[BG] Merculrik

L'histoire d'Amtenaël
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gauvain
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[BG] Merculrik

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I) la jeunesse de Merculrik

Etant doué en chant depuis mon jeune âge, j’ai choisi de poursuivre des études dans ce domaine. N’ayant pas connu mes parents j’ai toujours été autodidacte, jusqu'à ce que j’eusse dix-sept cycles. Pendant l’une de mes représentations à la cour d’un illustre prince, alors que mes vocales hypnotisaient une fois de plus tous mon publique, je fus surpris qu’un personnage me fixait de ces yeux brûlants, alors que tous les autres me regardaient avide d’entendre la suite, espérant que ce moment ne finisse jamais. Qui était-il pour me défier ainsi, lui seul auquel mon pouvoir ne pouvait atteindre.

Une fois le spectacle fini, quelqu’un vint toquer à la porte de ma loge.
Persuadé que c’était cet homme je n’osais à peine ouvrir, mais je n’en eu pas besoin, car il apparût devant moi sans que rien ne bouge. Ce très vieille homme vêtu de noir se mis à rire en voyant ma tête, car j’étais complètement abasourdi.
C’est ainsi que mon Mentor fit connaissance avec moi. Je savais que j’avais un pouvoir à travers mes chants, mais lui en savait beaucoup plus. Après avoir entendu parler de moi, Krakenis, tel était son nom, voulu m’entendre chanter pour être sur que je puisse être son disciple.
Grâce à son rude enseignement, je sus parfaitement maîtriser ma voix, mais plus simplement à des fins artistiques, car en fonction du ton de ma voix et des paroles qui jaillissent de ma gorge, peut se créer des mélodies noires me permettant d’acquérir des pouvoirs surhumains, comme me déplacer à la vitesse d’un cheval au galop, soigner mes blessures et bien d’autre encore.
En plus d’être mon Maître, il devint comme le père que je n’avais jamais eu. J’avais enfin un exemple à suivre, mais après quelques années il décida qu’il était temps pour moi de passé au stade suivant.

Je me rendis compte que son plan était démoniaque, et qu’il voulait faire de moi un soldat maléfique. Chaque chant qu’il m’enseignait devenait de plus en plus lugubre, et les sorts qui en ressortaient avaient pour but de vaincre, voir même de tuer. J’avais une confiance total en lui, et lorsque je me posais la question de savoir si je faisais bien, je savais quoi me répondre, je faisais mal et ça me plaisait. Je devenais encore plus intéressé chaque jour, mais l’apprentissage de tous ces sorts arriva à son terme.
Krakenis décida qu’il fallait que j’affronte un adversaire à fin de mesurer mes pouvoirs. Il me donna une mission : je devais voler les parchemins de résurrection d’un vieux prêtre, habitant un manoir au beau milieu d’une forêt.
Après m'être rendu sur place pendant la nuit, je gravis le mur de l’enceinte, mais là, quelle surprise, le prêtre m’attendait accompagné de trois hommes en armes. En un instant il ordonna que l’on me saisisse, mais il n’avait pas prévu que même attaché, mes chants pouvaient les atteindre.
Pourtant je décidai de me taire, afin d’attendre le bon moment pour agir. Le prêtre me dit qu’il savait ma venue, car il avait, lors de ça dernière séance rituelle, eu une vision de moi le terrassant. Depuis il avait engagé ses trois mercenaires afin de garantir ça sécurité. Malgré sa vision, il ne voulait pas me tuer, de part son ordre premièrement, mais aussi car il était d’alignement bon. Une fois dans son salon, je fus attaché sur un fauteuil puis les gardes nous laissèrent.
Alors qu’il s’apprêta à ouvrir la bouche pour en savoir plus sur moi, je pris la parole pour lui demander directement où ce trouvait les parchemins magiques. Il fut surpris que je les connaisse, mais se reprit vite, pour me dire :
_ « C’est donc pour cela que tu es venu, ces parchemins sont sacrés, il est hors de question que je te les donne ! Demain nous iront voir les autorités et tu seras jeté en prison !
_ Très bien, puisque tu ne veux pas me les donner, je te ferai avouer où tu les caches. »
Je me mis à chanter un sort de paralysie, me détacha aisément de mes liens et me dirigea vers le prêtre.
_ « Je répètes ma question, où caches tu ces parchemins ? dit le moi ou je vais devoir te tuer à petit feu ! »
Je ne me savais pas si machiavélique, mais je fus fière de la peur que j’exerçais sur le saint homme. Comme il refusait de répondre je commençai à sortir des sons de plus en plus horrible, des notes discordantes qui atteignaient directement sont cerveau et lui créaient de terribles douleurs.
Il tenta de crier pour avertir les gardes, donc j’intensifiai sa douleur ce qui eu vite fait de le calmer. Au bout de dix minutes il me supplia d’arrêter et me dit où se trouvaient les parchemins. Malheureusement ils n’étaient pas dans cette pièce et le manoir était grand et gardé par les trois mercenaires.
Je lui demandai donc d’appeler les gardes un par un, ce qu’il fit sans trop d’hésitation. Mes chants paralysèrent chacun d’entre eux, et par sécurité je décidai de les tuer. Ils furent mes premiers meurtres. Je me retournai vers le prêtre terrorisé et lui dit que je lui réservais le même sort s’il ne me disait pas la vérité. Mais le prêtre ne m’avait pas menti, je trouvai les parchemins et retournai le voir.
Lui s’était remis de sa paralysie, avait pris l’une des armes des gardes et m’attendait de pied ferme.
Je rentrai dans le salon et là il m’assena un coup d’épée dont j’ai encore la cicatrice sur le bras. La haine monta en moi et je fis explosé sa cervelle d’une note des plus affreuse qu’Amtenael connu de son existence.
Ma mission accomplie, fière de mon efficacité je pris le pas pour rentrer chez mon Maître. Une fois arrivé Krakenis me félicita et me confia qu’il n’avait plus rien à m’apprendre. Que, dès lors, je ne devrais plus revenir chez lui, car il devait se pencher sur l’étude de ses parchemins, afin d’en apprendre leurs pouvoirs. Je fus triste de cette nouvelle car il était pour moi ma seule famille, mais il insista.

Je parti donc trouver l’aventure, et à force de vagabonder dans les endroits les plus sordide, tout en perfectionnant mes techniques et multipliant les meurtres, je fini par apprendre l’existence d’une confrérie secrète, adoratrice de Lucifer, propageant le mal.
Quelque cycles plus tard, Je décidai donc de retourner voir mon Mentor pour plus d’explication sur elle, malgré ses mises en garde à propos qu’il ne fallait plus que je revienne.
Lorsqu’il m’ouvrit je le vis extrêmement contrarier de voir que ce fut moi et me dit :
_ « Merculrik, mon meilleur disciple, pourquoi as tu décidé de me désobéir ? C’est la mort qui t’attend maintenant ! »
Et il commença à incanter un sort, je savais qu’il connaissait tous les miens, donc qu’ils n’auraient aucun effet sur lui. Mais durant l’année que je venais de passé seul, j’eusse appris l’art de l’épée afin d’être sur de pouvoir me sortir de bien des dilemmes. Je tirai la lame de mon fourreau et lui planta dans le ventre.
Après un terrible crie de douleur Krakenis me dit allongé sur le sol :
_ « Je voulais simplement te tuer pour mieux te ressusciter… j’ai enfin réussi à maîtriser les parchemins… moi qui croyait t'avoir tout appris, je vois que la vie extérieur t'a permis d’être encore plus fort que moi…
_ Maître, non ! Ne mourez pas ! Je ne voulais pas vous tuer, mais vous me menaciez !
_ Qu’il en soit ainsi… fichu paradoxe, savoir redonner la vie à quelqu’un et mourir sans pouvoir le faire soit même… pourquoi es tu revenu ?
_ Je souhaitais avoir des renseignements sur une confrérie maléfique adoratrice de Lucifer. »
Krakenis parut d’abord surpris, puis après un léger point de réflexion s’exclama tout en crachant du sang :
_ « Bien sur, il s’agit de la Légion Noire, si je n’avais pas été si solitaire j’aurais fait parti de celle-ci, et puis j’ai fini par l’oublier… si elle est venue à tes oreilles, c’est que tu conviens de par ton tempérament à en être membre. Elle sera ta nouvelle famille. Lorsque j’étais jeune, il y a très longtemps, un être démoniaque nommé Drak vint me rendre visite afin de me recruter. A l’époque je pensais n’avoir besoin de personne, et déclina son offre. Je n’en sais pas plus. »
Et il mourut de ses blessures. Je fis un bucher en son honneur et repris mon chemin.
Maintenant je n’avais plus qu’une idée en tête, trouver cet Ordre ténébreux pour en devenir membre.
Last edited by gauvain on 14 Nov 2009, 00:35, edited 14 times in total.
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II) L'épopée

Je finis par en trouver le guide, Vangelys, qui après de terrifiant rituel m’ordonna de rejoindre l’armée des ombres, cette légion dont il était le chef.
Durant bien des cycles, mes activités ne furent que meurtres, violes, pillages, guerres… Je n’ai guère de souvenir de cette période sinistre, je n’étais plus humain.
Pourtant démon accompli, loyal et obéissant, je fis une erreur qui me coûta mon renvoie de la Légion Noire. Durant l’époque de la Loi, nous n’étions plus seul, et je traitais affaires avec un certain Healys, membre des Tenebrarum Bellatores, nous nous échangions des informations des différents fronts, afin d’en avertir nos chefs respectifs. Malheureusement, ce nain perfide était un traître, nous nous en rendîmes compte lorsque nous vérifiâmes ses renseignements. Pour ne pas m’en être aperçu, je fus chassé à mort, et s’en suivi une période de traque et de dissimulation.
La solitude me rendit doucement mon âme.
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Alors que je tentais de me rendre en ville, à la capital midgarienne, afin d’y trouver refuge, je croisai sur mon chemin un pirate. Vu mon aspect sépulcral, rare fut les êtres vivants ne me fuyant pas. Je m’étais perdu, et lui demandai un renseignement. Celui-ci fier, ne frémis pas un seul moment, et au contraire m’invita à le suivre, puisqu’il s’y rendait aussi.
Nous engageâmes de longue discutions durant la route, j’appris son nom, Vaderto, et une fois arrivé nous poursuivîmes à la taverne. C’est alors qu’un certain Malchus, chef d’une guilde de mercenaire, me reconnu, car durant la Loi nous étions allié. Il s’approcha de nous afin de pouvoir me ridiculiser vu que je m’étais fait chasser de mon Ordre. Après une joute verbale et une argumentation sévère, je sorti vainqueur et Malchus fuit la queue entre les jambes.
Vaderto abasourdi par cette démonstration, et conquit par ma dextérité mélodique de jouer avec mots et notes, me proposa de rejoindre son équipage. Je n’avais plus rien à perdre depuis longtemps, et un nouveau clan pour me protéger de la Légion Noire n’était pas de refus, j’acceptai donc.

Depuis mon arrivé dans l’Armada Infernale grâce à Vaderto, ma fureur démoniaque n’avait cessé de diminuer. Plus je découvrais de nouveaux membres de l’équipage, plus je retrouvais mes sensations humaines, qui avaient été depuis bien longtemps oubliées.
Comment aurais-je pu imaginer que c’est avec cette bande de pariât sans scrupules que naquit dans le plus profond de mon âme, la douceur des sentiments.

Tout d’abord l’amitié, portée rapidement par les pirates, mes retrouvailles avec mon amie d’enfance Shamys, puis l’arrivé de Falkonis, un ancien légionnaire avec qui j’avais perpétré tant de massacre, et qui lui aussi retrouvait son humanité.
L’amitié avait pour moi l’étonnement, que l’on vous donne, sans forcement demander quelque chose en retour. Ce principe me laissait dériver dans mes fumeuses introspections. La seule personne qui m’avait donné, fut mon pauvre maître que j’avais assassiné, et encore, son apprentissage était loin d’être gratuit. Mais les longues heures de rondes au fort de Lamni en compagnie de Gavaelle, Miaoumix, Doreri et Glenedag nous ont fourni rires et batailles à foison pour nous rapprocher et créer ce fameux sentiment.
Le départ de Glenedag fut ma seconde émotion, la tristesse, cette profusion floue d’amertume mêlée à une douleur psychologique inexplicable.

Mais la nature de l’Armada était bien la mienne, l’anarchie. Les capitaines se succédant et les mutineries étaient fréquente. Pourtant nous avions cette conscience collective qui nous poussait à toujours aller de l’avant, malgré tout, organisée dans ce chaos.

Je me découvris de nouvelles passions, sans pour autant délaisser le chant qui restera l’hypnotisant voyage de mon âme, comme l’armurerie, et avec celle-ci, l’envie d’aider mon prochain de manière toujours évolutive.

Après une cuisante défaite contre la Comtesse d’Inishail allié aux Oréthorniens, le moral était au plus bas dans l’équipage. Notre ancien capitaine, le vieux Miruv, préféra laisser sa place à l’intrépide Mucosis. Dans un plan d’organisation exemplaire, elle décida de remanier l’Armada.

Notre nouvelle capitaine nomma deux anciens pirates en tant que quartier-maître, ainsi que mon camarade d’arme devenu ami, Falkonis.
Ayant foi en ma nouvelle famille, je me proposai donc en tant que commandant du Navire de guerre. Après toutes ces longues années d’études dans ma jeunesse, et de combats terrifiants durant ma période démoniaque, j’excellais dans l’art de la stratégie.
L’Armada Infernale avait besoin d’une nouvelle image, je lui en promettais une qui serait impressionner anges et démons !

Puis Mucosis disparue. Durant l'absence de notre capitaine, les choses ont évoluées de manière considérable parmi les pirates, le gain d'expérience, amélioration des équipements, nous permettait d’être de plus en plus craint par le reste du monde.
Mais son retour provoqua le chaos dans les rangs, déchirés, les uns sont prêt à le tuer ou quitter le navire, alors que d'autres le défendent fièrement.
Notre nouveau commandant, moi-même, ayant toujours soutenu le capitaine, a tout de même mal vu son retour par la force, aux méthodes considérant peu son équipage.
Après de longues explications, je fus de nouveau convaincu qu'il fallait lui laisser une chance, une dernière, après tout, si le capitaine avait été enlevée par des ennemis inconnus, enfermée, et heureusement c'était échappée, sa n'était pas de sa faute.

Mais finalement Mucosis fini par montrer sa vraie nature, et en plus d'être un dictateur, elle nous révéla son essence machiavélique. Après plusieurs actes abominables, ainsi qu'un traitement esclavagiste de son équipage, l'Armada préparait en secret une mutinerie, une de plus.
Alors que le capitaine commençait à sentir la rébellion, elle décida pour s'affirmer en tant que chef, de bannir l'une d'entre nous, la bien aimée Gavaelle. Grave erreur. Tout le monde aimait Gavaelle la chouineuse, si jolie et si forte en caractère. Alors les marins décidèrent d'en finir avec Mucosis la folle, tous prirent leurs armes, la trouvèrent, et l'attachèrent sur un petit radeau au beau milieu de la mer.
Enfin libéré du dictat, les pirates firent une fête ou le rhum coula bien plus à flot que le sang que Mucosis avait fait couler durant sa période souveraine, comme pour nettoyer l'équipage de ce mauvais souvenir.

Dès lors il fallait s'organiser, reprendre les reines de l'équipage en pagaille, nommer les capitaines, commandants et autres maîtres d'équipages afin de nouveau s'activer face aux nombreuses guildes et confréries souhaitant notre mort.
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III) La renaissance

Mais durant un long voyage en mer, l’équipage subit une grave tempête, qui tua la plus part d’entre nous.
Les survivants furent séparé par les flots, et c’est ainsi que je me réveillai sur une plage glacée des terres de Nevim.
Après avoir repris des forces, je parti en route afin de retrouver mes compagnons, ceux qui avait tant compté pour moi, les seuls qui m’avait apprécié et apprit tant de choses sur les sentiments.
Une fois arrivé en ville, plus personne ne se souvenait des terribles pirates de l’Armada Infernale, sans que je ne m’en aperçoive, il s’était passé plusieurs cycles depuis notre départ en mer.
Je fini tout de même par rencontrer des Oréthorniens qui m’apprirent que je n’étais quasiment que le seul survivant, sauf un qui avait rejoint les rangs du roi Anathorne.

L’hiver glacial était bien loin de sublimer ma nouvelle solitude. Afin de pouvoir me nourrir et me réchauffer, je suis devenu mercenaire solitaire, ce monde froid ne permettant pas de tellement rencontrer de personne. Je fini tout de même par retrouver Falkonis, mais celui-ci me reconnut à peine, il était redevenu le démon des temps jadis, son âme corrompue avait rejoint les armées des ténèbres.

L’espoir d’une vie comme les autres m’était belle et bien échappé. Mon passé destructeur me punissait chaque jour à travers mes souvenirs, jusqu’au jour où leur poids m’écraseront dans la neige, et la mort m’emportera retrouver mes amis, ainsi que toutes mes victimes.
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Pourtant l’espoir revint, non pas celui de retrouver les tendres sentiments acquis, mais lorsque je me mis à lire un ouvrage concernant les Ulwarths, histoire de me passer le temps.

Ce livre m’en appris tellement plus que tout ce que j’avais pu apprendre depuis que j’avais quitté mon maître Krakenis, que je décidai de lire tout ce que la bibliothèque pouvait recueillir comme texte sur le sujet.
Ma croyance en Lucifer, qui malgré ma découverte de mon coté humain, n’avait jamais cessé d’être présente au fond de mon âme. Car Lucifer est ma nature profonde, et enfin connaitre l’histoire de cette divinité, ainsi que l’existence des Neufs, me fit rejaillir mon intense ferveur.

Mais je souhaitais en savoir bien plus, seulement le commun des mortels se fichait bien de tout cela.
Alors je me mis en quête d’êtres connaissant le sujet, c’est alors que je compris que mes alliés d’autre fois, le monastère de l’In Nomine Satanas, serais sans doute ceux qui pourrai m’apporter des réponses.
C’est ainsi que par hasard lors de mes déboires et introspections, je rencontrai dans une taverne un individu dont je reconnu l’emblème sur la cape.
Nous entamâmes une formidable discussion sur le propos. D’abord septique à mon égard, il fini par reconnaitre que mon engouement sur l’histoire de Lucifer, ainsi que mon envie de connaitre la vérité sur les Ulwarths, n’était pas si méprisable.
Il m’invita donc à une deuxième rencontre qui le convainquit qu’il fallait me mettre sur la bonne voie, et me proposa un rendez vous avec le Père supérieur.
J’en fus fort ravi, car Arget et Damrog décidèrent que je pouvais m’initier au culte, et peut-être devenir bientôt un disciple des Neufs.
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