< Les Albaroths de Carn >

[Anathorne]

Les Albaroths.






Origine : ( en quelques lignes )

Apres de longues années qui avaient contribuées à la formation du royaume de Kesh, Oréthorne avait enfin terminé la merveille du nouvel age; Carn la belle, dit aussi la cité du Kosh, prenait enfin sa place de capital.
Dès lors royaume riche et prospère s’étendait sur tout le continent, des montagnes du nord aux forets du sud le pouvoir de Carn était.
Un territoire grand ... trop grand. Comment être certain de la loyauté de ceux qui se trouvent si loin ? Si ils se soulevaient, comment les stopper ?
Ainsi naquierent les Albaroths, réunis par Oréthorne lui même. Cette élite comportait les plus fidèles parmi les fidèles de tout le royaume.
Ne répondant qu’au nom du roi, ils s’accrurent bien vite, prenant chaque génération de l’importance dans les domaines politiques, judiciaire, et avant tout militaire.
L’Albaroth fut bien vite assimilé à l’ordre du royaume, Respect, Honneur, Fidélité et Courage étaient leur devise.
Au nom du roi ils faisaient respecter la loi, et sa volonté, avant de petit à petit prendre la place des seigneurs mis en place.
Les guerres de Carn furent l’élément déclencheur du déclin de l’Albaroth, ainsi que du royaume tout entier. Beaucoup d’entre eux s’illustrèrent dans des batailles héroïque, mais hélas, tout a une fin.
Carn fut prise après plusieurs siècles de guerre. Tous, le peuple, l’armée, les Albaroths qui étaient sur les murailles de la citée des cieux furent anéantis.
Mais parmi eux survecurent une poignée d'homme, répondant au nom du dernier descendant d’Oréthorne, Anathorne. Et c’est ainsi que l’élite se retrouva sur les terres d’Avalon pour tenter de… Mais ceci est encore une longue histoire.


Actuellement :



Les Albaroths ne sont pas qu'une simple classe sociale ou un regroupement d'hommes... Il s'agit d'une communautée composée de nombreux corps encrés dans un systeme féodal. On part du principe que le simple petit écuyer, à force de courage, persévérance et bonne conduite peut posséder en fin de parcour, un haut rang.

Un Albaroth, qu'il soit petit ou grand, et avant tout un représentant de l'ancien royaume d'Oréthorne. Il se doit de respecter des valeurs comme la fraternité, le respect, la loyauté, l'honneur et la bonté.

Avant tout, il doit se montrer exemplaire, plus il prend de grandes décisions, plus il doit être responsable... Il ne doit pas oublier qu'il fait honneur a sa guilde, et son seigneur. Si c’est par intérêt personel qu’il désire rejoindre le royaume, il n’a pas sa place.

L'Albaroth, à part être un soldat, peut devenir seigneur si son suzerain l'anoblit... Par ce fait, il possèdera le droit de prendre lui même des vassaux, de créer sa propre seigneurie comportant son domaine et ses terres ( qu'il divisera entre ses hommes ). Il aura alors comme obligations de les entretenir, de les défendre et de faire honneur au royaume..

Une contribution sera demandée à ceux qui percevront un haut revenu sur leurs terres.

Les plus grands seront appelés à connaître le secret du Kosh, les prophéties de Carn, ainsi que les secrets d’Oréthorne qui se transmettent de bouche à oreille depuis l’aube de la création.

Une foule de métiers et profession est présente. Tout le monde a sa place, faible ou fort. Seul sa volonté et ses capacités décideront d’une ascension plus ou moins rapide. .


Les Rangs :


Héritier d’Oréthorne, Filitis.

Ce titre est réservé aux descendants direct d’Oréthorne pas droit de sang, ils sont appelés a gouverner le royaume fondé par celui ci. Par ce titre ils sont considéré suzerain de tout les Albaroths. Il possède tout les droits et pouvoirs que ce soit dans le domaine Politique, Militaire, Juridique... Il a pour devoir de guider les siens sur les terres du nouveau royaume.

Elfenes et intendant.

L’Elfenes est un homme désigné par le Seigneur Albaroth, c’est un titre réservé aux plus fidèles et valeureux de l’élite, considéré comme des héros dans la culture Oréthorniene ont les retrouvent habituellement aux hauts rangs, le plus souvent a la droite du descendant d’Oréthorne. L’Elfenes possède le privilège de connaître par la bouche de l’héritier d’Oréthorne les secrets de Carn, il devient alors adepte du culte du Kosh et devient un défenseur de ce dernier.

il peut être désigné comme intendant. L’intendant n’est d’autre que la personne prenant les pouvoir du maître en attendant son retour ou un successeur, il promet d’agir dans le bien de ses sujets et jure de pas agir a ses fins.

Seigneur provincial

Le seigneur provincial dirige un région plus ou moins vaste au nom de l’héritier d’Oréthorne. Il est suzerain des seigneur terriens qui se trouvent sous sa domination . Il se doit d’y faire respecter les lois et règles dictés. Ils servent aussi de diplomates et d’intermédiaires entre le pouvoir et l’extérieur.
Le seigneur provincial a pour obligations d’entretenir des troupes, de protéger ses terres, de faire en sorte que la récolte arrive en la capital du royaume.
Il doit pour cela être bon, loyal, et posséder un esprit de leader.

Seigneur terrien.

Le seigneur terrien, vassal du seigneur provincial possède un domaine donné par son suzerain.
Il entretient aussi en son nom des hommes qui lui sont vassaux, prêt a prendre les armes si les ordres de ses supérieurs le demandent.
Il à pour obligation lui aussi faire respecter la justice du royaume et pour cela possède le droit de juger et de punir.
Il prélève une part des récoltes pour entretenir son domaine faisant en sorte que le reste arrive a bon port.

Le seigneur terrien en plus des qualités du seigneur provincial, doit se montrer bon géreur, car il est le chaînon principal du royaume.

Capitaine

Le capitaine est élue par le seigneur provincial ou terrien, il fait le lien entre les hommes et le seigneur, il peut prendre en charge de nombreux ordres.. Comme faire exécuter les ordres du seigneur, faire respecter la justice.. Le capitaine reçoit une solde supérieur a celui des hommes. Aucuns liens d’allégeance ne lie les hommes au capitaine bien que le capitaine ait prêté serment aux seigneurs.
Mais cela ne doit pas l’émpécher d’être un meneur d’hommes, qu’ils lui sont fidèles et obéissant. Le charisme et la force de persuasion est demandé pour ce poste.

Albaroth

L’Albaroth est l’homme de base du system féodal Oréthornien. Anoblis son rang est plus élevé que les simples militaires. Ils ont pour mission de venir en aide aux individus en tout genre, ils arpentent les royaumes aidant les gens en peine et ouvrant les portes de l’Albaroth a ceux désireux d'y entrer les guidant ainsi vers leur suzerain. Ils connaissent parfaitement les règles et principes qui les dirigent.

chaque Albaroth possède une petite parcelle de terre et perçoit donc une part des récoltes, il doit se montrer exemplaire sous peine de voir ses terres retirés, et ses titres déchus.
On demande du courage, de la noblesse d'esprit et un sens aigus de la discipline a ce dernier.

Homme d’armes, écuyers, et autres

Ceux qui ne furent pas anoblis chevalier Albaroth, sont considéré comme hommes d’armes, ils ne possèdent de terres, et de droits, ils sont en dessous de l’Albaroth et par cela sont sous leur autorité.

Un rang de novice et d’initié, avant tout une mise a l’épreuve marquant l’entré ou nous dans le system.

Scribe, poète, conteur.

Ce sont des personnes ayant un fort penchant pour les lettres et l’art. Très appréciés dans le system Oréthornien, ils trouvent facilement un seigneur qui en échange de leur protection et aide, sont prêt a chanter, écrire, raconter les divers récits, faits, informations qu’ils leur seront demandé.
Une solde peut être reçut.
Un rang réservé ( mais très recherché ) a ceux dont la rigueur des armes laisse a désirer, dirigeant mieux la plume que les hommes ou les terres.

Paysan, ouvrier.. ext.

Ils n'ont que pour but d'obéir a leurs supérieurs.. Mais ont pour avantage de toucher un fort salaire en conséquent de la besogne.


Alignement :

Un alignement entièrement bon comme le voulait Oréthorne, une méfiance et haine assez poussé envers les guildes du mal ou chaotique quand celles ci ne poussent pas à une guerre.

Etat de paix.

Quand le Filitis déclare que la paix règne, les hommes peuvent s’entraîner, vaquer a leurs occupations librement si ils ne sont pas en charge d’une mission par leur suzerain.

Etat de guerre.

Si l’état de guerre est déclaré. Il est interdit aux hommes de trop s’éloigner de leurs suzerains, les hauts gradés se doivent de mobiliser a leurs cotés tout leurs vassaux, prêt répondre aux ordres.

Le recrutement

Peut recruter uniquement les hommes possédant un droit de suzeraineté, ils pourront intégrer leurs initiés dans leur seigneurie à ces conditions.

La personne en question doit correspondre au type Albaroth, etre apte a ce qu’on peut lui demander. L’entrainement aux armes importe peu si l’initié cherche à s’instruire tout en possédant un langage clair et précis, en aucuns cas sera admis une personne employant le bas parlé Une fois un le serment fait, l’Albaroth ne peut plus changer de suzerain, sauf avec une expetionel autorisation du seigneur. Le suzerain se doit de le former.

[edalryan]

C'est un renouveau pour la guilde?

D'un salut juste...

[Anathorne]

Le départ de Carn

Eremnhor s’assit et regarda les étoiles qui brillaient là-haut dans le ciel, au dessus de la tour de la forteresse. De temps en temps, un nuage noir passait devant la lune. Ces nuages ressemblaient à des collines, déchiquetées et menaçantes, inexorables et douées de raison. Eremnhor détacha son regard de la fenêtre et se frotta les yeux. Il avait déjà été fatigué dans sa vie, mais jamais au point d’avoir l’âme engourdie et l’esprit dépressif. A présent il faisait noir dans la pièce. Il avait oublié d’allumer les bougies tant il avait été absorbé par le ciel obscur. Il jeta un coup d’œil autour de lui : Accueillante et chaleureuse à la lumière du jour, la pièce était à présent remplie d’ombres inquiétantes et sans vie. Ici, il était un intrus...

Cette pièce ne lui rappelait que trop intensément son pays, celui qu’il défendait en vain depuis près de trois mois maintenant. La chaleur bienveillante du jour s’était définitivement retirée du pays d’Oréthorne et avec la bataille de Carn, le royaume était rentré dans une nuit éternelle. Cette bataille avait été provoquée par Tréllus le Félon, un mage puissant dont l’unique but, semblait-il, était de voir la lignée de Thorne, le fondateur de ce royaume, s’éteindre dans un bain de sang.

Une des légendes du pays concernait les descendants d'Oréthorne, et plus principalement la centième génération, celle du seigneur Anathorne, le futur héritier du trône. Cette pensée fit grimacer Eremnhor, quelle utopie que de croire qu’un jour prochain ce trône pourrait revenir aux fils de Thorne alors que la forteresse allait céder dans les heures à venir !

Chassant ces pensées il jura et alluma les bougies. Comme il y avait déjà des bûches dans la cheminée, il n’eut qu’à allumer le feu –alors qu’il ne faisait pas froid- et s’assit sur une chaise à dossier de cuir. Il regarda les flammes s’élever à travers le petit bois pour venir mordre les grosses bûches du dessus. Elles tanguaient sous la brise et faisaient danser les ombres.

Eremnhor n’eut qu’à tendre le bras pour attraper sur la table basse adjacente le pli que lui avait remis son roi durant la soirée. Ses yeux fatigués survolèrent les mots qu’une main tremblant avait couché ici à son attention. Il n’eut pas à faire l’effort de lire réellement la lettre tant son contenu avait été gravé dans sa mémoire. Cet ordonnance de son roi lui commandait de quitter la forteresse par le passage inondé et d’emmener de force Anathorne loin de cette saleté de guerre.

Ainsi le roi voulait-il encore croire à cette prophétie, celle du centième descendant qui est appelée à faire de grandes choses et de sauver le pays d’Orethorne. Il lui ordonnait à lui, Eremnhor, le meilleur de ses généraux, de quitter la bataille pour sauver la vie de son fils, Anathorne. Le général, d’un geste vif, lança la lettre dans l’âtre oû elle ne tarda pas à se recroqueviller et disparaître dans les flammes.

Espèce de vieux fou, se dit-il alors que le feu prenait davantage et qu’il avait dors et déjà trop chaud, tu me prive d’un grand moment de gloire pour des croyances archaïques ! Que penses-tu qu’un homme seul puisse changer en ce monde ? Il vaudrait mieux pour lui qu’il ne meure ici et maintenant que de vivre dans la honte de cette bataille !

Un faible coup à la porte le tira de ses pensées. Il appela et Serbitar, son aide de camp, entra dans la pièce. L’espace d’un instant Eremnhor ne le reconnut pas : il ne portait pas son habituelle tunique verte. Il était vêtu d’une armure déjà bien tâché de sang, dont la plupart était heureusement celui de ses ennemis.

« Général, l’heure est arrivée, l’ennemi est dans nos murs !! Nous avons remplis les douves intérieures pour ralentir leur progression et le passage inondé est dorénavant praticable. Anathorne attend... »

Pour appuyer les paroles de son aide de camp, la porte de la tour hurla de toutes les fibres de son bois alors que le bélier ennemi la frappa de plein fouet. Le chêne de la double porte ne tiendrait pas le coup bien longtemps a ce rythme et la dernière défense du palais allait tomber avec elle. Eremnhor jeta un dernier regard au feu qui brûlait dans la cheminée et aux cendres qui virevoltait tout autour.

Ainsi je vais devoir sauver la vie de cet homme. Qui sait, s’il est survenu à l'âge à devenir le seigneur de l'élite du royaume, les Albaroths, peut-être que l’espoir que son père met en lui n’est pas infondé...


Et alors qu’une heure plus tard le général adverse se tenait en haut de cette tour, brandissant au regard de ses armées la tête du roi vaincu, un homme, l'arme en main, souillé par le sang regarde la scène de son navire voguant vers les terres d’Amtenael.

« Je reviendrais vous venger père, vous et tout ceux de mon peuple morts aujourd’hui...»

Une seule et unique larme fut emportée par la brise du coin des yeux d'Anathorne, ponctuant le chapitre d’une vie, et le début d’un autre...

[Anathorne]

[Hrp/: Non, mais le vieux topic ne corespondait en rien a la nouvelle organisation.. j'en ai fais donc un nouveau.. Aussi, j'en profite pour dire, qu'il est préfairable de répondre de manierre rp.. Merci bien ]

[Anathorne]

Iv Eneles ef Evéléthorne.
Premier lundi de la Mars

Hier fut une soirée pour une fois calme, je m’installais au profond de la chambre obscure ou je savais que personne ne viendrait me déranger. Mais par Oréthorne, comme il faisait sombre ! Pour cause la cheminé était vide de tout feux ( le prix à payer quand on veut être tranquille )

C’est avec au début lassitude que je me posa sur cette chaise de bois noir pour y lire à la lumière de ma bougie, une sorte de vieux manuscrit à moitié rongé par les eaux et empoussiérait pas le temps. Un vieux registre ou j’avais écris en haut parlé.
Je tournais délicatement les pages, les unes après les autres, m’arrêtant parfois sur quelques lignes à l’écriture fine et allongé qui m’était propre. ( il me faut penser à écrire plus souvent en ce que mes pères nommaient injustement le bas parlé, ou le parlé commun, pour faute de ne pouvoir transmettre plus tard mes écrits )

En runes Oréthorniènes j’avais inscris nombreux serments qui me furent prononcés par le passé ( je le fais toujours ), car je possédais cette soif de vouloir toujours tout figer par les écrits, et je l’ai encore. Enfin bref, je lisais avec attention, me remémorant qui était tombé et qui servait encore la cause. Beaucoup de morts, de désertions, mais également beaucoup de fidels… Mais je m’entêtais à lire à voix haute les allégeances les plus chères……

[Thorgor]

Je, "Lokräath Kivilaksoo", prête serment d'allégeance à mon Seigneur et Roi Anathorne de Carn, fils de Thorne.
Dès ce jour, son autorité est la seule qui m'importe et que je reconnais.
En cet instant, je fais de Sa volonté la mienne et jure de ne jamais ternir Sa Majesté.
A Lui seul ai-je des comptes à rendre et de Lui seul puis-je obtenir grâce s'il advient que mes actes font de moi un parjure.
Que l'Aigle notre seul Guide puisse entretenir la clarté de mon esprit, la fermeté de ma main et la droiture de ma route.

Ana es nea isilith !

[Yarm]

Yarm, Elfenes Albaroth, Fils d'un Albaroth mort au combat, Oseoth, reitere en ce jour mon serment d'allegence en vers mon seigneur.
Il aura toute ma fideliter et toute mon honneur, ma lame sera sienne.
Anathorne, fils de Thorne, sera la seul personne a qui j'obeirais, je me batterais pour lui jusqu'a mon dernier souffle de vie.
Je respecterais ces choix quels qu'ils soient.
Qu'Orethorne guide nos pas et puisse t-il nous aider dans notre quete... Celle de Carn.

Ana es nea Isilith !

[Bamban]

Moi, Bamban, ménestrel attitré du seigneur Albaroth qu'est en ces temps Anathorne, donne ma vie, mon honneur et mon luth à sa cause. Ses decisions deviennent mes priorités, ses reves deviennent mes buts. Jusqu'a ce que je restitue à la nature ce qu'elle m'a donné, je me battrais pour mon peuple et pour l'idéal Albaroth.
Qu'Oréthorne nous guide vers la lumière!

Carn renaîtra...

Ana es nea Isilith !

[aragorne]

Moi Aragorne, ayant renoncé au trône d'Alnia pour servir les Albaroth, Maître d'Arme fils de Nargorne Ancien roi d'Alnia, prête serment d'allégeance au seul Seigneur et Roi fils de Thorne et descendant d'Orethorne.
Je lui donnerais toute ma fidélité et mon honneur pour servir un Seigneur digne de ce nom. De la vie jusqu'à la mort, dans les flammes de l'enfer, dans les glaces des montagnes, à la guerre comme pendant la paix, a jamais je servirais Anathorne, lui obéirais. Ma lance et mon esprit seront a jamais sien, lui seul aura pouvoir sur moi. Seul mon seigneur pourra dédire ce serment.. ou la mort.

Je me battrais pour revoir la lumière de feu la cité de Carn... Je me battrais pour la gloire d'Orethorne, pour qu'il puisse guider mes pas. Pour ce faire, son descendant le représente, et aux yeux de tous les Albaroth… A jamais je serais un chevalier oréthornien, jusqu'à mon dernier souffle je me battrais. Plutôt mourir que de tourner le dos a l'ennemi faute de courage, mourir au combat est ma seul destinée si me battre, je dois. Se battre pour mon idéal n'est pas seulement frapper mais aussi affuter le tranchant de mes mot pour défendre une cause.

Gloire a Orethorne … Que l’aigle revive …

Ana es nea Isilith !

[Anathorne]

Anathorne songeur se posa sur son habituel chaise, la lumière du soleil devenant de plus en plus rare il fit venir la chandelle.. Il passa un long regard sur la pièce, il aimait toujours sa simplicité et son confort. Une fois sorti de ses songes, il ouvrit une fois de plus son vieux manuscrit ou il renfermé ses plus noirs secrets. Les évènements lui avaient empêché de le tenir, mais mieux vaut tard que jamais non ? De cette écriture fine mais pourtant presque illisible, il inscrit ce qu’il suit.

Emeles ef arne.
Cinquième jours de la quatrième lune.

Le temps ne m’à guerre laissé le loisir de tenir ce vieux torchon, mais maintenant que le calme frappe à ma porte j’écris pour ne tomber dans la paresse des jours sans actions.
Je viens d’en prendre la résolution, je n’écrirai plus en Oréthornien sur ses pages. La langue dites injustement moindre m’est bien plus agréable depuis que je sais la manier, et le jour viendra ou il n’y aura plus personnes pour comprendre ses dires. Mes os se font vieux et la descendance se fait attendre, j’ai peu être porté trop souvent l’armure pour en venir à oublier que j’étais mortel. Que Katalina me pardonne, l’absence est un fardeau bien pesant pour une femme..

Ce jour fut empli de joie pourtant et d’étonnement, j’avais mal interprété les prophéties en ce qui concerne la séparation de la chaire et de l’esprit qui ne ferait plus tard de nouveau qu’un.. Mais voici ma drôle de journée. Je n’expliquerai tout car la paresse guide en ses heures ma main ( Katalina m’étriperai si elle entendait ça ! Elle qui insiste tant pour pouvoir un jour lire les mémoires d’Anathorne.. Mais il en sera sans doutes le cas quand elle se rendra compte que presque tout fut écrit en Oréthornien ! Enfin bref.. ) Nous fumes prit en embuscades prêt d’un bois non loin de cette citée Camelot, je devrai prendre plus de précautions , nous sommes bien en guerre, heureusement seul l’appât du gain intéressait ses gaillards. Il n’avaient point vue que un de mes hommes qui traînait la patte ( toujours en retard ce Séléniord ) assisté caché derrière un arbre à la scène.. Comme je l’ai dis, le fait que l’or tournait à la tète de ses gens permit à Séléniord de partir sans se faire voir. Je ne pouvais que gagner du temps en espérant le voir arriver avec quelques hommes.

Que fut ma surprise quand je vis un attroupement de cavalier, bien plus nombreux que je le pensais ils firent fuir nos assaillants. Mais une chose m’étonna bien plus.. Ils n’étaient point tous de ma seigneurie, parmi eux moult visages inconnues se trouvaient.. Enfait, ses fiers guerriers étaient des Fils de Gaia, ainsi que des hommes du Consortium. Je me suis alors souvenu de la discussion au port en Atlantide, ou de nombreux Seigneurs défenseurs de Gaia m’avaient promis leur aide. J’étais alors pessimiste car beaucoup promettent et se contentent de regarder, mais à l’instant je compris que ses gens étaient bien plus que des hommes d’honneurs. Quant au Consortium, leur présence m’étonna bien plus, je n’eu le temps de poser questions qu’un d’entre eux s’avance, il se nommait Belakor je crois : Sir Anathorne, dit il, autrefois existait de nombreux liens entres nos maisons, nous sommes venue répondre aux pactes du passé et ainsi aider nos amis.. Ma joie était alors grande, car nous nous sentions seuls et venons de retrouver deux fidels amis. Apres avoir longtemps discuté nous nous séparâmes, je n’oublierai cette aide et suis prêt à en faire de même.

Sinon, la journée fut bien fastidieuse.. J’ai passé plus de temps que je n’aurai du avec ce maudit Capitaine, il demande toujours plus pour transporter nos récoltes, il est peu être temps de fonder nos propres navires.

J’ai fait la connaissance d’un Leilo, un jeune soigneur fort prometteur, il me semble bon et m’a fait part de ses désires de joindre ma Maison. Je l’ai fais surveillé bien qu’il ne le sache, point que je ne l’apprécie pas, nenni ! Mais je préfère avoir de nombreuses informations sur ses postulants..

Demain, je commencerai les registres, la saison se termine et vient le moment répondre aux conflits ( Est-ce de ma faute si ces seigneurs se battent pour un sac de grain ? Où semble être pris à la gorge si la taxe augmente ne serait ce que d’un denier !

Je vais commencer à écrire mes missives, je veux que ses Chefs de guildes reçoivent mes remerciements au plus tôt.. Donc je laisse nos écritures pour demain ! As ef a amera kamen esh !

Anathorne.

[SkyTy]

Moi, Treic, fils d'Albion et adorateur de Carn la magnifique, nouvellement arrivé en ces terres Albaroth, jure de servir et de protéger l'Honneur des Albaroth par delà les tempêtes, par delà les orages, par delà les incendies, par delà les inondations, par delà les armées, par delà les cités, par delà les kilomètres, par delà les Dieux eux-même s'il le faut !

Cette maison sera à jamais mon guide et je saurais me montrer digne des missions qui me seront accordées. Carn l'idéale renaîtra de ses cendres, ses idéaux avec, dussè-je moi même la reconstruire de toute pièce. Vous pouvez à présent dormir sur vos 2 oreilles seigneurs et vassaux, Treic est là et ne partira pas !

< s'agenouille devant Anathorne et le peuple Oréthornien >

Que l'Aigle Emplisse votre Esprit mes nouveaux frères !
Longue vie à Anathorne !
Longue vie aux Oréthorniens !
Longue vie aux Albaroth !

Ana es nea Isilith !