Un des Bgs que j'avais fait

L'histoire d'Amtenaël
syphera
Billou
Posts: 196
Joined: 25 Feb 2006, 18:42
Discord:

Un des Bgs que j'avais fait

Unread post by syphera »

Je commence ce journal pour ma nouvelle épopée. Après quelques aventures, dans ma tendre enfance, passée à Albion, je pars pour le monde des Grands me disais je.
Je me nomme Tylos, simple Highlander qui cherche aventure. Tout commença lorsque je me baladai dans ce merveilleux village d’Albion. Ce village où tout paraissait si fantastique, si paisible, si familier, si sympathique, rien ne me fut délaissé.
J’avais en ce jour 16ans. La Taverne des villageois m’était interdite, mais le Bon Dieu m’a fait plus grand qu’autres hommes et pour tout dire j’étais assez beau gars, après avoir longuement réfléchi, j’y suis donc rentré quand même.

Les bagarres fusaient dans la taverne, les serveuses, plutôt enrobées, montraient leurs jambes comme provocation. Je vous avoue que cela ne me déplaisait guère.
Deux hommes en particulier attiraient mon attention. Pour en connaître un peu plus sur eux j’ai demandé au comptoir qui ils étaient en me servant une bonne cervoise de la contrée, voici ce que j’ai dit, je n’oublierai jamais ces phrases :
« - Sir, une demi cervoise, s’il vous plait.
- Tout de suite, dit le serveur en criant « hop, une demi cervoise, une ».
Tout en buvant ma cervoise, ma fine barbe était devenue blanche à cause de la mousse, je demande sûr de moi :
- Sir, encore une chose, qui sont ces hommes à la table entourés de belles femmes ?
- Oh, eux, ceux sont Yiunkel et Azuri, deux frères abandonnés. On les connaît bien dans la contrée. Ils sont vils et méchants, ce sont des brigands.
- Et bien j’espère vous voir une deuxième fois sir.
- Fait attention Petit.
Et voila pourquoi aujourd’hui je suis dans ce pétrin, en parlant aux deux hommes mystérieux.
- Bien le Bonjour messieurs, pourrais je vous parler un instant ?
- Pourquoi nous t’écouterions Chien ! répondirent les deux hommes
J’ai préféré me retenir pour ne pas me faire remarquer.
- j’aimerai vous parler pour une excursion, je cherche aventure.
- Je vois. Laissez nous femmes !
- Merci bien messires.
- Maintenant que nous sommes au calme, que veux tu ?
- Comme je vous l’ai dit, je recherche de l’aventure, je veux vous aider dans une épopée que vous ne pensiez pas réussir !

Les hommes se regardèrent de façon étrange puis exactement en même temps ils éclatèrent de rire. Puis un des hommes me répondit :
- Retourne dans les jupons de ta môman, nous n’avons pas besoin d’homme faible dans nos excursions.
Je sortis mon couteau et le planta dans la table.
- Personne ne me dira que je suis un faible et un lâche ! Laissez moi vous le prouver, acceptez moi dans votre quête !
- Tu es prêt à piller et tuer des hommes, crois tu que tu es prêt ?
Et je baissai la tête en répondant
- Vous avez raison, je vais m’entraîner dur pour pouvoir vous aider. N’oubliez pas mon nom je me nomme Tylos, venez ici à la même heure dans une année, j’y serais.
- Tu prends la bonne décision petit, nous t’attendrons.
Et voila, mon périple commença.
Je me suis entraîné dur, comme un sauvage, et les résultats sont là.
Six mois se sont maintenant écoulés, j’étais seul, toujours seul, au milieu d’une forêt d’Hibernia, je chassais, du nain, du troll, des loups, tout ce qu’il y avait à ma portée.
J’étais devenu fort, habile, sage.
Voilà que le douzième mois s’écoulait à la fin de cette journée. Je devais maintenant aller à la Taverne, retrouver mes deux hommes.

Ils n’étaient pas là, déçus, je me suis assis au comptoir et demandai :
- Une cervoise s’il vous plait.
L’homme me répondit
- Je ne vous ai pas déjà rencontré quelque part vous ?
- Si, il y a un an je vous avais demandé la même chose qu’aujourd’hui !
- Oh oui c’est toi petit qui avait demandé Wazup et Wazard ?
- c’est exact. Je devais les voir aujourd’hui mais ils ne sont pas là.
- Tiens ils ont laissé ça pour toi !
- Un télégramme ?
L’homme ne répondit pas car il avait des commandes.
Voila ce qu’il y avait écrit :
« Sir Tylos, Nous ne pouvons vous attendre le devoir nous appelle, nous vous attendrons dans quatre jours STOP Venez à Avalon STOP mon écuyer et mon cheval le plus puissant vous y attendront STOP Venez vite STOP et partez le plus tôt possible STOP
Amicalement Yiunkel et Azuri STOP »
Ce n'est pas la Légion noire qui vient à vous mais vous qui vennez à la Légion Noire
Image
syphera
Billou
Posts: 196
Joined: 25 Feb 2006, 18:42
Discord:

Unread post by syphera »

Un sourire se pinça sur mes lèvres.

Je marchais jusqu'à l’église d’Albion priant notre dieu tout puissant.
Voila je suis sorti de ce village enchanteresse, je marchais depuis près de deux jours, fatigués, je fit une sieste, ce qui me ralentit énormément.
Mais je fus dans les temps, je suis arrivé à Avalon pour la quatrième lune.
L’écuyer m’attendait près d’un cheval au corps somptueux. C’était un cheval Blanc, à la crinière de feu.
Arrivé devant l’écuyer je dis :
- C’est moi, Tylos, l’Highlander.
- Oui je le sais. Nous n’avons pas de temps à perdre, grimpe sur ton destrier, le cheval connaît le chemin. Il se nomme Artus, il comprendra ce que tu lui diras. Fait attention dans la forêt aux branches. Le cheval ne t’attendra pas.
- Bien.
Je grimpai donc sur ce beau cheval. Le voyage était long, très long, même interminable, la forêt continuait à des mètres et des mètres.
D’un coup le cheval s’arrêta. J’étais arrivé. Je vis Yiunkel et Azuri qui m’attendaient.
Ils s’approchaient de moi tout en douceur pour ne pas effrayer le cheval et dirent :
- Tylos ! Te voila enfin, nous t’attendions. Pardonne nous, de ne pas t’avoir attendu à la Taverne, nous ne pouvions pas attendre.
- Ce n’est rien je comprends, où partons nous ?
- Nous allons dans les collines de Midgard.
- Quel est notre but ?
- Tu le découvriras bien vite !

Je me tus alors et admirais le paysage. Nous étions à pied et voila maintenant deux jours qu’on marche sur des pierres, du sable, et des graviers.
Je n’était pas très riche à l’époque je n’avais pas d’armure j’avais donc de petites sandales en cuir, malheureusement pour grimper sur les rochers je glissais, dans le sable je m’enfonçais, et sur les graviers je devais m’arrêter toutes les dix minutes.

Je me sentais comme un poids pour les brigands avec qui j’étais. Je préférai donc souffrir en silence. Le paysage était si beau, on voyait des montagnes enneigées au loin, des hommes combattant des animaux, les arbres dont les feuilles tombées au gré de la romance du vent.
Tout me paraissait magnifique. Aujourd’hui, je ne sais pas quel jour nous sommes mais je n’oublierai jamais ce jour, Nous avions pénétré un village, qui bizarrement me parut familier, les enfants courraient autour de nous à part une petite fille qui était entrain de se faire battre sûrement par son père, je ne pouvais laisser faire ça. Je courus rejoindre Wazard et Wazup pour leur demander de faire halte quelques minutes.

Je courus rejoindre la petite fille et je dis :
- Sir, vous devez avoir sûrement une bonne raison de la taper, mais c’est une si jeune petite fille, alors arrêtez !
La petite fille me regarda, couvert de bleus et de marques rouge, puis elle baissa la tête honteuse de ce quelle avait fait.
Je la pris donc dans mes bras et je lui ai chuchoté :
- Ne t’inquiète pas, tout ira bien maintenant, ce sont tes parents qui te font cela ?
En touchant sa main couverte de bleu.
- Non, mes parents…urgh… sont mort dans un incendie. Cet homme m’a pris pour souffre douleur.
- Hum, je comprends je vais essayer d’arranger les choses, reste la.
Le village était petit je n’avais pas de mal à retrouver mes compagnons.
- Yiunkel, Azuri c’est important suivez moi, je vous expliquerai en route.
- Oui mais dépêche toi, me répondit Yiunkel, Nous devons bientôt prendre le large.
Nous retournions voir la petite fille et je dis à l’homme qui la frappait :
- Sir combien voudriez vous pour que je puisse reprendre cette petite fille ?
- Hum, douze pièces d’or me conviendraient.
- Et bien je vous la reprends pour dix pièces d’or !
- Marché conclu.
Je me retournai vers Yiunkel et Azuri, car je n’avais rien à part trente pièces d’argent.
- Bien, bien, me répondit Yiunkel, les voila tes dix pièces d’or, voleur.

Wazup lança les pièces d’or par terre et je pris la petite fille avec moi, Yiunkel devait avoir une idée derrière la tête. Après quelques pas Yiunkel est allé vers une petite forge, et attrapa la bourse qu’il y avait dessus et me la lança, tout en disant :
- Tiens, tu en auras plus besoin que moi pour nourrir cette gamine.
Je souriais à Yiunkel et Azuri, tout en serrant la main de cette jeune fille.
J’entendis alors, Yiunkel et Azuri crier :
- Tous au port ! Nous partons !
Je pris la petite fille dans mes bras, tout en montant sur le bateau.
Nous voila partis, je ne sais pas où nous allons, mais je fais confiance à mes amis.
Nous étions en plein dans l’océan, moi et la petite fille restions dans la cave, pour ne pas déranger l’équipage, lorsqu’on m’appela :
- Tylos ! Il y a une tempête qui se prépare, viens par là !
Je montais donc les escaliers lorsque la pluie commença à tomber, et je répondis :
- En quoi puis je vous aider ?
- Vas vérifier si tous les mats sont bien accrochés.
- D’accord, j’y vais, fait attention à la petite !
- Ne t’en fait pas, vas-y vite.
Ce n'est pas la Légion noire qui vient à vous mais vous qui vennez à la Légion Noire
Image
syphera
Billou
Posts: 196
Joined: 25 Feb 2006, 18:42
Discord:

Unread post by syphera »

Nous étions obligé de hausser la voix pour nous entendre. Je courus sur le pont, pour vérifier les noeuds. Rien d’anormal, après être passé voir tous les mats et voiles, je retournais dans la cave. Je ne savais toujours pas le nom de la petite fille donc je lui demandai :
- Petite, je ne sais pas ton prénom puis je le savoir ?
- Je me … Atchoum… nomme Syphera.
- Quel beau prénom.
- Moi je me nomme Tylos, au moindre problème fait appel à moi, mais quel âge as-tu ?
- J’ai maintenant huit ans.
- Tu es bien jeune dis moi.
Syphera baissa la tête comme elle avait l’habitude de faire, et commença a pleurer.
- Mais Syphera qu’as-tu ? pourquoi pleures tu ?
- Je ne vous mérite pas, vous êtes trop bon, je ne suis qu’une vilaine petite fille.
- Mais non, mais non, ne dit pas ça, je suis sure que c’est faut, j’y mettrais ma main au…
J’avais fait une gourde j’allais dire feu alors que ses parents sont mort dans un incendie.
- Ce n’est pas grave vous savez, cela fait déjà longtemps qu’il ne sont plus là.

Je préférais me taire désormais mais il fallait que j’aille demander à Yiunkel ou nous allons. Après quelques heures passées à dormir près des rats, Syphera dormait encor, je lui fis un bisou sur le front et parti voir Yiunkel. J’avais du mal a tenir debout sans tomber, me tenant aux cordes, je réussi à aller jusqu’à Yiunkel. Le temps était magnifique la tempête était passé, je n’ai pas eu de mal a retrouver Yiunkel et je lui demanda :
- Wazup ou allons nous ? Je voudrais savoir.
Quelqu’un cri :
- Terre, Terre !
Yiunkel me souriait sans même répondre à ma question.
Je voyais une île au loin, bordé de palmiers et bananiers. Je retournais donc dans ma cave en courant. Et je réveillais ma petite princesse.
- Princesse, je haussais la voix, Princesse !
Ces yeux commençaient à s’ouvrir.
- Qui y’a-t-il Tylos ?
- Nous arrivons, réveille toi !
- Oui, oui, j’arrive.
Je souriais car elle ronchonnait tout en riant.

Nous voila descendu sur l’île, je pris la main de Syphera en allant voir Wazard.
- Wazard, que faisons nous ici ?
- Sache Tylos que nous ne laissons jamais nos hommes mourir, nous sommes venu ici il y a trois ans, sans rien trouver, et un de nos hommes a été tuer par un monstre, je ne sais sont nom, mais aujourd’hui nous venons venger notre frère.
- Mais que cherchiez vous il y a trois ans ?
- Nous cherchions un fort. Je ne t’ai pas tout dit Tylos il faudrait que l’on parle cette nuit
- Je me taisais désormais, et suivais les autres brigands.
Wazup venait me voir et me tendait une épée ainsi qu’un sabre pour les branches.
- Prends ceci on ne sait jamais tu devrais en avoir besoin.
- Merci.
La première nuit sur cette île était magnifique, c’était la pleine lune, Yiunkel est venu me voir tout en se rapprochant de moi il me dit :
- Tylos, sache que nous ne sommes pas des brigands, nous avons toute une patrie à nourrir, nous sommes des légionnaires, notre sang a été versé pour Lucifer, et pour tout te dire Tylos, j’ai connu ton père, un brave homme, un bon légionnaire également.
- Il n’était pas légionnaire ! C’était un forgeron, tout ce qu’il y a de meilleure, il était bon !
- Ce n’était qu’un légionnaire, crois moi, accepte le si tu veux mais tu as le sang de Lucifer qui coule dans tes veines.

Voilà trois jours que nous marchons et essayons de trouver le fort, sans succès.
La nuit tomba lors de la troisième lune, au beau matin, en me réveillant le premier, Syphera n’était la ! Je criais :
- Elle est partit !! Syphera est partit ! Yiunkel, Azuri, réveillez vous ! allez !

Yiunkel et Azuri prirent leurs meilleurs hommes et on sait tous disperser pour la retrouver.
J’étais avec l’homme qui était venu me chercher sur le bateau, inquiet pour Syphera, je préférais me taire.
L’homme me disait :
- Regarde des traces de pas, vu la taille c’est sûrement Syphera, ne perds pas espoir on va la retrouvé, et si ce n’est pas nous se sera d’autres de nos troupes.
- J’espère que tu dis vraie mon ami.
Suivant les traces de pas, je préférais me taire, angoissé, et inquiet.
Après quelques minutes de marche nous étions arrivé à un petit étang où une cascade tombé des rochés. C’était un endroit merveilleux, enchanteur, où les arbres se mélangeaient aux plantes aromatiques, où les fleurs se mélangeaient au son de l’eau tapant la rive sablée. Je ne peux vous décrire la beauté de ce lieu, c’est comme rempli de magie, je ne peux exprimé ce que je ressent. Les traces s’arrêtaient aux niveau de l’eau, elle a du nager me disais je.

Seul, je me mis à déboutonner ma chemise puis a avancer dans l’eau glacer. Mon ami inquiet me disait :
- Mais Tylos, revient ! il se peut qu’il y est des pieuvres ou autres créatures qui peuvent t’avalé !
- Mais ne t’inquiète pas j’ai encor mon épée sur moi, ce n’est pas profond, a part si tu as peur des crabes.
Ce n'est pas la Légion noire qui vient à vous mais vous qui vennez à la Légion Noire
Image
syphera
Billou
Posts: 196
Joined: 25 Feb 2006, 18:42
Discord:

Unread post by syphera »

Et je me mis à rire avec mon compagnon, mais sans lui montrer, j’avais quand même très peur.
Une lumière étrange me fit ouvrir l’œil derrière la cascade quelque chose m’attirait.
Oui, c’était bien ça, une grotte, derrière la cascade. Je couru rechercher mon ami de peur qu’il ne s’inquiète.
- Viens vite, j’ai découvert quelque chose vite, vite !
- Oui, j’arrive laisse moi faire le tour.
Après quelques minutes, le temps de l’attendre, nous étions rentré dans cette grotte, c’est sûrement la qu’elle a du aller. Des petites traces de mains boueuses étaient inscrites sur la paroi froide et humide. Je ne pouvais appelé du renfort, elle avait besoin de moi et maintenant.
Un seul passage était distinct nous avancions, les traces de mains avaient disparu. Deux passage maintenant, un à gauche, un à droite. Je pris celui de gauche et mon ami celui de droite. Je ne peux alors que vous décrire mon côté, le passage de gauche.

Des stalagmites descendaient vers le sol mouillé, je devais alors faire attention pour ne pas me cogner, cette grotte doit avoir des milliers d’année pour que les stalagmites soient aussi grandes. Le froid s’avait se faire sentir, des bourrasques de vent froid venaient efflorer mes jambes et mes bras.

Je continu à marcher, ma torche s’est éteint par le vent, je vois une lumière, peut être que c’était elle.

Je me mis à courir, il ne me reste plus beaucoup de force, je n’ai presque pas dormit de la nuit, j’approche de la lumière, voila j’y suis.

Je vis alors mes deux compagnons, ils étaient là eux aussi, les deux chemins nous ramenaient à ce lac, où la couleur de l’eau était rouge, rouge comme le sang !
Je retrouvais ma petite Syphera, qui était assit au bord du lac, je la pris alors dans mes bras, en la serrant fort, tout en lui murmurant :
- Pourquoi es tu parti, tu m’as fait très peur !
- Il y avait une petite souris qui est allé ici alors je les suivis mais elle s’est noyée dans le lac.
Sans répondre, je lui pris la main, pour attendre les ordres des deux compagnons d’arme.
Azuri dit alors :
- Pourquoi cette grotte ne ferait telle pas notre fort, elle devrait plaire a tout le monde !
Alors personne ne contestait Azuri, je réfléchissais tout en rentrant avec Syphera sur le bateau de mon avenir dois je être aussi légionnaire, comme mon père, cette question me torturait l’esprit.
Après quelques journées de bateau, nous voila rentré à bon port, fatigué, je pris Syphera la ramenant à ma maison, enfin maison… je dirais chemineau, mais cela est bien suffisant.
La nuit tombée, je pris Syphera sur mes genoux en lui disant :
- Veux tu retourner a ton village ou rester avec moi ici ?
- Je veux rester avec toi !

Un sourire se pinça alors sur mes lèvres.
- maintenant dors, il faut que tu reprennes des forces.
- Oui Tylos.
- Tu peux m’appeler Papa maintenant enfin si tu le désires.

Il n’était pas très tard, le marcher était encore ouvert, je voulais chercher un cadeau qui pouvait lui resté éternellement ou presque, à ma chère fille. Je fis le tour du marcher mais rien n’était de valeur ou presque. Un palefrenier était là, assis près de ses chevaux. Je n’ai pas hésité, j’ai trouvé le cadeau idéal, un cheval !
Il était magnifique ce poulain, encore jeune de robe noire, c’était un cheval de trait, ces sabots était assez gros comparé aux autres.

Je l’avais attaché à un arbre, où il y avait de l’herbe.
Le lendemain, Syphera s’était enfin réveillé, j’étais tous excité à l’idée qu’elle soit contente enfin.

- Papa, Papa ! y’a un cheval devant la porte !

Je lui souriais alors pour lui faire comprendre que je l’avais acheté pour elle.
Sans même toucher au poulain, elle parti en courant me sautant dans les bras, et me cria :
- Je l’appellerais Filiasse. Quel beau nom ne trouves tu pas ?
- Oui, c’est magnifique allez vite je vais t’apprendre à le monter.

Maintenant je lui laissais aller où elle veut, elle grandit chaque jour, mais un jour, je dus partir en quêtes, je n’avais plus d’argent, l’ancienne forge de mon père se fait vieille.
Alors j’étais allé à la Taverne du coin, recherchant des quêtes simple et qui rapporte.

Mais celle que j’ai faite, a duré 9 ans, je ne l’ai pas vu depuis 30 ans sans message comment était elle maintenant ?
Enfin, je retournais chez moi, elle était là ! Affamé, elle devait chasser je voyais des restes de mammouths.
Ce n'est pas la Légion noire qui vient à vous mais vous qui vennez à la Légion Noire
Image
syphera
Billou
Posts: 196
Joined: 25 Feb 2006, 18:42
Discord:

Unread post by syphera »

Je l’ai réveillé en disant :
- Ma petite fille c’est moi ton père !
- Papa ! tu es la enfin !
- Oui ma fille je ne te quitterais plus maintenant.
- Mais que faisais tu ?
- J’étais parti pour devenir légionnaire comme mon père autrefois.
J’ai parlé de toi à la légion et ils seront ravis de te revoir surtout Yiunkel et Azuri.
- Oui moi aussi je serais ravi de les revoirs.
Une larme coulait sur la joue de Syphera.
- Pourquoi pleures tu ?
- Tu m’as tellement manqué, je pensais que tu n’allais jamais revenir.
- Ne dis pas ça, je ne pouvais te laisser, chaque seconde loin de toi était une tristesse en plus.
Quelques mois plus tard, nous étions aller voir Yiunkel et Azuri, c’était un vraie bonheur de les revoirs. Nous avons parlé pendant des heures de notre vie après la péripétie de l’autrefois.
Yiunkel, Azuri, j’ai parlé à Syphera de la légion, quand je n’étais pas là, pendant 9ans, elle tuait presque tout elle avait soif de vengeance pour ses parents, elle veut retrouver l’homme qui l’a battu, elle a tant de choses a faire, …
- Je vois, me répondit Azuri, je parlerais d’elle a Mitos, notre chef.
- Merci mon frère.
Et maintenant nous attendions la réponse de Mitos qui lui seul pouvait choisir si oui ou non Syphera serait un bonne Légionnaire.
Ce n'est pas la Légion noire qui vient à vous mais vous qui vennez à la Légion Noire
Image
Post Reply