Et bien oui. Depuis peu.

- Mmmh. Alors adieux.

- Par.. Pardon ?

D'un geste rapide l'arme fusa dans la direction d'Aldaris le tua et s'attaqua maintenant a l'autre soldat bientôt mort.

- Je n'aime pas trop les Oréthoniens.

Les gardes affluaient a coté du petit village formant un rond autour des deux morts et du ténébreux.

- Veuillez nous suivre ! Ou mourir !

- Bon et bien, je vous suis...

Ils se déplacèrent vers le château et enfermèrent le guerrier dans une sale en hauteur. Un garde a l'entrée.
Fjordor
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- Songespoir, flammèches ignées talées par l'allubrillance des pyrocarbonides. Envol de feu, fracas de l'acier sur l'ambre du Vouloir. Larmes de métal brûlant s'infiltrant dans l'espace sans limite d'une conscience incandescente.

- Belles paroles pour un Nordique.

Le sang coulait le long de la bouche du soldat l’obligeant à parler en crachant régulièrement. Une petite flaque de sang, alimentée régulièrement par des petites gouttes explosives, trônait aux pieds de Fjordor. Deux chaines reliées au mur sombre, noirci par les vents fréquents de poussière retenait, grâces a des nœuds métalliques, le guerrier déjà presque mort. Les marques créent par les barres enflammées utilisées pour torturer, brûlaient le guerrier le long de tout son dos avec une intensité immense. La pièce, sombre et pas très accueillante, laissait planer une odeur putride. La mort avait déjà été donnée dans cette pièce, peut être un en plus… Elle était entourée de barreaux de fers hérissés de piques tranchantes défiant toute volonté échappatoire. Un petit banc pas plus large que 5 pouces était déposé a proximité d’un mur fait de pierres. Le banc ne servant pas au prisonnier, il laissait la possibilité à un garde essoufflé par la descendent des escaliers de se reposer un instant. Le prisonnier, lui, était debout attaché contre le mur visqueux. Ils étaient inconscients pour la plupart… Le déjeuner oublié et réoublié au fil des Jars ne laissaient pas beaucoup de chance de survie aux détenus.
Cinq hommes peuplaient la pièce. L’un d’entre eux fou, un autre mort… À l’apparence. Un saoul, surement interpellé après avoir provoqué une bagarre dans une taverne animée ou juste posé sa main sur le postérieure d’une comtesse Oréthorniene. Deux gardes armés, l’un d’une hache et l’autre d’une épée à deux mains se tenaient assis à disputer une poignée de pièce d’or avec quelques cartes déchirées.
Aucune fenêtre construites, pour enlever le risque de fuite, les gardes utilisaient des bougies blanches, qui laissaient coulées un long filet de cire baveuse. Le garde qui s’était exprimé était apparemment content de lui après avoir gagné la partie et décida d’engager une conversation.


- Va jouer au carte le moche…

- Tu m’en veux de t’avoir brûlé tout à l’heure ?

- Non ça, ça passe… Je n’ai juste pas aimé que tu traites ma mère.

- Viens faire un tour dehors qu’on se parle, tu vas apprendre à m’aimer !

Un sourire salopard s’inscrit sur le visage du garde Oréthornien tandis qu’il s’approchait. Fjordor allait encore le narguer, mais se résigna, étouffé, quand le Soldat lui enfonça son poing entre les côtes. Il détacha le ténébreux qui s’agenouilla à terre les mains posées sur le sol. Le garde lui pris la tête d’une main musclée et la frappa violement du genou. Fjordor par terre saignait de plus belle, et en guise de réponse au coup, cracha sur les bottes du soldat.

La cour était vide, les seules présences étaient trois poules pas très grosses, un âne avec une mine fatiguée, et un enfant seul, assis sur le rebord d’une échoppe d’armes. Un vent doux balayait le sol de terre sablée mal entretenue soulevant des petites couches disproportionnées. Les bâtiments surélevés se penchaient dangereusement vers Fjordor qui, avec un œil maladroit, ne distinguait plus bien les formes. Les chevaux, calmes se reposaient berçés par leur propres soupire.

Le garde poussa le guerrier dans la cour qui s’écroula par terre, devant les yeux du petit garçon. Le garde déposa son armure et son épée contre un coin surveillé puis approcha du ténébreux.


- Allé, le… Guerrier… Montre-moi ce que tu sais faire !

Le garde, bien conscient de l’état de Fjordor, se laissait amuser par cette plaisanterie sadique.
Fjordor qui avait déjà du mal à se relever, fut directement projeté par une droite, envoyé par le garde dans la face du guerrier.


- Alors quoi ! Déjà épuisé ?!

Fjordor frappa le sol d’une main et puisant dans ses dernières force, puis s’étala complètement sous l’effet de la fatigue. Un éclair jaillit du ciel tel un prédateur volant fonce sur sa proie et frappa l’homme dans le dos qui tomba à son tour dans un cri inhumain. Le guerrier s’approcha de l’enfant en rampant, apparemment habitué a ce genre de situation, ne reculant pas devant l’homme pourtant salement amoché.

- S’il te plait mo… *cracha de sang* Enfant… Va chez Atherlad et… Dit lui de venir me… sauver.

Le dernier mot fut arrêté par le garde qui c’était saisi de FJordor le projetant dans les aires dans un hurlement de rage.
L’enfant couru… Disparût.
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