<L'Ordre des Croisés>

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Dama
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<L'Ordre des Croisés>

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¤ L'Ordre des Croisés ¤
Dans tous les villages du royaume d'Albion on peut apercevoir des colporteurs à la charge de l'Eglise d'Albion placarder des parchemins sur les places publiques sur lesquels on peut lire ceci :

Le Mal perpétré sur les terres d'Amtenaël a franchi les frontières albionnaises et par plusieurs fois a mis en danger le peuple d'Albion.

Depuis de nombreux mois des factions étrangères à notre royaume pillent, saccagent et incendient nos villages, nos campagnes et massacrent nos freres albionnais. La vaillance des combattants d’Albion est grande et réunie, elle puit vaincre les hordes de créatures impies : Golems, gobelins, loups-garous et mort-vivants venus tout droit des enfers.

Ajouté à cela, des barbares sans âmes, adorateurs du malin et hiberniens à la peau noire s’installent en nos terres et tentent d’y imposer leur démoniaque influence. C'est pourquoi le Pape Quirinus III, grand dirigeant de l'Eglise d'Albion, a décidé de remettre le commandement de l'Ordre à une personne très prometteuse aux yeux des dirigeants de l'église, Dame Ewindel Siilaeth.

L'Ordre a pour tache de défendre les terres d'Albion et ses habitants menacés. Il a pour noble mission d’offrir la lumière de la vérité aux peuples païens. Les croisés défendront la parole de l'église et ses intérêts partout en ce bas monde. Ils viendront en aide au peuple albionnais et à tout croyant.

Tout habitant d'Amtenaël sachant se battre et voulant défendre son royaume pourra s'adresser a la désormais Grande Inquisitrice Ewindel Siilaeth pour rejoindre le saint combat.

Le Roi d'Albion, Aquiléus XII le Brave, fils d'Aquiléus XI le Grand.


Chronologie et Histoire du culte du Dieu Unique :

La première trace de l’église remonte aux origines de l'Empire et de la société avalonnienne, vers le cycle 100. On retrouve néanmoins, dans quelques contes oubliés et vieilles histoires transmises par les générations des traces de cultes païens vouant une adoration à un dieu unique et montrant des similitudes. Mais assimiler un quelconque culte païen à notre foi serait un outrage pour Dieu et pour l’église.

L'Empire donc, qui vint avec le temps à se construire et à rassembler les races et peuples d'Amtenaël ne fut autre, après des cycles de paix, que le tortionnaire des premiers fidèles de notre l’église.
La grande foi de ces premiers fidèles, qui avait assuré à l'Empire de glorieux Jars, en vint à être trahie avec la venue au pouvoir d'un Empereur particulièrement maléfique, qui lança contre notre culte une série d'agression et de persécution.
En effet, notre grand culte n'était alors qu'une religion montante, si nous pouvons nous exprimer en ces termes, et les fidèles de cette époque devaient alors, à l'ombre, célébrer les rites sacrés loin des regards des gardes de l'empire et de leurs sombres croisés. Cela se passe alors aux alentours de l'an 300. La chronologie n'étant pas exacte dans les textes retrouvés et parmi nos reliques écrites, la notation du temps variant selon les époques.

Ainsi donc se cachant de l'autorité de l'empire et surtout de l'église officielle qui prônait un culte profondément païen et obscure, la nouvelle église se rependit parmi une partie de la population, en premier lieu les pauvres, les délaissés, les mal nourris de l'empire trouvant là un véritable soulagement dans la fin de la servitude d'un culte qui les méprisait et qu'ils ne reconnaissent plus et dans l'opposition à l'empire qui les avait si mal traités.

Ce furent donc, très vite, les pécheurs, dockers, et habitants vivants dans la misère des villages du Sud qui rejoignirent le culte, en particulier la citée d'Albion qui n'était alors qu'un petit port de l'Empire.
Ceux-là furent ensuite rejoints par les marchands et les fermiers de la région. Car en effet, la religion semblait se concentrer dans cette région d'Amtenaël autrefois pauvre et délaissée par l'Empire que nous appelons aujourd'hui fièrement Albion, notre saint royaume.


Puis vint le chatiment divin avec la chute de l'Empire persécuteur et l'avènement de notre grande religion qui prit alors un essor considérable. Les peuples y reconnurent leur sauveur et elle les accueillit en son sein. La paix revint peu à peu sur les terres où l'Empire éclaté avait redonné naissance aux Trois Royaumes.
Albion, qui comportait le plus de fidèles, était alors en paix. Le monarque, béni par l'église, avait reprit le pouvoir et en accords avec les grands sermons de l'église, fit de la religion du Dieu Unique la religion officielle et respectée par tout albionnais. Ce roi s'appelait Jean I le Juste. Il donna naissance à une lignée de descendants qui suivirent honorablement les traces de leur ancêtre en veillant à la sécurité d'Albion et au respect du culte.

Mais Hibernia et Midgard n'étaient pas en mal non plus, bien que moins influent, le culte apprenait aux barbares de Midgard les enseignements et une importante communauté religieuse y était implantée sous le bon regard des chefs de tribus locaux. En Hibernia, le culte était aussi présent, sous une forme un peu différente, mais toute autant honorable. Les religieux mêlaient à leurs enseignements les traditions liées au respect de la nature, chère à ces peuples. Ils adoraient la création, la terre nature, et le culte leur offrait d'aimer le créateur, Dieu. Ainsi la religion s'étendit jusqu'à Caldey, ou résidait alors un monastère.

En ces temps heureux et bénis, les relations entre les peuples étaient confiantes et agréables et malgré les soucis du quotidien, la paix était majoritairement présente, la famine devenue rareté.

Cela date d’aux alentours de l’an 700, si les chiffres sont exacts.


Mais ce temps ne dura pas, la foi délaissée pour l'or et la perversion par de nombreuses guildes et groupes, et une multitude de confréries apparurent avec le déclin des puissances d'Albion, de Midgard et d'Hibernia. Le glorieux royaume d'Albion était en proie aux attaques d'un culte impie, adorant de vieux démons, ennemis des hommes, les rendant avides de mal et de sang. L'influence de la garde royale se fit de plus en plus faible à mesure que les villages étaient pillés et les populations agressées. Les milices remplacèrent l'autorité du royaume pour résister tant bien que mal.

La religion disparut alors presque complètement en dehors d'Albion, qui resta le gardien du culte qui offrait enfin la vérité et la sagesse aux peuples.

Puis ce fut la naissance de l'Ordre des Croisés face à une église qui s'affaiblissait peu à peu au profit de culte païens vouant leur foi à la nature ou à des symboles, et impies et barbares : adorant des démons ou la lune. Cela aux alentours de l'an 1000.



Croyances du culte :
Livre III : Naissances des mondes

Prélude à la création des mondes,
Dieu l'unique créateur de la vie fit naître l'univers en sept expansion, lorsque dieu acheva dans son intégralité l'univers, chaque astre était nue de vie, chacun a sa place dans un univers parfait ou apparaissait lentement la vie des Angeues, être divin naît de la toute puissance du Seigneur afin de l'aider dans sa tâche. Afin de faire naître la vie, dieu confia a deux de ses fils les plus proche et les plus puissant, l'autonomie et le libre arbitre. De leurs profondes réflexions, les êtres qui furent appeler par les anciens Malkaeive et Solpaham firent naître l'espace et le temps, perfectionnant l'univers de leur père, leur première consigne dicta à la création de Dieu, la science du mouvement, les astres dansèrent alors les uns avec autres, créant les cycles terrestres d’exposition des uns aux autres. Le lendemain de cette première création, et comme pour arrêter la danse parfois, ils décrétèrent que toute chose et que tout être à l’essence presque divine, mais inférieur à Dieu, aurait un début et même une fin, afin que jamais personne ne puisse contester les bien faits de Dieu. Ainsi naquit l’équilibre de la vie et de la mort, engouffrant ce qui n’était plus utile à dieu dans le néant.

Naissance de Dénosia,
Dénosia, première astre conscient de l’univers créait par le seigneur, les anciennes fresques des terres d’Atum présentent ce lieu comme la source de la vie des êtres supérieur nommaient les Angeues. Cet astre fut touché par l’essence divin du seigneur et devin un astre rougeoyant tendant vers le mauve, insufflant aux créatures naissant sur son monde puissance divine et connaissance partiel de l’univers. Dans les premières expansions de l’univers, Dieu y puisa ses premiers fidèles, qui l’aidèrent dans la gestion de l’univers. On suppose que Malkaeive et Solpaham naquirent sur cet astre suite à la demande du Seigneur et que ce dernier fit naître des êtres célestes de plus en plus puisant afin d’aider le Seigneur. Malheureusement, leurs apparences se fit de plus en plus laide et sans sens pour le seigneur et la citadelle des Angeues devint Dénosia, son premier nom fut oublier et ses habitants prirent le nom de Dénomonias. Dieu infligea à l’astre sa première indulgence, le privant de son pouvoir divin, ce qui fit naître lentement les premiers esprits Dénomonias inférieur et supérieur. La seconde indulgence de Dieu, fut de les exiler sur Dénosia dans leurs laideurs non divine la plus totale afin que Dénosia comprenne son erreur et que seul l’œuvre de Dieu pouvait être Divin. Durant le fil des expansions, certains Dénomonias inférieur et supérieur devinrent des Angeues à travers les indulgences du Seigneur et de ses fidèles les Angeues prime.

Naissance d’Emthachnael,
Emthachnael, connu désormais sous le nom d’Amtenael appartient à la seconde catégorie des corps céleste de l’univers que Dieu fonda. La création du monde d’Emthachnael repose sur trois théories différentes issues d’époque différente. Notre époque la plus récente décrit la construction de notre monde selon au rythme de sept jours tout comme l’univers et ses sept premières expansions. Dieu y fit office lui-même et engendra la vie ainsi;

Le premier jour, le seigneur ne trouvant toujours pas grâce à son être dans l’univers versa une larme. De cette larme émergea les premières traces de vie tel une semence fécondant un œuf. De cette vie émergea ce qu’il nomma Enao, et ce que les hommes nommeront bien plus tard, l’eau. L’Enao se mit a recouvrir la totalité de l’astre, c’est une des raisons qui fait qu’Amtenael est couverte en grande partie d’eau. Afin de contempler son œuvre, le Très Haut sépara le temps en deux phases, la première, le jour, lui permit de contempler le monde tel qu’il était. La seconde la nuit, les ténèbres, lui permirent de montrer son joyau aux yeux des astres formant ainsi la danse étoilé qui contemple le nouveau monde.

Le second jour, Le seigneur décida de séparer le jour de la nuit, et pour cela Dieu fit appel à deux astres voisins. Le premier, astre lumineux réveillé par l’aura du Seigneur décida de brûler la surface du monde du seigneur pour le punir de son arrogante demande, mais le Seigneur lui fit entendre raison et le condamna a calmer sa jalousie divine en illuminant Amtenael et en portant le nom de Lectufer, ancien Angeue qui fut jadis, séduit par le néant et qui disparut en son sein. Le second astre fut plus difficile a trouver, se cachant et espionnant les actes du Seigneur dans les ténèbres. Le Seigneur nomma l’astre Lhunae et il accepta d’éclairer les ténèbres d’Amtenael, a la condition qu’en retour, il puisse apparaître et disparaître sous un voile afin de mieux observer cet étrange monde. Et peut de temps après les premiers rayons de lunes et de soleil apparaissaient les nuages cachant l’un et préservant le monde des rayons de l’autre.

Le troisième jour, le Très Haut fit rassembler les eaux en un seul lieu, des entrailles de l’astre sortirent les continents.
Dieu contempla son œuvre, nomma les continents, terre. Puis les eaux, mers. Il exigea des continents de produite de l’herbe, des plantes pouvant engendrer la vie et des arbres fruitiers pouvant nourrir ceux qui devaient être porter par le monde. Les océans devaient eux renouveler le cycle de l’eau, permettant aux êtres des continents de s’abreuver. Dieu déposa aussi des graines de vie au fond des océans laissant naître le plancton et les algues.

Le quatrième jour, l’être suprême décida que les eaux devaient produire un grand nombre d’être vivants, et que le ciel devait être combler d’être volant. Dieu créa les grands monstres marins, et de nombreuses espèces marines puis les oiseaux qui eux resteraient sur la terre et dans les cieux. Il les bénit en leur demandant d’être féconds et de se multiplier aussi bien sur la terre que dans les eaux.

Le cinquième jour, Dieu fit naître de la terre des animaux de toutes sortes, du bétail, des reptiles, des bêtes sauvages.
Dieu créa ensuite les premières races mortels, il les fit à son image. Certaines lui ressembler plus que d’autres, et d’autres ressembler plus à des Angeues ou des Dénomonias. Ainsi naquirent les premiers mortels qui peuplèrent Amtenael.
Ils devinrent mâle ou femelle, afin de procréer et de se multiplier. Ils avaient tout pouvoir sur les mers et sur la terre,
mais les cieux restèrent le domaine de Dieu.

Le sixième jour, Le seigneur permit à la conscience de l’Astre de prendre forme, cette dernière pris la forme d’une jeune Angeue qui se nomma Amtenael. Pendant que l’astre formait sa jeune représentante, le seigneur fit dont aux premières races d’amtenael du libre arbitre. Ils étaient désormais capable de comprendre et d’assumer leurs actes qui leurs révéleraient s’ils sont dignes ou non des enseignements du seigneur.

Le septième jour, l’être suprême enseigna à Amtenael comment elle devait tenir son royaume en l’ absence du seigneur.
Dieu lui confia l’évolution de l’astre et de ses habitants à la jeune angeue, surveillant à travers les cieux ses actes et ceux des habitants de l’astre. C’est la raison pour laquelle Dieu est omniprésent et en chacun de nous.

La seconde version de la création d’Emthachnael décrit cette dernière au rythme de trois révolutions, ou Emthachnael se serait elle-même fécondé en saignant son être vitale laissant apparaître seule dans un premier temps les cieux, les continents, les océans et les saisons. Puis les races et enfin le libre arbitre qu’elle légua aux populations la parcourant avant de mourir. Ces trois révolutions sont suivis par l’être Suprême qui se contente d’observer comment les astres répartissent leurs qualités. Avant de lui-même bâtir le Paradis et l’Enfer qui serviront à juger les âmes des fidèles de l’univers. Une troisième version implique Dieu et sa fille Amtanael qui seraient alors le père et la mère de l’astre Emthachnael et de leurs premiers habitants. Au cours de la création du monde, la jeune Amtanael mourut, épuiser après avoir donner naissance. Cette tragédie fit naître la cause de la souffrance des femelles a enfanter. Mais aussi la distinction entre ceux qui sont dignes d’attention pour Dieu et ceux qui au contraire méritent les enfers du néant.

A la différence des deux autres versions, la création du monde en sept étapes furent retenu par le Clergé d’Avalon lors de sa création qui fut issus des différents cultes se rapportant à l’être unique et suprême, le seigneur. On distingue de nombreuses races parmi les premières races à arpenter le monde d’Amtanael et elles seront présenter dans le prochain livre.


Voies religieuses :

La dévotion des religieux envers le Très haut s’exercent à travers leurs missions de dévotion dans les sept voix de l’absolution, seul le pape et a même de se dire adepte des sept voix. Chacune des voix est garder par son Angeue respectif, représentant du Très Haut envers les mortels.

La voix de Homtes, Gardien de la Connaissance et du Savoir.
La voix de Helthar, Gardien des Offrandes et des Louanges.
La voix de Syrnis, Gardien du Culte et de la Parole Divine.
La voix de Mahtes, Gardien des Traditions et de l’Enseignement.
La voix de Themas, Gardien de la Colère Divine et de la Punition.
La voix de Teshera, Gardien du Prêche et de la Diplomatie.
La voix de Oirnis, Gardien de la Vie et du Jugement Divin.


La voix de Homtes, Gardien de la Connaissance et du Savoir.
Les mortels empruntant la voix de Homtes, ont pour mission de traiter, de classer, d’analyser et d’entretenir les informations qui auront été collecté par les membres du Clergé. Au sain de la voix de Homtes, il existe cinq branches. La première branche étudie les langues anciennes et modernes, permettant ainsi de traduire et de comprendre les textes anciens et contemporains. La seconde branche s’intéresse aux différents peuplent parcourant ou ayant parcourue le monde. La troisième branche retranscrit l’ensemble des documents contemporains et des histoires modernes et passés afin que l’Église garde trace des événements historiques. La quatrième branche s’intéresse aux sciences magiques et occultes des païens afin de comprendre leurs artefacts et leurs magies. La cinquième branche s’intéresse aux sciences antiques et modernes permettant de crée des artefacts magiques ou des projets pouvant améliorer la condition des fidèles du culte ou pouvant entraver celle des ennemis du culte.

La voix de Helthar, Gardien des Offrandes et des Louanges.
Les mortels empruntant la voix de Helthar, se consacrent à la gestion des finances de l’Église, à la collecte d’offrandes témoignage de réciprocité de l’amour du Très Haut envers les fidèles et de leur répartition dans les diverses taches de l’Église. Les fonds monétaires prélevés par le Clergé du Très haut servent a financer les œuvres du clergés, tel que la charité, le bien être sociale et l’éducation. Mais aussi l’Armée du Très Haut qui doit être entretenu afin que cette dernière puisse protéger les fidèles des hordes démoniaques pouvant survenir.

La voix de Syrnis, Gardien du Culte et de la Parole Divine.
Les mortels empruntant la voix de Syrnis, sont uniquement dévoués à la prière, à la sanctification et aux pratiques courantes du culte. Les fidèles empruntant cette voix se voit attribuer une paroisse dans laquelle, ils exercent leurs offices. Ces représentants du Très Haut peuvent organiser de grande manifestation ou simplement se consacrer à la célébration quotidienne du culte auprès de leurs ouailles. Cette branche représente la majorité des paroissiaux du Clergé, leur nombre est aussi important que leurs taches qui restent essentiel.

La voix de Mahtes, Gardien des Traditions et de l’Enseignement.
Les mortels empruntant la voix de Mahtes, sont responsables de l’éducation des aspirants religieux, des aspirants croisés et des fidèles désirant recevoir une éducation religieuse. Les aspirants et fidèles se voient inculquer les croyances et fondements de l’Église. Les maîtres religieux ont pour vocation de former les disciples, prêtres et croisés qui formeront la communauté religieuse du Clergé du Dieu Unique.

La voix de Themas, Gardien de la Colère Divine et de la Punition.
Les mortels empruntant la voix de Themas, peuvent rejoindre une des deux branches armées de l’Église. On distingue les Inquisiteurs qui font offices de juge des offenses des mortels envers le Très Haut et qui applique la sentence acceptable pour effacer les péchés du fils. Et les gardiens Théistiques qui veillent à la protection des hauts dirigeants de l’Église. C’est au sain de cette branche que sont formés les futurs officiers des armées du Très Haut, qui reçoivent une éducation particulière afin de servir aux mieux les intérêts de l’Église. On notera que l’ensemble des croisés appartiennent de part leurs missions à cette branche punitive.

La voix de Teshera, Gardien du Prêche et de la Diplomatie.
Les mortels empruntant la voix Teshera, ont pour mission d’étendre le prêche au-delà des frontières des terres du Très Haut. Les prêcheurs sont des missionnaires qui au cours de leurs voyages convertissent les barbares aux connaissances du Très Haut et à son Amour. Ils ont aussi pour mission de prendre le pou du monde et d’informer les hautes instances de l’Église sur les événements marquants leurs voyages. Ils ont donc un rôle d’éclaireur mais aussi de Diplomate, puisqu’ils peuvent se voir confier pour mission d’établir des échanges religieux et sociaux avec les autochtones des pays lointains.

La voix de Oirsnis, Gardien de la Vie et du Jugement Divin.
Les mortels empruntant la voix Oirsnis, possèdent la connaissance, et le pouvoir de soigner les fidèles du Très haut et ses humbles serviteurs. Ils ont un rôle essentiel sur les champs de bataille contre les impies et se doivent aussi de soigner tout ceux qui reconnaissent la grandeur et l’illumination du Très Haut. Ils peuvent vaincre les pestes et autres épidémies qui parfois infectent des civilisations entière, leur rôle du juge reposant dans leurs décisions de soigner ou de ne pas soigner. Ils ont aussi pour mission de réciter les sacrements permettant aux fidèles de rejoindre les bras du Très Haut lors de leur mort.



Infos :

-Ordre théocratique, religieux :
Croyance en le Dieu Unique vénéré en Albion, synonyme de lumière. Préceptes de tolérance envers les sectes païennes comme le culte de la Lune ou le culte du Panthéon d'Asgard. Toutes les guildes se battant pour la justice et pour le bien sont nos alliées sur ces terres.
Appellations du Dieu Unique : Dieu, la Lumière, l'Unique, le Seigneur, le Très Haut.

-Défenseurs du royaume d'Albion :
Préceptes de tolérance envers les ordres et confréries d'alignements "bon" ou 'loyal' dans une certaine mesure. Toutes les guildes se battant pour l'ordre, la justice et pour le bien sont nos alliées sur ces terres.

-Ordre militaire :
L'honneur, la droiture et l'obéissance sont données en exemple.
Appellations des membres : Croisés, serviteurs de Dieu, bras de Dieu, Fidèles (du Dieu Unique), croyants...


Premiers projets :
Nettoyer Albion de la présence païenne et restituer à Dieu ce qui lui appartient : le Saint Royaume d'Albion. Protéger les sujets d’Albion de la menace extérieure, païenne et impie et des envahisseurs barbares, les forces d'occupation oréthorniennes.

Premiers projets sur Nevim :
Protéger les albionnais émigrés d'Avalon. Tisser des liens avec les autres ordres du bien pour constituer une alliance capable de défaire les armées du mal. Protéger Tymrel. Fonder une Eglise du Dieu Unique sur le nouveau continent et propager la religion.

Recrutement :

Image
Affiche pouvant être aperçu aux différents village d’Albion et d'Avalon, au fort des Tempêtes.


Bonjour,
Nous recherchons actuellement principalement des Maîtres d’Armes, des Paladins, des Clercs et des Éclaireurs d’origines Breton, Highlander, Avalonien ou Sarrasin.
Nous sommes une guilde préférant le qualitatif au quantitatif, interdiction de ne pas respecter les règles du serveur, Roleplay Obligatoire, bonne humeur fortement conseillée.

Les postulants peuvent se manifester à l'un de nos officiers recruteurs IG : Padriac, Eniom et Asendaddyn, ou sur notre forum et doivent s'inscrire et poster leur BG et présentation sur le forum : http://ordredescroise.frbb.net.

Après un serment d’allégeance à Dieu et à l’Ordre, ils deviendront recrue et devront passer par une période d'apprentissage (rp) pour montrer leurs preuves en matière de roleplay et d'investissement.

Si certains membres agissent contre la guilde (FPK, HRP trop fréquent, non respect des règles du serveur, etc.) ils recevront un avertissement, redeviendront simple recrue (rang 9) puis seront exclus de la guilde s’ils récidivent.


Rangs et emblème:

[Les rangs seront communiqués une fois guildé, les rangs ne sont pas des privilèges mais la fonction qui correspond aux personnages.]
On entend selon certaines rumeurs que l’Ordre serait composé d’une branche ecclésiastique et d’une branche militaire.

Emblème : La croix, symbole de l'Ordre des Croisés.

Image

Les couleurs des croisés sont le rouge (Foi) et l'or (Honneur).


Règles RP :
-Protéger les valeurs et les intérêts de l’église d’Albion et de l’Ordre.
-Sanctifier chaque mort humanoïde d’un geste de croix ou d’une courte bénédiction. (/induct)
-Protéger tout être vivant ayant une âme en tout lieu d'Amtenaël : fidèles du Dieu unique, non criminels.
-Rester pieu et droit en toute circonstance (Pas de vol, ni de meurtres sans raisons valables, ou d'attitude indigne de l'Ordre).
-Suivre les préceptes de l’église et de l'Ordre :

Toi croisé, bras de Dieu et défenseur d'Albion,
Tu ne mentira point à tes semblables,
Ne tuera quiconque ayant une âme,
Ne commettra l'adultère,

Tu honorera les symboles de l'église,
Et punira quiconque les bafoue,
Restera pieu et fidèle à Dieu,
Sera honorable et vertueux en tout temps et en tout lieu,
En ton âme et en tes actes.


(Sermon I, Code des Croisés)

Quelques sources d'inspirations sur le culte du Dieu Unique. Actuellement obsolètes dans le cadre de notre roleplay. Nous les laissons là en hommage.

Règles HRP :
- Respecter les règles du serveur et du forum.
- Vous amuser.
- Toujours jouer son rôle en jeu.
- Soyez fairplay et ouverts avec les autres joueurs.
- C’est votre personnage qui parle en CC général, pas le joueur (langage Roleplay).
- Le CC Guilde se fait Hrp, Vous pouvez faire du Rp entre parenthèses ou crochets.
- Le /send se fait en HRP.
- Faites sonner un cor d'alarme (sur le cc général)… avant de demander de l’aide sur le cc guilde (à partir d'un certain rang) :
< XXX fait sonner un cor de chasse dont le son se répercute jusqu'à Albion>
Last edited by Dama on 24 Aug 2008, 10:59, edited 19 times in total.
Asenar Lunin
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Unread post by Asenar Lunin »

("né" et pas "naît" :)).

Je comprends donc que je dois changer les liens dans la liste des guildes?

Ce sujet en lien,
Ton mp itou
et le 3eme, il me le faudrait :)

a propos de la guilde, domage que ce soit inter-royaume, vu le but de la guilde... :/
Asenar Lunin, furtif...,
Encyclopédie
Furtif, mais moins..
Dama
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Unread post by Dama »

Asenar Lunin wrote:("né" et pas "naît" :)).

Je comprends donc que je dois changer les liens dans la liste des guildes?
Ouep ... (j'ai corrigé, c'était un copier coller ^^)
et le 3eme, il me le faudrait :)
Le 3eme ?
a propos de la guilde, domage que ce soit inter-royaume, vu le but de la guilde... :/[/color]
Oui ... mais on ne peut pas se le permettre, en tout cas pour l'instant.
Et la volonté de l'église est de convertir les païens, non pas simplement de les tenir à l'écart ou les exterminer comme d'autres encore plus extremistes ... Oui on est des gentils nous :roll:
Kraax
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Unread post by Kraax »

Effectivement l'ordre des croisés se veut l'ordre de Dieu et defenseur d'albion... en somme c'est une institution purement théocratique ou la foie prédomine sur tout autre critère de selection.
Image
katana87
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Unread post by katana87 »

Je vois avec plaisir que ma création à fait du chemin et semble être en de bonne main, Dama je suppose que tu t'en sort très bien seul mais si tu a besoin de quoi que ce soit (genre une extension de BG etc...) je suis toujours contactable par MP.

En espérant que cette guilde soit bien portante et active comme je l'aurais souhaitai en la créant.

Silaire
Polaera - Thaumaturge Avalonienne 4X
Ceeday - Championne Elfe 3X 1L3 !!!
Kearn - Paladin Breton 2X
Torbin - Éclaireur Breton 2X
marley
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Unread post by marley »

je te conseille d'aller voir notre forum privé beaucoup de chose se sont passé...........

kephyx intendant odc
Elmanu => vieux menestrel 50 6L7
Dama
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Unread post by Dama »

Une confrérie oubliée, un ordre en perdition...
Je fais un appel à la population d'Amtenael, afin de ne pas laisser tomber dans l'oubli la religion du Dieu Unique et ses impérialistes de croisés !

Si quelqu’un est motivé pour reprendre cette guilde et la faire revivre, qu'il me contacte (Mp) ou poste à la suite de ce topic ... Il faut bien entendu beaucoups de temps libre et un grand intérêt pour l'expansionnisme religieux... :roll:


Pour ce qui est du nom, on pourrai éventuellement le changer suite au passement de pouvoir afin d'éviter les incohérences avec l'ordre d'avalon... A voir.
Dama
Maître Absolu
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Unread post by Dama »

ps : On cherche de nouveau un joueur motivé et disponible pour s'occuper de la guilde ; )

La dame demi elfe était en armure, toute recouverte d’un doré étincelant et prosternée devant un autel recouvert d'un drap vermeil. L'ambiance était d'un calme profond bercé par la sourde litanie des cantiques de quelques moines dans les salles voisines de l'église de Caer Gowait.
Le lieu avait changé, aujourd'hui d'une vétusté contrastant avec l'allure passée ou tentures et tapisseries or et rouges ornaient fièrement les murs.
Tout comme l'Ordre, la grande salle de l'église avait déclinée et seul les nombreux bancs désormais inoccupés rappelaient les glorieux jours passés.
La chevelure blonde de la dame remua et elle finit sa prière :


"Dieu, puisse-tu nous donner la force et le courage. Ta lumière nous guidera et ta loi sera en tout lieu d’Amtenaël... Accorde-nous le temps et la patience de trouver un nouvel élu, qui nous mènera au combat et répandra ta juste parole."

A ce moment précis, un rayon de soleil passa par le vitrail en hauteur et vint éclairer la croix, fixée dans un chapelet et posée sur l'autel. Ebloui par le reflet, elle se releva comme étourdie par cette vision et les mots qui résonnaient dans son esprit : "Sa venue approche… L’Ordre se relèvera."
Jelena
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Personnages: Livie, Eux, Cadicyn, Blafarde, Vindicte, Pénitence...

Unread post by Jelena »

Livie n'était qu'une enfant lorsqu'une voix intérieure lui intima que son existence ne lui appartiendrait pas. Son corps ne serait que l'instrument de forces qui la dépasseraient. C'est avec une dévotion aussi prompte qu'innébranlable qu'elle s'en était résignée.
Et depuis lors, elle parcourait Amtenael, prodiguant ses "Privilèges du Dieu" -nom qu'elle donnait à ses prédispositions curatives qu'Il Lui avait transmis- à toutes personnes nécéssiteuses. Sa chair, son âme, son être tout entier servaient un unique but : appliquer les justes préceptes du Dieu afin d'illuminer l' Humanité de faisceaux d'amour, de pureté, et de compassion.

Elle ne suivait aucun dogmes sauf celui qu'Il lui dictait directement. Contre un monde dégénéré et perverti, l'engagement envers Sa cause était de tous les instants, la Droiture pour seule arme .

Aujourd'hui encore, les nuits où son esprit s'embrumait de doutes, la voix chaleureuse du Divin apaisait ses craintes, guidait ses pas, exarcerbait sa foi.
Ce soir-là, l'appel péremptoire l'enjoignit à ne plus errer seule. D'autres fidèles s'organisaient. Il ne serait plus sa seule famille.
[…]Vint à sa rencontre, un homme possédé d'un esprit impur,
[…]Et Jésus lui demanda : " Quel est ton nom? "
Et le démon lui dit : " Mon nom est Légion, car nous sommes nombreux. "


Evangile selon Saint Marc, chapitre 5, verset 9.

Le Mal triomphe par l'inaction des gens de Bien - Edmund Burke
Dama
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Dans la ville d'Albion et sur la place du marché, une vieille affiche proposant les services d'un artisan était recouverte d'une plus récente :

*** La sainte Eglise d'Albion fait un appel à la population :

Tout homme ou femme servant Dieu de facon juste et pieuse est appelée à soutenir l'Eglise en rejoignant les rangs de l'Ordre des Croisés, au nom de Dieu et de sa bienveillante lumière.

Tout homme ou femme étrangère ayant une experience du combat et résidant ou de passage sur les terres d'Albion peut, si elle embrasse la foi de Dieu et renonce à toute croyance hérétique, rejoindre le saint combat en se joignant à l'Eglise d'Albion ou à son Ordre.

Pour vous faire signaler, l'eglise de Caer Gothwaite est ouverte nuit et jour, vous y trouverez un clerc ou un dirigeant de l'Ordre pour vous faire recenser et vous conseiller.
Gîte, arme et ravitaillement seront offerts aux croisés durant leur service et à leur accueil.

Le vénérable Evêque Bernardus de la ville d'Albion.
***
Last edited by Dama on 14 Jan 2007, 15:06, edited 1 time in total.
Dama
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Chronologie et Histoire du culte du Dieu Unique :

La première trace de l’église remonte aux origines de l'Empire et de la société avalonnienne, vers le cycle 100. On retrouve néanmoins, dans quelques contes oubliés et vieilles histoires transmises par les générations des traces de cultes païens vouant une adoration à un dieu unique et montrant des similitudes. Mais assimiler un quelconque culte païen à notre foi serait un outrage pour Dieu et pour l’église.

L'Empire donc, qui vint avec le temps à se construire et à rassembler les races et peuples d'Amtenaël ne fut autre, après des cycles de paix, que le tortionnaire des premiers fidèles de notre l’église.
La grande foi de ces premiers fidèles, qui avait assuré à l'Empire de glorieux Jars, en vint à être trahie avec la venue au pouvoir d'un Empereur particulièrement maléfique, qui lança contre notre culte une série d'agression et de persécution.
En effet, notre grand culte n'était alors qu'une religion montante, si nous pouvons nous exprimer en ces termes, et les fidèles de cette époque devaient alors, à l'ombre, célébrer les rites sacrés loin des regards des gardes de l'empire et de leurs sombres croisés. Cela se passe alors aux alentours de l'an 300. La chronologie n'étant pas exacte dans les textes retrouvés et parmi nos reliques écrites, la notation du temps variant selon les époques.

Ainsi donc se cachant de l'autorité de l'empire et surtout de l'église officielle qui prônait un culte profondément païen et obscure, la nouvelle église se rependit parmi une partie de la population, en premier lieu les pauvres, les délaissés, les mal nourris de l'empire trouvant là un véritable soulagement dans la fin de la servitude d'un culte qui les méprisait et qu'ils ne reconnaissent plus et dans l'opposition à l'empire qui les avait si mal traités.

Ce furent donc, très vite, les pécheurs, dockers, et habitants vivants dans la misère des villages du Sud qui rejoignirent le culte, en particulier la citée d'Albion qui n'était alors qu'un petit port de l'Empire.
Ceux-là furent ensuite rejoints par les marchands et les fermiers de la région. Car en effet, la religion semblait se concentrer dans cette région d'Amtenaël autrefois pauvre et délaissée par l'Empire que nous appelons aujourd'hui fièrement Albion, notre saint royaume.


Puis vint le chatiment divin avec la chute de l'Empire persécuteur et l'avènement de notre grande religion qui prit alors un essor considérable. Les peuples y reconnurent leur sauveur et elle les accueillit en son sein. La paix revint peu à peu sur les terres où l'Empire éclaté avait redonné naissance aux Trois Royaumes.
Albion, qui comportait le plus de fidèles, était alors en paix. Le monarque, béni par l'église, avait reprit le pouvoir et en accords avec les grands sermons de l'église, fit de la religion du Dieu Unique la religion officielle et respectée par tout albionnais. Ce roi s'appelait Jean I le Juste. Il donna naissance à une lignée de descendants qui suivirent honorablement les traces de leur ancêtre en veillant à la sécurité d'Albion et au respect du culte.

Mais Hibernia et Midgard n'étaient pas en mal non plus, bien que moins influent, le culte apprenait aux barbares de Midgard les enseignements et une importante communauté religieuse y était implantée sous le bon regard des chefs de tribus locaux. En Hibernia, le culte était aussi présent, sous une forme un peu différente, mais toute autant honorable. Les religieux mêlaient à leurs enseignements les traditions liées au respect de la nature, chère à ces peuples. Ils adoraient la création, la terre nature, et le culte leur offrait d'aimer le créateur, Dieu. Ainsi la religion s'étendit jusqu'à Caldey, ou résidait alors un monastère.

En ces temps heureux et bénis, les relations entre les peuples étaient confiantes et agréables et malgré les soucis du quotidien, la paix était majoritairement présente, la famine devenue rareté.

Cela date d’aux alentours de l’an 700, si les chiffres sont exacts.


Mais ce temps ne dura pas, la foi délaissée pour l'or et la perversion par de nombreuses guildes et groupes, et une multitude de confréries apparurent avec le déclin des puissances d'Albion, de Midgard et d'Hibernia. Le glorieux royaume d'Albion était en proie aux attaques d'un culte impie, adorant de vieux démons, ennemis des hommes, les rendant avides de mal et de sang. L'influence de la garde royale se fit de plus en plus faible à mesure que les villages étaient pillés et les populations agressées. Les milices remplacèrent l'autorité du royaume pour résister tant bien que mal.

La religion disparut alors presque complètement en dehors d'Albion, qui resta le gardien du culte qui offrait enfin la vérité et la sagesse aux peuples.

Puis ce fut la naissance de l'Ordre des Croisés face à une église qui s'affaiblissait peu à peu au profit de culte païens vouant leur foi à la nature ou à des symboles, et impies et barbares : adorant des démons ou la lune. Cela aux alentours de l'an 1000.

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edit : Texte édité pour précisions.
warghoth62
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La rencontre

Warghoth était encore a la recherche de la lumière pour le peu de ceux qui vivaient encore , car suite a la chute des esprit de lumière , la lumière l'avait comme abandonnée...
Puis vers Caldey, Warghoth vit une femme avec un emblème qu'il ne connaissait pas, sans le savoir la lumière l'avait guider jusqu'a cette personne...

Elle s'appelait Ewindel , Inquisitrice de l'ordre des croisés, elle était belle , plein de grâce dans ses paroles et elle avait le sourire au lèvres a chaque parole , ils échangèrent alors c'est quelques mots...

-Bonjour , excusez moi mais quel est votre ordre? Car je ne connais pas votre emblème...
-Bonjour, mon ordre est l'ordre des croisés...
-Ah, je ne connaissais pas du tout <sourit>
-Et bien maintenant vous le serez <sourit>, je suis Ewindel.
-Et moi Warghoth, enchanté!
-De même.
-Et quel est le but de cet ordre?
-Et bien nous servons le dieu unique et notre but et de veiller a ce que personne ne menace notre terre sainte , l'Albion et tentons de faire revenir la lumière en ces lieu...
-Ah , la lumière et dieu....La lumière guide ceux qui croient en elle...
-Oui...Vous avez raison...Si vous êtes de notre coté , nous cherchons de braves personnes pour nous aider a ne pas faillir a notre tâches...
-Ah oui?
-Oui...
-Et bien si vous avez besoin d’aide, je suis sans ordre depuis la mort et la disparition des esprits de lumière, donc je peu vous aidez.
-Ah, je vous remercie...

Warghoth et Ewindel discutèrent pendant de nombreuses heures et pour finir Warghoth rejoignit cette ordre en espérant que la lumière le guide...
Warghoth , Thane 50 weaponcraft 1000+ RR 4LX
Dama
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Livre de Livie, épître I, parabole du Seigneur et de sa défunte épouse.

Le seigneur d’un petit royaume reculé menait une vie prospère. Sa femme douce et aimante, le comblait de bonheur. Sa grande fortune lui permettait de répondre à chacun de leurs souhaits, et leur grande foi en Dieu élevait leur esprit dans la plénitude. Il n’accablait pas ses sujets de terribles tâches ou impôts, à vrai dire peu lui importait leur existence. Il vivait seul avec sa femme, sans se soucier de rien d’autres. Cependant qu’ils profitaient de leur vie de privilégiés, la femme du seigneur tomba brutalement dans la maladie. Le seigneur fit venir tous les meilleurs soigneurs du monde, mais en vain : l’état de santé de la femme empirait à chaque instant. Le seigneur ne pouvait se résoudre à assister ainsi à la déchéance de sa bien-aimée jusqu’à son trépas. La médecine conventionnelle ne pouvant rien faire pour lui, il se tourna exclusivement à Dieu. Il ne comptait plus les heures passées devant l’autel de leur chapelle privée. Il décida de se séparer de tous ses biens superflus, dans l’espoir de voir Dieu récompensé ces actes de grande générosité. L’hiver arriva et avec lui une période de très grand froid. La jeune femme, déjà lourdement affaiblie ne pu résister à ce froid destructeur. Le seigneur maudit Dieu de lui avoir enlevé la seule personne sur cette terre qui suffisait à son bonheur. Vint le jour de l’enterrement. Il aurait espéré une grande cérémonie en présence de toutes les célébrités locales, mais le gel avait dissuadé les autres seigneurs de se déplacer. Seuls furent présents ses gens qui, malgré leurs mines usées et fatiguées par les intempéries étaient présents. Glacés par la neige qui tombait, certains même étaient pieds nus, d’autres grelottait de tous leurs êtres dans des haillons déchirés… mais tous partageant la peine de leur seigneur. Ce dernier voyant tout l’amour qui se dégageait de cette misère, invita son peuple au repas du château qui devait suivre l’enterrement. D’un funeste et sombre repas auquel il s’était attendu, il assistait à présent à une cérémonie émouvante dans la simplicité et la sincérité de ses hôtes. Le seigneur ne le savait pas encore, mais pour la première fois de sa longue existence il allait découvrir le sens du mot amitié. Il remercia Dieu de ce terrible hiver, sans quoi tout cela ne serait arrivé.

La vocation de Dieu n’est pas de répondre à des attentes, à gratifier des prières ou des actes généreux mais calculés. C’est lorsqu’un cœur agit dans la plus pure sincérité, sans aucune attente en retour, que le souffle de Dieu se fera sentir.


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Livre de Livie, épître II, Parabole des fausses idoles.

Doviel côtoyait déjà la grâce divine depuis déjà des années. Les trésors de la rivière près de sa cabane, et l’amour de Dieu suffisaient à combler son existence. Doviel avait une âme bonne et généreuse. Il ne pouvait concevoir une vie si épanouie dans l’amour de Dieu alors que tant de pauvres gens vivaient encore dans l’ignorance. Encore faudrait-il que l’on puisse parler de « vie », se disait-il, pour ces âmes qui ne s’étaient pas encore laissées irradier par la chaleur protectrice de l’ Albionais. Il abandonna alors son foyer et sa tranquillité pour le tumulte d’une vie de missionnaire. Doviel apportait alors, partout où il passait, l’espoir au désespéré, la richesse au miséreux, l’amour au coléreux, la foi au sceptique ; seulement en louant la Lumière et la Grâce de Dieu.
Ses voyages l’amenèrent sur une île encore sous le joug de croyances païennes. Mais les représentants des faux-dieux au pouvoir craignaient pour leur autorité. Les hommes, guidée par leur foi retrouvée, ne se laissaient plus manipuler aussi facilement par ce simulacre.
La parole de Doviel, gênait et ne devait plus se propager. Il fut alors arrêté, et jugé. Refusant d’adorer de fausses idoles, il fut jeté aux oubliettes. La ferveur ne décrue pas de suite, et nombre de femmes et d’hommes rejoignirent Doviel dans les entrailles du château, avant que les usurpateurs en place retrouvent leur pouvoir.
Un soir, un orage si violent, qu’il se faisait entendre jusqu’ au fin fond des oubliettes, éclata sur l’île. Un déluge sans précédent s’abattit sur le petit royaume, si puissant que des vents furieux ravageait tout sur leur passage. Les baraques de chaume ne résistèrent pas aux tornades, si bien que toute la population se retrouva dans le château, à l’abri du vent, derrière les murs de pierre protecteurs. La mer, exacerbée par la tempête n’avait de cesse de s’agiter… jusqu’à ce qu’une vague, si haute que même une rotation verticale de la tête ne permettait pas aux autochtones d’en voir le bout, vint recouvrir l’île. La force du raz de marée fut telle, que lorsque l’impact avec le château eu lieu, ce dernier explosa littéralement. Tous les habitants périrent, soit lors de la collision, soit noyé, pris au piège dans le château.
Seuls les prisonniers, oubliés dans des cachots si profondément dissimulés, que le bras destructeur de la mer ne put miraculeusement pas atteindre.

La justice des hommes n’est rien. Seul importe le regard omniscient de Dieu.


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Livre de Livie, épître III, parabole du pêcheur et du païen.

Deux hommes étaient alités dans un mouroir. D’ici à quelques minutes, leur existence prendrait fin. L’homme de gauche était un homme respectable à qui l’on prodiguait les derniers soins. Son voisin à l’inverse avait mené une vie de pêcheur, de voleur et parfois même de tueur. Au moment de leur trépas, Dieu dans son infini bonté, leur envoya une entité physique à leur chevet.
- Je suis le représentant de Dieu. Je viens accompagner celui qui mérite de se trouver auprès de notre Seigneur.
- J’ai eu une vie de pêcheur, je suis malhonnête et mon âme est vile, perverse et corrompue. Je ne mérite pas un tel privilège, reconnut l’homme couché à droite. Mon voisin, si. Demande seulement miséricorde à notre Dieu pour mes fautes.
- J’ai mené une vie d’honnête citoyen, intervint l’homme de gauche. Je n’ai jamais agit en mal pour quoi que cela soit. Par contre mon Dieu n’est pas ton Dieu, étrange créature, car mon Dieu n’aurai jamais hésité entre un brigand et moi. Par et laisse-moi attendre mon Dieu qui va arriver, démon.
Lorsque l’on vint chercher les deux cadavres pour les mettre en terre, avec un peu d’attention, l’on aurait pu observer que l’expression de l’homme à droite était sereine, -un sourire se lisait même sur son visage-. A l’inverse l’homme à gauche avait la bouche grande ouverte, les yeux globuleux, et les traits du visage très marqués. Les passants qui virent se corps se demandèrent si l’homme n’avait pas succombé en voyant le diable.

Dieu est bon et miséricordieux envers quiconque prêt à se faire pardonner et absoudre ses pêchés. Dieu est implacable envers quiconque refuse Son amour.


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Livre de Livie, épître IV, parabole de Asaen le bienfaiteur.

Asaen était le prédicateur d’un petit bourg. Il consacrait son existence à Dieu. Il savait que l’amour qu’il portait au Seigneur était réciproque, et cette pensée le comblait d’extase. Ses fidèles étaient pléthores, mais grands nombres d’habitants encore ne s’étaient pas tournés vers la lumière. Asaen cherchait, en vain, un moyen de convertir ces pauvres gens qui ne savaient pas ce qu’elles perdaient dans leur aveuglement. Les hommes n’ont souvent pas la connaissance nécessaire pour savoir ce qui est bon pour eux, pensait-il, ainsi était son rôle, lui, qui était suffisamment éclairé de les guider, de les éduquer.
Un jour il dut se rendre à la ville principale du comté, pour un séminaire religieux. Le chemin, périlleux, l’incita à intégrer une caravane marchande. Composés principalement de païens, Asaen essayait de les guider lors du trajet vers la vertu. Les marchands qui avaient d’autres préoccupations dans l’immédiat restèrent insensibles à ce discours.
Alors qu’ils traversaient une passe qui coupait une haute chaîne de montagne, un groupe de pillards les attaquèrent. Asaen eut juste le temps de s’écarter et de se cacher dans une petite excavation de la montagne avant que les brigands ne soient sur les marchands. Malgré les quelques gardes qui accompagnaient la caravane, le rapport de force était trop déséquilibré en leur défaveur. Dans le tumulte occasionné par ce massacre, entre les cris de douleur, les insultes, les pleurs, Asaen tendis l’oreille. Certains marchands, dans leur désespoir et leur souffrance, n’imploraient ni leur mère, ni leur agresseur, ils imploraient un Dieu en qui ils ne croyaient pas jusqu’alors. Une fois les brigands rassasiés de leurs méfaits, Asaen qui avait une formation de guérisseur entrepris de panser les blessures de ses acolytes. Tous étaient meurtris par des blessures plus ou moins importantes. Le prêtre remarqua ainsi que plus l’état de ses patients était critique, plus ils étaient réceptifs au message d’ Asaen quant à la Toute-Puissance de Dieu. Fort de son expérience, lorsqu’il retourna quelques jours plus tard dans son village, il constitua une brigade spécialement composée de fidèles en armes afin d’éveiller l’âme des apostats.

La souffrance du corps permet aux âmes égarées de se libérer des démons qui les habitent. La souffrance prédispose l’esprit à recevoir et comprendre la Lumière et la Grâce de Dieu.


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Livre de Livie, épître V, parabole des riches entrepreneurs.

Comme la grande majorité des cités libres du continent, Stupre est le foyer de prospères négoces. Artisans, marchands, banquiers, tous trouvent leur salut dans le commerce, et ne vouent leur existence que dans l’accumulation de richesse. Or, Joshua était différent. Missionnaire, il fut envoyé dans cette cité libre afin d’y propager la parole de Dieu. La petite bourgeoisie que composait la ville n’était pas réceptive à ce message. Ils ne voyaient dans le culte de Dieu, et sa communion par la prière des heures pendant lesquelles l’argent ne rentrait pas dans leurs poches. Joshua était de plus considéré comme un marginal, qui se satisfaisait d’une piètre et pauvre existence, faites seulement de pain, d’eau, et n’ayant pour refuge q’un petit cabanon à l’extérieur de l’enceinte de la ville. La population locale qui vivait dans la luxure et l’opulence n’arrivait pas à comprendre un tel mode de vie, d’autant plus, qu’à leur plus grande confusion Joshua ne paraissait pas malheureux, bien au contraire.
Vint le jour où le royaume frontalier, envieux de toutes ces richesses décida de s’emparer de la cité. Les mouvements ennemis furent si rapides à prendre position autour de la cité, que les riches marchands n’eurent pas le temps de se constituer pleinement une armée de mercenaires qui puisse rivaliser avec l’impressionnant ost des envahisseurs. Avant l’offensive qui prendrait irrémédiablement la cité, les généreux ennemis, qui ne cherchaient pas le massacre, ont invité toutes personnes désireuses de fuir où de se rendre, de le faire immédiatement avec la promesse qui ne leur sera fait aucune violence. A l’inverse, toute personne encore dans la cité lors de l’attaque sera exécutée sans sommation. Malgré une telle menace, aucun négociant ne se décider à franchir les portes de la cité. Ceux-ci, qui avaient trop peur de voir leurs biens et leur patrimoine disparaître à jamais, surchargeaient leur voiture, monture, leur femme et enfants, du maximum de trésor qu’ils possédaient. Il y avait tant et tant à ne pas abandonner, si bien que la patience des généraux mise à mal, pris fin et donna l’ordre de l’offensive. En réalité, seul Joshua accepta à temps la reddition. On ne pourrait rien lui piller, toutes ses possessions, -dont son existence même- n’était pas de sa propriété, mais de la propriété de Dieu.

Dans la richesse matérielle se trouve la corruption de l’âme. Dans la richesse morale et bienveillante de Dieu se trouve le salut de l’âme.

Merci à Jelena pour ces beaux textes à exploiter ig :wink:
bisard
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Jinichiro moine tout juste sorti de l'académie, il est missionné par l'église pour aider a repousser l'envahisseur dark.

Arrivé en compagnie de fahrio le barde.
Il attira l'attention d'un mercenaire de l'ordre des croisés, tant par sa conviction dans la foi que par sa capacité a prêcher la parole du seigneur.

Ce dernier combattant a ses cotés, lui conseilla de demander audience pour rentrer dans son ordre.

C'est à la suite de cette audience, qu'il fît ses premiers pas dans l'ordre des Croisés.
Itachi13
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Re: <L'Ordre des Croisés>

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Dama wrote:- Faites sonner un cor d'alarme (sur le cc général)… avant de demander de l’aide sur le cc guilde :
< XXX fait sonner un cor de chasse dont le son se répercute jusqu'à Albion>
C'est sensé etre un appel rp ? Si ton gars et à cadley ou sur atlantis il a interet d'avoire un sacré souffle :D
Sinon ba voila encore une guilde gentillounette qui va se faire un plaisire de pk des méchants :roll:
Bonne chance ;)
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Socrate wrote:Je suis plus sage que cet homme-là. Il se peut qu'aucun de nous deux ne sache rien de beau ni de bon; mais lui croit savoir quelque chose, alors qu'il ne sait rien, tandis que moi, si je ne sais pas, je ne crois pas non plus savoir.
http://www.ins-amtenael.c.la/
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