Introduction
L'homme encapuchonné avançait d'un pas sûr à travers la forêt. Malgré la nuit noire, il se faufilait entre les grands arbres, à travers les fougères, semblant certain de sa direction.Il se trouvait sur cette terre que certains appelaient Nyr Hibernia; en bon Oréthornien, il préfèrait se dire en Ethérie. Malgré le territoire valonné et relativement dur d'accès, son rythme ne faiblissait pas, ne s'arrêtant que pour vérifier sa position, grâce aux étoiles. Il filait toujours aussi vite, en direction du Nord.
Lorsqu'il atteigna les rives, les premiers rayons du soleil se faisaient sentir. Il atteindrait le village avant que le soleil soit au zénith. Il longea durant quelques hars l'océan, avant d'obliquer vers l'est. Il s'arrêta un instant, observant le paysage qui s'offrait à lui. Le comté a bien changé, pensa-t'il. Autrefois, l'endroit où il se trouvait était un marais ; aujourd'hui, les marécages avaient été assèchés, formant ainsi de nouvelles surfaces cultivables. Des prairies avaient été aménagées, pour fournir plus de patûrages au bétail. Il s'arrêta un instant près d'une petite cahute, au bord d'un champ. Le blé venait à peine de germer, les récoltes seraient bonnes. Il repris sa route.
Bientôt, le chef-lieu d'Ethérie, était en vue, à travers la brûme matinale. Le village, lui, n'avait pas énormément changé, bien que quelques nouvelles bâtisses aient été construites; l'écurie avait été aggrandie, une forge constuite. Malgré l'heure matinale, l'agitation ambiante se faisait déjà ressentir. Les charettes entraient et sortaient du village avec fracas; les forgerons battaient le fer encore chaud avec zèle; les marchands criaient dans l'espoir de vendre leurs marchandises.
D'un pas plus hésitant, l'homme parcouru les quelques ruelles de la petite ville, saluant de temps en temps un visage connu. Il s'arrêta devant une petite masure, non loin des portes de la ville. Sûrement la maison de quelque paysan enrichi qui aurait eu la chance d'avoir eu l'autorisation de s'établir en ville. Avec un peu d'appréhension, il frappa à la porte. Quelques instants plus tard, une petite vieille lui ouvrit.
Nemeos ! Tu es révenu !, dit-elle d'un ton joyeux. Je ne t'attendais pas si tôt, mais ça ne fait rien ! Je trouverais bien quelque chose à te servir ... Mais entre ! Entre !. L'homme entra, se contentant de sourire. Il pris place à la table, posa sa cape, sa besace et sa masse d'arme, alors que la petite vieille lui amenait un plateau de fromages, quelques fruits et du pain.
- Alors ?! Racconte-moi ! Comment c'est, Albion ?, dit-elle, toujours aussi enjouée.
- Tu sais, ma tante, il ne faut pas croire tout ce que l'on dit au village ! Les gens de là-bas ne sont pas aussi étranges, finalement.
Il lui parla quelques temps du pays, des gens qu'il y avait rencontré. Puis, il lui prit des nouvelles de sa terre natale.
- Je vois qu'Inari n'a pas fait les choses à moitié ! Le comté semble revivre à présent.
- Inari ? Celà fait donc tellement de temps que tu es parti ? Oooh ... non ... Inari n'est plus notre Comte !
- Comment ça ? dit l'homme, fronçant légèrement les sourcils.
- Et bien ! C'est assez bizarre ce qu'il lui est arrivé, si tu veux mon avis ! Ca ne m'étonnerais pas qu'il y ait quelque sorcellerie derrière tout ça ..., lui murmura sa tante, d'un air suspicieux.
L'homme apprit que le Comte avait disparu, et ce depuis quelques monas à présent. Serdadjan et Faith, deux personnes de confiance du Comte, avait repris l'intendance du Comté. Je me méfiais pas mal d'eux, au début, comme tout le monde en fait... Mais le Comte avait bien choisit, ils ont fait du bon travail, finalement, ajouta-t'elle. Rapidement, ils avaient fait construire de nouveaux bâtiments. Tout d'abord, l'écurie avait été aggrandie. Les meilleurs chevaux du royaume étaient éthériens, à présent. Elle maugréa en se rappelant du jour où la populace avait été réquisitionnée pour assècher le marais. Le port avait été développé lui aussi, de nombreuses marchandises de valeur étaient échangées là-bas. De la main d'oeuvre venait du continent aider les villageois à travailler leur terre. L'économie semblait florissante.
- Et puis, finalement, le roi a décrété que Faith serait notre nouvelle Comtesse. Il n'y a pas encore eût de cérémonie officielle, mais tout le monde la considère comme tel. Je pense qu'on peut lui faire confiance.
- Et, elle est comment ? Je veux dire, quel genre de Comtesse ?
- Elle semble assez sûre d'elle, elle saît se qu'elle se veut. Ca à beau être une femme, elle aime pas se laisser marcher sur les pieds ... tout en restant très diplomate, bien sûr ! Elle commence à avoir assez de pouvoir. D'ailleurs, le Comte d'Arendie, Roddz il me semble, est son vassal. Elle saît se battre ... Elle est plutôt pieuse. D'ailleurs, je crois que l'Eglise va reprendre du pouvoir ! Tu pourrais leur être utile, toi qui a étudié durant quelques temps l'Eglise d'Albion !
- Hum ... Je ne sais pas, l'église albionaise est une église d'hérétique, rien à voir avec la notre. Enfin, je pourrais toujours me renseigner. Après quelques instants à bavarder, Nemeos quitta sa tante, en la remerciant.
Il se dirigea vers les écuries, peut-être y trouverait-il un travail, en attendant de se renseigner sur l'Eglise. Il s'arrêta un moment, observant les drapeaux qui flottaient au vent, devant les portes de l'hotel du Comté. Les couleurs oréthorniennes étaient toujours les mêmes, le vert pour l'espoir et le blanc pour la lumière. L'emblème éthérien était toujours le même: un cerf, noble et fier, symbolisant la forêt éthérienne, qui avait tant donné à son peuple. Finalement, le comté n'avait pas tellement changé depuis son départ.
************************************************
Ce jour, Faith l'attendait depuis longtemps.
La jeune femme agenouillée attendait dans le plus grand silence la fin de la cérémonie. Autour d'elle dans cette piece si froide, une foule silencieuse la fixait , composée exlusivement d'hommes. Sous la lumière de quelques torches, paraissait des visages graves, ceux de grands et petits seigneurs, en tuniques ou dans leurs armures d'apparat. Tous attendaient ce qui jamais dans l'histoire Oréthorniène ne fût réalisé, l'anoblissement d'une femme.
Les paroles sereines du Roi, face à elle, fûrent approuvées par les religieux, d'un mouvement de tête ou des murmures. Quant à la jeune femme, elle garda le silence.
Un jeune page, resté en retrait, questionna à voix basse à son maitre. Celui-ci lui répondit sur le meme ton : Son sexe n'est pas l'unique soucis, bien que ce soit un sérieux handicap. Faith se retrouve aujourd'hui à la tete d'une bonne part des terres de son suzerain, le Duc Hakim, dit le Puissant; et celui-ci avant sa disparition disposait d'un peu moins de la moitié des allégences du royaume. Bien qu'elle ne soit que Comtesse, je doute que cela plaise à nos beaux chevaliers. Une chance pour elle qu'elle ait été l'une des premières à se convertir à l'Eglise. Faith à son soutien à présent, et grâce à celà, les nobles ne pourront rien faire contre la volonté du Roi ...
La discution cessa, lorsque le monarque dégaina sa lourde lame, connue de tous. Mais tandis qu'il s'apprétait à la lever afin de l'aposer contre l'épaule de la jeune noble comme il était d'usage, elle saisit l'épée d'un geste vif. Malgré le sang qui coulait de sa main, elle s'approcha de la lame et déposa sur l'acier brillant un baiser. Ce geste surpris toute l'assemblée, y compris le Roi. Ainsi apparaissait Faith d'Etherie.
Son entrée dans le village fût saluée par la foule. Celle-ci, désireuse de plaire a son nouveau seigneur, c'était rassemblée en masse, improvisant une grande fête dans les rues. Là-bas, jongleurs et danseurs réalisaient cabrioles et pirouettes. Ici, un dresseur présentait son ours aux jeunes gens terrifiés. Le vacarne semblait omniprésent. Musiques, rires, tout ce bruit aurait pu déboussoler plus d'un homme, sans même parler des odeurs qui s'échapaient des marchés: viandes, épices, et nombreux produits odorants imbibaient l'air, titillant les odorats.
On fit place à la comtesse et son cheval, on s'inclina par respect à son passage tout en gardant ce sourire festif qui donnait tant de charme à ces gens. Tout dialogue aurait été impossible, mais les gestes suffisaient amplement. On lui offrit une coupe; elle but, puis se mit à rire.
Cela faisait longtemps que l'assemblée n'avait pas été rassemblée, mais Faith n'avait pas perdu de temps. Le lendemain de la cérémonie, tous les dignitaires éthériens fûrent convoqués. Aussi, l'Ekesh Sifilis, Guide de l'esprit de l'Eglise oréthornienne, hâta le pas. La femme, descendante de la sage race des Avaloniens, était arrivée il y peu en Ethérie. Théologienne à ces heures perdues, elle avait été nommée par la Comtesse, afin de redorer le blason de la religion auprès du peuple Oréthornien. Le personnage restait énigmatique, peu de personnes connaissaient son passé.
Arrivée à l'hotel du Comté, elle entra bientôt dans la grande salle. Tous les notables d'Ethérie étaient déjà là, assis autour de la grande table de chêne. Elle reconnu Roddz, le vassal de Faith; un homme dont elle ne se souvenait plus du nom, mais qui était chargé des marchands du Comté; quelques militaires ; et bien sûr la Comtesse elle-même. L'ambiance était pesante, tous les regards se tournèrent vers elle lorsqu'elle rejoigna sa place.
Nous vous attendions, Sifilis, dit la comtesse. A son habitude, elle siègait en bout de table. Elle ne portait pas d'armure ce jour-là, Sifilis se dit donc qu'on ne parlerait pas guerre aujourd'hui. Elle avait plutôt revêtu une simple robe verte, aux couleurs du Comté, la fixant d'un air calme. Se tournant vers l'assemblée, elle reprit la parole. Voici donc l'Avalonienne dont je vous avais parlé. Que ce jour soit témoin de l'ordination officielle de Sifilis au rang d'Ekesh. Elle inclina légèrement la tête, d'un air respectueux. L'assemblée l'imita. Ekesh, la parole est à vous.
L'avalonienne se leva, et pris la parole, d'un air un peu gêné.
- Merci, Comtesse, pour l'acceuil que vous me réservez. J'ai conscience que la tâche que vous m'avez attribuée dépasse de loin ce dont j'aurais cru être capable ... Cependant, je garderais l'Espoir, en espérant trouver dans la prière les forces nécessaires à la réalisation de cette mission. Que la Lumière me guide !
- Votre importance est capitale, ne nous decevez pas. ajouta-t'elle. Quels sont vos premiers projets ?
- Je pense qu'il faut que nous fassions tout d'abord reconnaître la foi de nos aïlleux ... que le peuple retrouve la Vraie foi. Dans un premier temps, j'irais donc de comtés en comtés prêcher la bonne parole, en faisant également restaurer les lieux de culte abandonnés. Je comptais également sur votre aide pour ... favoriser les moines en devenir, nous en reparlerons surement ... Ensuite ... hum ... Nous ... nous verrons bien, dit-elle d'un ton nettement moins assuré.
L'assemblée semblait quelque peu surprise. La nouvelle Ekesh devrait faire ses preuves, et vite. Il en allait de sa légitimité à ce rang.
- Bien ... Continuons. Serdadjan, où en est l'entrainement des troupes ?
- Et bien, Comtesse ... Je dois avouer que ces recrues ne sont pas de mauvaises graines mais ils sont ... tellement fainéants pour le moment ! maugréa le nain. Mais faites moi confiance, d'ici quelques monas, ils seront mis au pas !
Après avoir évoqué la milice, on discuta des récoltes à vénir. Elles s'annonçaient excellentes, il faudrait peut-être engager de la main d'oeuvre d'Avalon. Bientôt, la comtesse clos la réunion, et l'Ekesh dit une prière. Tous retournèrent à leurs occupations quotidiennes.
************************************************
L’Eglise Oréthorniène : Le Culte du Kosh.
1. Fondement du culte :
Dans les croyances fortement ancrées dans l’esprit de la population Oréthorniène, le Kosh est la base du culte Oréthornien en y mêlant à la fois Oréthorne, considéré comme le père fondateur du peuple, et la lumière créatrice de la vie, le Kosh. Celui-ci signifie en Oréthornien « plusieurs en un » .
C’est Oréthorne qui aurait été le premier a prendre conscience de l’existence du Kosh, il aurait fait cesser la guerre qui ravageait la population du Kesh (la où se trouve le Kosh) en ayant pour seul message : « Il y a une grande force sous nos pieds, tous fondements s’y trouvent, si nous ne la défendons pas, plus rien de ce qui est ne sera. ».
D’après les dires d’Oréthorne, le Kosh serait le résultat de l’affrontement de deux énergies opposées. Le Cosmos, tel que nous le connaissons, se serait donc autodétruit de nombreuses fois, pour ensuite reprendre forme. Ces affrontements finirent par faire fusionner les deux énergies donnant ce qui sera appelé Lumière :« A l’aube du terrifiant tournois sans vainqueurs, vinrent les flammes sensées à nouveau porter destruction du tout. Tandis qu’un tonnerre assourdissant emplissait le vide et que les masses craquaient en toutes parts, la fin ne vint. Mais à la place un flot d’une lumière éblouissante se répandit, et par elle, par sa force même, se formèrent les quatre rayons, la nouvelle structure sur laquelle reposera à jamais le salut de l’existence. Quatre rayons porteurs se croisant en un point, ils y déversent leur force afin de former le centre du tout, le Kosh ».
Les Prophéties de Carn, par Oréthorne.
Le Kosh est un point physique où repose les bases même de la structure céleste. D’après les croyances, il serait munit d’une conscience propre, universelle et omniprésente. Mais il reste très puissant et vulnérable par sa constitution d’énergie pure ; il pourrait, en de mauvaises mains assez habiles pour le contrôler, devenir une arme redoutable, voir conduire à nouveau à une destruction du Cosmos. Cette conscience, capable de voir l’avenir, aurait choisit Oréthorne afin de la protéger (ou l’aurait créé dans certaines versions), lui parlant, l’attirant dans les lieux où elle reposait afin de lui transmettre sa mission. Il aurait alors, sur sa demande, partagé son message et unit les peuples après cinq miracles pour former ceux qui se nommeront Oréthorniens (Oréthorne : Guidé par la lumière). La volonté de protéger le Kosh les conduit à fonder Carn, la citée bastion reposant sur les croisement des rayons d’énergie mêmes.
Oréthorne se fit couronner après la construction de la citée. On dit que le Kosh lui aurait adressé la veille un dernier message direct qui lui permit d’écrire « Les Prophéties de Carn » annonçant dans un avenir lointain le conflit pour le contrôle du Kosh et l’exile du peuple Oréthornien, un message sombre mais laissant paraître une solution en la personne d'un lointain descendant sensé mettre à bas les porteurs du chaos.
2. Création du Culte du Kosh :
Après avoir été chassé du Carn par les troupes de Tellus, beaucoup d'Oréthorniens cultivés commencèrent à se tourner vers les anciennes écritures, pour essayer de comprendre ce que les prophéties leur réservaient. Malheureusement parmi tous ces livres, furent retrouvés de sombres parchemins. Des écrits datant d'avant Oréthorne, où l'on parle de démon et de magie noire. Beaucoup de nobles ambitieux succombèrent à la tentation d'utiliser les pratiques qui y étaient décrites, pour gagner en pouvoir. Ils commencèrent par faire de discrètes expériences sur leurs serfs, puis ils organisèrent des messes noires pour se retrouver entre eux et partager leurs connaissances impures. Finalement un complot visant à renverser le Roi fut mis en place.
C’est à ce moment là que le Culte du Kosh (jusqu'à présent secte mineure) fit son apparition. Cette branche de la religion du Kosh, restée depuis toujours fidèle aux enseignements d'Oréthorne, fut la première à réaliser la gravité des événements. De nombreux nobles avaient renié Oréthorne et le Kosh, pour se mettre à adorer les démons, entraînant avec eux sur les chemins de la damnation, leurs soldats ainsi que leurs paysans. Le Culte du Kosh, après avoir infiltré plusieurs hommes parmi les nobles hérétiques, choisit de prévenir le Roi de l'ampleur qu’avaient pris ces agissements. La réaction fut immédiate. Plus de 800 personnes furent arrêtés par les soldats du Roi, déclarés hérétiques après un court procès, et brûlés vifs par les membre du Culte du Kosh devant le reste du peuple.
En gage de récompense pour sa fidélité, le Roi Anathorne déclara que le Culte du Kosh serait la religion officielle des Oréthorniens et que tout le monde devrait se conformer à ses dogmes et croyances, sous peine de se voir lui aussi déclarer hérétique.
L’Eglise naissante choisit d’installer le centre de son pouvoir dans le comté d’Ethérie, accueillit par la nouvelle Comtesse Faith.
************************************************
Précisions HRP
J'espère que ça se sent au BG, mais le ton est ouvertement Roleplay. J'affirmerais franchement que les joueurs amateurs uniquement de kikoodrop, xp, RvR etc... ne sont pas spécialement les bienvenus (meme si drop, xp ou aller au RvR de temps en temps n'a jamais fait de mal).
J'ai aussi conscience que ce BG n'en est pas vraiment un. En effet, j'ai préfèré présenter le comté plus que repèter ce qui a été dit dans l'ancien post des Oréthorniens, où l'histoire oréthorniène a déjà été très bien présentée. Plus de détails sur le Comté seront accessible aux Ethériens.
Les rangs n'ont pas besoin d'être présentés ici. Il suffit de savoir que le Roi, Anathorne, est suzerain du Comte, lui-même au sommet de la hiérarchie de l'Ethérie aux côté du responsable de l'Eglise (mais sous certaines conditions qui n'ont pas besoin d'être développées pour l'instant). Viennent ensuite tous les soldats, moines et artisans. Au bas de l'échelle se trouvent les serfs.
Concernant la guilde, il y aura quelques petites particularité éthériennes :
1) Le joueur qui voudra nous rejoindre passera d'abord une petit test RP. S'il est jugé suffisament bon, il sera accepté parmis les Etheriens, sans toutes fois être guildé. C'est à dire que pendant une semaine, il jouera le rôle qu'il lui aura été attribué durant le test, sans avoir ni cc guilde, ni emblème (une autre sorte de test).
2) Tout travail mérite salaire ! Et oui, un petit système de taxe internes à la guilde sera mis en place. Que ce soit une pièce d'or ou une pièce de platine, tous les Etheriens donneront ce qu'ils pourront à la caisse de guilde; le rang du joueur aura aussi un rapport aveec cette somme. Cet or permettra à tous Ethériens qui auront accompli un petit travail pour le Comté (moissons, travail de copiste pour les moines), de recevoir une petite somme d'or (même si je doute que le montant sera très élevé, il faut l'admettre, ce sera surtout symbolique ... quoi que
).
.
.
.