Divers contes et légendes de Nevim.

L'histoire d'Amtenaël
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Darkpepper
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Divers contes et légendes de Nevim.

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Leipinir

La plupart des créature de notre monde ne sont faites que de chair de d’os. Les rares qui dérogent à cette règle sont généralement d’une origine mystique qui échappe totalement au commun des mortels.
Leipinir est l’une de ces choses. Le terme de chose n’est en aucun cas une insulte mais une frontière entre notre existence et la sienne.
Ce que je vais conter dans ces pages ne constitue qu’un fragment de la vie terrestre de Leipinir. Il m’a été rapporté par une créature étrange du nom de Saltabli Om’Fero dont il ne sera aucunement question ici. Peut être vous en dirais-je plus sur elle une autre fois.

En des temps dépassant les prémices de nos espèces, les monts Tymrel étaient telles milles épines érigées vers le ciel. Leur roche étaient aussi tranchantes que des glaives fraîchement affûtés.
Désolée de cette partie du monde Freyja décida d’en devenir la mère et sa première décision fût de dompter ces arrêtes acérée par le pouvoir de l’eau. Durant plus de deux milles cycles la pluie tomba sur Tymrel ruisselant sur la roche. Lorsque les formes furent suffisamment harmonieuse aux goûts de la Déesse, elle ajouta au déluge un esprit naissant qu’elle baptisa Leipinir. Le nom de Leipinir fût par la suite utilisé dans la langue des Zaelos pour désigner ce que nous appelons aujourd’hui « Neige ».
L’esprit sût faire preuve de zèle et transforma la pluie si brutale en minuscules étoiles gelées qui en s’assemblant formèrent de petits flocons qui tournoyaient au dessus des montagnes dans un étrange balais enchanteur et muet, léger et doux, froid mais rassurant à l’image de sa mère Freyja. Ainsi fût le cadeau que lui offrit Leipinir.
Freyja fût touchée par cette attention et lorsque les monts furent totalement recouverts de cette nouvelles peau immaculée, Freyja donna à Leipinir la possibilité de se libérer. L’esprit rêvait d’arpenter son œuvre, de continuer à émerveiller sa mère mais d’un autre côté il voulait continuer à l’aider. Aussi lui fit il part de ses intentions.
Freyja, compréhensive lui demanda de se sculpter une apparence dans les glaces de Tymrel. Durant les siècles qui suivirent, la danse des flocons devenue habituelle dans cette partie du monde s’intensifia en un point, rassemblant l’eau gelée en masse compacte qui pris peu à peu la forme d’un équidé d’une incroyable finesse.
Lorsque son œuvre le satisfit, Leipinir prêta serment à Freyja d’être le gardien de sa terre.

Ainsi naquit Leipinir tel que certains le décrivent. Un majestueux cheval de glace, gardant les monts éternels de Tymrel.


Chimère

J’ai passé un certain temps a m’interroger sur l’aspect peu avenant de cette créature qu’est Saltabli Om’Fero. Il m’a permis d’acquérir de grandes connaissances cependant ne parlait jamais de lui même.
Un jour au coin du feu, isolés de tous dans les bois, Saltabli me conta un récit qui m’apporta un élément de réponse à son sujet mais également me dévoila l’un des plus sombre mystère de ce monde, La Chimère de Mélancolia.

Amtenael est un monde dont nous connaissons en partie la surface. Mais qu’en est il des profondeurs ? Parmi les racines entremêlées des arbres millénaires existe un royaume du dessous, ignorés de tous et dont l’évolution technologique et spirituelle débute bien avant que l’idée même de ces mots apparaisse à la lumière du jour.
Ces couloirs et donjons ont été bâtis et peuplés par une espèce « multiple » que l’on nomme Zaelos. Rares sont ceux qui sortirent à la surface, et généralement, ils ne parlent jamais de leur monde natal.
Ces créatures possèdent une morphologie qui leur valus le nom vulgaire d’hommes-bêtes. Humanoïdes à tête de crocodile, d’aigle ou encore de lion pour n’en citer que quelques un, ils inspirent depuis toujours la fascination chez certains et la crainte, de l’inconnu, pour d’autres. Je ne souhaite pas en dévoiler d’avantage sur les Zaelos mais la suite de mon récit nécessitait cette petite introduction.

Si le souffre et la cendre qui composent l’atmosphère suffocant de Mélancolia n’a que peut d’effet sur les aventuriers qui y séjournent quelques jars, il en est tout autre d’une exposition plus longue. La peau prend une teinte jaunâtre et se retrouve rongée par endroit. L’entretien de Saltabli avec la chimère a duré un temps dangereux. Je compris alors une partie du puzzle qui composait ce singulier personnage. Voici son récit tel que la chimère lui conta.

Lorsque Netalu vînt se présenter au conseil des Bokis (Chefs en langue Zaelos) il y eu un moment de silence dans l’amphithéâtre sous-terrain. Ce n’était pas le premier Carnô (anormal) à exister. Les Bokis Zaelos avait déjà du en bannir trois par le passé. Sa spécificité laissait toutefois les plus vieux et sage Zaelos, perplexes. En effet son thème était multiple. Il aurait pu être né sous le thème Lug (Lion), Ahik (Aigle) ou encore Broz (Bouc) mais rompant avec la règle du thème unique, il possédait les trois. Le haut de son corps se métamorphosait en fonction du thème qui souhaitait prendre la parole. Son thème Lug était le plus sage, lorsqu’il prenait la tête d’un lion, les autres Zaelos osaient l’approcher, mais lorsque l’aigle ou le bouc se montraient, les Silams (citoyens) qui le connaissaient s’éloignaient immédiatement. Les thèmes Ahik et Broz ne sont pas tous méchants, tout comme le thème Lug n’est pas toujours sage, chaque Zaelos possède son caractère propre.
Sagâm Ne Oco, du thème Crej (Crocodile) prit la parole rompant le silence de son timbre guttural.
« Je parle au nom de l’assemblée des cinq. Nous t’avons appelé Netalu Ne Gea afin de t’aider. »
Netalu, dont le thème actuel était heureusement Lug, hocha faiblement la tête.
Le saurien reprit « Tu es Carnô et les Silams de notre Domne (donjon habitable) ont peur de toi. A raison je le craint. »
Setef De Keo du thème Ahik se leva a son tour pour s’exprimer entre deux grincements qui pouvaient faire penser aux croassements d’un corbeau. « Nous allons écouter chacun des thèmes présents dans ce corps et décider de celui qui restera éveillé. Les autres auront le devoir de rester endormi jusqu’à la mort du thème choisi. »
Netalu frissonna, mais son thème resta Lug.
A tour de rôle le conseil appela les thèmes qui se montrèrent. Ecoutant leur argumentation et ce fut sans surprise aucune que la décision prise par les cinq Bokis avantagea le thème Lug.
Le thème Boz protesta avec force et les cinq durent faire venir le pretre Nerzok afin qu’il l’endorme pour un temps indéterminé. Nerzok sortira bien plus tard de son monde pour apporter sa sagesse au peuple d’en haut.
Lorsque le thème Ahik prêta serment, à contre cœur, cela va de soit, Setef appela le thème Lug.
« Tu es celui qui sera. Nous te baptisons Netalu Ne Lug », textuellement, Netalu le Lion.
Otnemem se leva et les quatre autres Bokis s’inclinère respectueusement. Otnemem était un thème Lug mais aussi l’un des plus puissants et sage Zaelos existant. Il avait obtenu le rôle de patriarche Bokis à l’age de trois cents cycles ce qui est très jeune pour un tel titre.
Sa voix traduisait a merveille la puissance et la sagesse de cette être légendaire.
« Qu’il en soit ainsi. Si toutefois tes thèmes se réveillent, tu dois en informer le conseil ou le bannissement sera irrémédiablement appliqué aux trois . » Netalu Ne Lug hocha la tête et sembla sourire faiblement.
Durant les cycles qui suivirent, Netalu eu une vie normale au sein du Domne. Il tomba même en amour pour une ravissante Ahik qui portait le nom de Selea Ka Xin puis il se marièrent le cycle suivant. Selea ignorait tout des thèmes endormis de son mari. Après le conseil qui donna raison au thème Lug les Silams considérèrent cette affaire comme réglée et l’oublièrent.
Trois cycles plus tard de leur amour naquirent Naha et Keo. Le cœur de Netalu Ne Lug était comblé.
C’est cette satisfaction qui une nuit lui fit oublier qui il était. Enfin marié et père, il devînt naïf et si la peur des 2 autres thèmes avaient hantées ses nuits jusqu’à présent, cette nuit là, il eu l’esprit aussi paisible qu’un lac sous terrain. Si le thème Boz fut endormi par Nerzok, l’Ahik n’avait que prêté serment au conseil hors il est aisé de rompre les mots. Ainsi, au cœur du sommeil du paisible foyer, l’Ahik repris le contrôle et se glissa hors du tamo (couche conjugale Zaelos). Il se faufila dans la chambre des enfants et animé par la rancœur des cycles passés, les massacra sans hésitation. Le bruit et les cris coupés nets alertèrent Selea qui se précipita dans la pièce ou l’Ahik oeuvrait en boucher. Elle hurla et subit un sort qui alla du viole le plus gratui à l’égorgement le plus bref.
L’Ahik sorti de l’habitation sous terraine qui était entourée par une foule de Zealos en alerte. Les mains en sang il fut pris d’un rire sinistre en les contemplant et laissa le Lug reprendre le dessus, maintenant que tout était fait.

La douleur du Lug fut incompressible il rugissait de rage regardant impuissant l’entrée sombre de son ancienne demeure tandis que des bras l’empoignèrent et le traînèrent à même le sol. Il n’avait plus la force de se lever ou de contrer ses assaillants. Il hurlait son mal et s’étouffait de sanglots noirs et chaotiques.

Lorsqu’il fut jeté devant Otnemem, il ne put relever la tête de toute la conversation ou plutôt, du monologue car aucun mot ou son articulé ne pouvait sortir de sa gorge.
Otnemem fît venir Nerzok et prononca avec fureur la prière du banni. Nerzok fit un rituel qu’il n’avait jamais fait jusqu’à présent. Entre ses propres hurlements Netalu distingua quelques mots.
« Sortir …. Les trois…. Banni… surface… Mélancolia » puis la douleur fut intense, son torse, ses membres son buste tout le brûlait et le hurlement de son cœur laissa la place au hurlement de douleur physique. Nerzok venait de lui jeter une malédiction au commandement d’Otnemem. Les gardes Zaelos le menèrent hors des sous terrains, dans les terres désolées de Mélancolia et le laissèrent terminer la métamorphose infligée par Nerzok.

Durant des jars il hurla de toutes ses forces a chaque changement de son corps. Les trois thème apparurent séparément de son cou, hurlant tous autant. Le poids des trois têtes l’obligea à rester allonger.

Les cycles passèrent ou ce qui fut Netalu, resta à choir sur le sol de cendre et à gémir de ses efforts pour se relever. Trouvant la force dans la rage et la peine même le thème Lug devînt une facette de cette créature chaotique et bientôt il put se tenir à quatre pattes. Sa taille avait incroyablement augmentée. Saltabli pense que ce trait là est du à la quantité de haine présente dans chaque partie de sa chair.

La chose maudite prit alors le nom de Chimère.


Les monts Sluk. Conte de Gnaar.

Il est difficile de jauger la véracité d'une légende. Elle nait d'un fait puis se dissipe et se transforme au fil des mots jusqu'à se figer sur le papier. Ici il est question des monts Sluk de Gnaar. En des temps hors d'atteinte, vivaient en ces terres quatre géants.
Gnaar naquit arride et infernale comme si toute la rage de notre monde devait s'échapper en ce point. Adrameleck le sombre, fit naitre quatre géants, "excavateurs" avec pour tâche d'arpenter ces terres brulantes jusqu'à en user la roche et ainsi forger des trouées et passages, des chemins aussi tortueux que son esprit pour que ses fanatiques et serviteurs puissent circuler dans son royaume.
Trois d'entre eux Alsluk, Buunsluk, Dissluk, étaient titanesques en taille et en force, le quatrième, Bourros, plus petit, était doté d'une plus grande intelligence.

Les excavateurs ne terminaient pas de se quereller voulant tous avoir le plus grand chemin à parcourir et sembler le plus méritant aux yeux de leur maître. Lorsque deux des puissants se rencontraient, ils restaient parfois un cycle complet à se disputer le passage, accusant l'autre de ne pas emprunter le bon chemin et de tenter de s'approprier leur travail.
Les querelles étaient le prélude à la force et les combats débutaient inéluctablement après qu'ils eurent tous épuisés leurs pauvres argumentations. Bouros évitait les querelles et laissait peu à peu ses trois congénères se monter les uns contre les autres mais un jour il décida d'emprunter le chemin d'Alsluk.

Comme il pouvait s'y attendre, la confrontation ne tarda pas et Alsluk le pria cavalièrement de quitter son chemin. Bouros ne nia pas s'être engagé sur le chemin d'un autre mais il ajouta qu'il l'avait fait dans l'espoir de lui parler. De phrases habiles, il fit reconnaitre au puissant Alsluk la rage qu'il éprouvait à l'encontre des deux autres prétextant que les querelles incessantes perturbaient le maître dans ses pensées et devaient cesser. Embrouillant l'esprit du géant de phrases compliquées, du moins pour un géant, il le poussa à lui demander un moyen de se débarrasser de ses frères.

Aussi idiots qu'ils soient, chacun d'entre eux avaient remarqué que, à part Bouros qui ne présentait pas de résistance, les deux autres possédaient une force égale. La solution était donc de posséder des alliés. Furtivement, Bourros fit remarquer à Alsluk que ce qu'il faisait le mieux était de creuser la roche, il ajouta que la roche sortait de la terre mais que les basiliques, ces serpents avares de proies toujours plus importantes, avaient également la capacité de changer les êtres en pierre.
Il lui fit remarquer que les combats de géants n'avaient jamais de vainqueur, mais que si ses frères étaient de la roche, il en viendrait facilement à bout avec quelques dizaines de cycles. Alsluk, finit par comprendre l'idée sous entendue et remercia Bourros de son bon conseil.

Le malin, emprunta alors le chemin de Buunsluk qu'il rencontra, puis celui de Dissluk.
Les trois puissants se rencontrèrent comme toujours en une croisée, chacun accompagnés par les basiliques. En premier lieu ils s'accusèrent mutuellement de s'être volée l'idée puis l'espionnage vînt sur le tapis. Lorsque qu'ils eurent finit de parler, chacun prirent leurs basiliques dans les mains et les portèrent aux yeux de leurs opposants. Les trois Sluks se transformèrent en pierre instantanément donnant ainsi naissance à trois monts, les plus hauts de Gnaar que l'on connait aujourd'hui sous le nom des monts Sluk.
Bourros quant-à lui continue encore d'arpenter Gnaar sur la totalité des chemins, fier d'en être l'unique excavateur.


Les Goys

De la race des Minotaures il est question. Des bêtes ô combien puissantes qui, jadis, créa la discorde. On dit que Dayglled les toléra dans son royaume leur enseignant l'art de l'acier. De toutes les races de Mélancolya, eux furent les plus doués. Sa grandeur Dayglled leur fit don de la force, de la connaissance nécessaire. Les fiers Lycantes ne cessèrent de jalouser la position des Minotaures et dans un complot avec les Morvalts, Lakius, le Lycante dominare et Gratelvekh le tyran Morvalts, envoyèrent les leurs abattre le plus prometteurs des apprentis le nommé Darhen.

Des trente guerriers missionnés Darhen en terrassa vingt-cinq. Les survivants périrent de leurs blessures pendant leur fuite. Dayglled le clairvoyant compris que ses sujets n'accepteraient plus les minotaures en Mélancolya. Il missionna Darhen de partir hors du continent, loin vers le sud et de transmettre son savoir sur des terres propices à le recevoir.
Dayglled le juge, sauva les autres races de Mélancolya en envoyant les minotaures vers les territoires du nord, dans l'antre des démons, là ou nul ne pouvait oser les atteindre : Dans les éruptions ardentes de Gnaar.

Adrameleck l'intéressé, vit en ces intrus un potentiel hors du commun et dans un pacte il leur proposa la protection contre ses sujets en échange de leur savoir faire. Ainsi, les minotaures se terrèrent aux confins de Gnaar. Adrameleck l'invocateur, forgea des fragments du pierre volcanique et leur insuffla l'âme des juges. Toutes créatures passant sous leur regard subiraient le jugement de leur actes. Gnaar peuplé de vermines, ne possède pas âme de bonne augure et chaque errant de ces terres ne peut supporter le jugement de ses créatures. Ce sont les sombres gardiens du pont Minotaure, les juges qui délimitent les forges des enfers, les Goys.
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Hakim
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(hrp: excuses-moi, mais ces textes sont sensés être connus ou consultables ig? Ou seul le joueur hrp est au courrant? merci :))

(même question pour "névim ou l'arche de vie")
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Darkpepper
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(Les contes et légendes sont des contes et légendes donc sont "connus" de la population de Nevim, les personnages joueurs selon s'ils sont originaires de Nevim ou d'Avalon peuvent les connaitre. Pour les Natifs de Nevim ils peuvent avoir été acquis pendant leur éducation, les autres ont pu consulter des manuscrits ou avoir été informés par la populace. C'est a ta discrétion Hakim ;) )

(Pour l'arche de vie, C'est un texte "non écrit" dans l'univers d'Amtenael, il est possible d'en connaitre des bribes si l'on prône avoir été renseignés par un des protagonistes du texte : Ed, Varianne, Nemuro.... Mais aucun document n'en fait pour l'instant la chronique. Si quelqu'un écrit un document qui en parle à la manière d'une étude historique alors ça deviendra quelque chose de connu et reconnu IG)
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Hakim
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Hakim wrote:(hrp: excuses-moi, mais ces textes sont sensés être connus ou consultables ig? Ou seul le joueur hrp est au courrant? merci :))

(même question pour "névim ou l'arche de vie")
edit : ok merci
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