Les classes : ébauche de "BG"

:idea: Proposez vos idées !
Jelena
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Les classes : ébauche de "BG"

Unread post by Jelena »

J'avais un peu vite parlé en disant que j'allais m'en occuper car c'est mine de rien assez complexe.

J'avoue que ce qui en est sorti est un peu éloigné des BG "officiels" et je ne sais pas si cela peut être exploitable ...

A voir si cela vaut le coup de continuer dans ce sens avec la présentation du moine, du thaumaturge et du mercenaire.
[…]Vint à sa rencontre, un homme possédé d'un esprit impur,
[…]Et Jésus lui demanda : " Quel est ton nom? "
Et le démon lui dit : " Mon nom est Légion, car nous sommes nombreux. "


Evangile selon Saint Marc, chapitre 5, verset 9.

Le Mal triomphe par l'inaction des gens de Bien - Edmund Burke
Jelena
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Re: Les classes : ébauche de "BG"

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Le Thaumaturge.

Svealand, en des temps immémoriaux.
Hourges, première Maisonnée Avalonnienne.


En cette obscure période,Tout le Savoir Universel se résumait alors dans cette unique expérience : Deux Trolls jetés à vive allure qui entrent en collision, ça fait de jolies étincelles.

Un feu (à proximité, gisait des restes de Trolls) illuminait la pièce à vivre. Thomas, jeune Avalonien dinait quelques pommes de terre. Il observait par la fenêtre une prairie recouverte d'une pellicule neigeuse.

Puis Elle vint à lui. L'Impulsion qui devint Révalation.
« Quatre Eléments pour maitriser la Puissance,
Un Avalonien pour les gouverner tous,
Et en Svealand les lier. 

Acclamons les Quatre Fantastique : Le Feu, l'Eau, la Terre et les Chapeaux Pointus ».

Ainsi parla Thomas d'Hourges.

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Légende Adulée : Edaetha.

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Définition médicale : Le Thaumatisme est une maladie vénérienne contractée auprès de guarks femelles et dont les symptômes sont une haleine glaciale, une gorge en feu et une diarrhée boueuse.


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Le Moine.

Mouan, enfant chétif, limité et sans le sou, rejeté par les races dominantes de Gotar.

Mouan noyait son chagrin d'une vie pathétique dans une lubie dévorante : devenir mage pour tous les massacrer.

Adolescent, il mit toute sa volonté dans l'exécution de son obsession.

D'abords, l'Apparence.
Incompétent dans la confection du tissu, il opta pour le dépeçage d'une vache. De la peau ainsi collectée, il s'en fit une robe et un chapeau de cuir.

Ensuite, la Baguette.
Les baguettes magiques étant hors de prix, il jeta son dévolu sur un manche à balai. Feu, sa mère ne lui répétait-elle pas sans cesse : « plus c'est gros, plus c'est bon. » ? Mais c'était avant que la chtouille l'emporte.

Puis, la Magie.
La bibliothèque du marché de l'aigle grouillait d'écrits traitant de la magie. Partant de l'idée que plus l'intitulé du livre sera incompréhensible, plus la magie devrait être destructrice, son choix se porta sur : « magie salvatrice, théologique et cléricale ».
L'esprit limité du malheureux ne saisit du livre qu'un mot sur deux. Il ne put maitriser alors que la moitié de la magie cléricale.

Et enfin, la Vengeance.
Se prévalant d'une loi ancestrale sur les duels, il invita le Duc de Gotar à un combat à mort. On racontait à l'époque que le Duc -un Viking du nom de Vik- avait mis en déroute tout un bataillon de Trolls et Demi Ogres avec pour seule arme une marmite.
Le combat ne venait à peine de débuter que le Duc succombait suite à un coup fulgurant de Mouan.

Fort de ce succès retentissant, tous les peuples de Nevim demandèrent à Mouan de les initier au combat singulier.
Or, son cœur de raciste était toujours empli de haine et ne prit pour disciple que des Bretons pur souche.

L'Histoire ne retint pas que Vik le Viking, âgé de 87 ans lors du duel avait perdu de sa superbe depuis belle lurette.

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Légende vivante : Virale.

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Dicton moine : « Si ton épée peut m'acculer, mon bâton lui peut t'en.... »


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Le Mercenaire.

Nevim à une époque reculée, lors des « Grandes Batailles Idéologiques » entre les Races Unies de Svealand et l'Alliance des Peuples de Gotar.

Svealand venait encore de se prendre une sacrée déculottée face à Gotar.

Ce n'était pas peine d'en avoir exterminé une bonne centaine à lui tout seul.
Armé d'une masse dans chaque main, Alpha le Breton était un guerrier redoutable. Peu lui importait d'ailleurs ses instruments de combat, il en faisait des armes de destructions massives. « Tout pour l'attaque », telle était sa devise. Cotte de maille saillante là où d'autre prônait de lourdes plaques rutilantes.

En fait, le problème venait de son armée d'incapables. Constituées de « Sages » faiblards et consanguins, d' « Hommes des Bois » adaptes de maquillage, de « Culs-terreux » en jupette, de « Voleurs »trouillards, de « Cadavres » de poisson, de « Bâtards » débiles et de « Cornus » habités par la guigne, ce mélange certes bucolique n'était vraiment pas très glamour sur un champs de bataille.

Cependant qu'il sortait d'une maison dont la porte était curieusement close, lui vint une idée qui germa dans son esprit torturé par la défaite.

Alors Alpha dit : « Au nom de l'inégalité entre les Hommes et les Femmes, si une trainée peut offrir son corps pour procurer l'Amour, alors il n'y a aucune raison pour qu'un valeureux combattant puisse offrir son corps pour procurer la Mort. »

Ainsi s'acheva l'ère dite des « Grandes Batailles Idéologiques » pour l'avènement de l'ère actuelle, dite du « C'est le plus riche qu'à forcément raison ».

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Légende dévastatrice : Epsillon

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Expression populaire : « Econduire une Merco à toute biture » (Agir de façon irrefléchie aux conséquences souvent fâcheuses. Mise en situation : Mon voisin roule dans une charrette tirées par 112 chevaux, y'a pas à dire, il éconduit une Merco à toute biture !)
Last edited by Jelena on 31 May 2010, 13:41, edited 1 time in total.
[…]Vint à sa rencontre, un homme possédé d'un esprit impur,
[…]Et Jésus lui demanda : " Quel est ton nom? "
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Re: Les classes : ébauche de "BG"

Unread post by Ashvins »

La profondeur de tes textes m'émeut au plus haut point, je n'ai qu'une chose à dire : continue comme ça, j'attends la suite. :mrgreen:
-GMA- : Gentil Animateur Motivé
Proposez-moi des animations, le brainstorming c'est mauvais pour mon imagination...
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Re: Les classes : ébauche de "BG"

Unread post by Ashaar »

Jelena wrote: **************

Légende vivante : Virale.

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Je t'aime :mrgreen:
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ReVeNaNt
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Re: Les classes : ébauche de "BG"

Unread post by ReVeNaNt »

J'aime beaucoup ton interprétation des classes sauce Amte Jelena, le style narratif employé est agréable à lire, digne d'un bon bouquin d'heroic fantasy.

Juste un point qui me chiffonne un peu, la cotte de mailles, légère ? C'est antinomique tu ne trouves pas ? C'est quand même plus proche de la plaque que du tissu, et ça reste relativement lourd et protecteur. Bon ok je reconnais que je vais chercher la petite bête là.

J'attends vivement la suite en tout cas.
┼ Sanctuary ┼ ancienne créature chaotique et à tendance destructrice, conspirateur, sociopathe, paranoïaque pour un rien. Jadis au service d’une dimension démoniaque et de retour au sein de la Légion Noire.
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Re: Les classes : ébauche de "BG"

Unread post by Skorne »

J'aime beaucoup et j'attend la suite, vite vite :D
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Re: Les classes : ébauche de "BG"

Unread post by Jelena »

Merci, c'est sympa,
(ouais la cotte de maille légère, nouveau concept... je vais modifier cela, tu as raison)

La suite arrive...
[…]Vint à sa rencontre, un homme possédé d'un esprit impur,
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Re: Les classes : ébauche de "BG"

Unread post by Jelena »

Le Paladin :

Au commencement des « Grands Batailles Idéologiques ».

Thaukar était un piètre guerrier. Ses bras rachitiques l'handicapaient terriblement dès qu'il s'agissait de manier une arme. La maigreur de ses membres supérieurs contrastait avec l'épaisseur de ses cuisses ; si bien que l'allure générale de notre Highlander avait quelque chose de la volaille.

Enfant, il s'était imaginé chanteur. Heureusement pour Svealand, il y eu les Invasions Barbares de Gotar. Car avec sa gutturale voix nasillarde de cresselle, il tenait plus du coq à Hine -sa voisine- que de l'humain.

Il n'en fallait pas plus pour que son bataillon le gratifie du charmant sobriquet de « Dinde ».

Mais Thaukar avait une tare bien plus inavouable : il aimait prendre des coups. Il évitait de trop aborder le sujet car la société considérait ce petit plaisir comme une déviance amorale. Pourtant, il n'y pouvait pas grand chose s'il s'enthousiasmait dans sa souffrance.

Et l'automutilation, la nuit, seul sous sa tente, ne le comblait plus : il fallait partager pour apprécier. Or, pas question de demander ce genre de chose à ses compagnons, au détour d'une conversation :
« Salut, belle bataille. Dommage que la pluie se soit invitée à la partie. Sinon, tu pratiquerais pas dans le masochisme? »

Heureusement pour lui, depuis qu'Elle était intervenue auprès de Thomas d'Hourges, Révélation s'ennuyait sévère.
« L'homme brave se sert de ses qualités pour mener à bien sa vie. L'homme d'exception fait de ses défauts une source de pouvoir inépuisable. »

Poussé par ces propos, il récupéra toute la ferraille qu'il trouva et s'en forgea une armure. Celle-ci n'avait rien d'esthétique, mais elle avait l'avantage de le protéger de la tête au pied.

C'est la bouche en fleur et l'esprit léger qu'il se présenta en première ligne de son armée, prêt à souffrir.

Les premiers assauts furent mitigés, l'ennemi l'ignorait ostensiblement.
Alors pour passer le temps, il se mit à chanter. Son affreuse voix, qui s'étouffait dans son casque, avait quelque chose de mystique.

Afin que l'abominable son cessa, l'ennemi se précipita en nombre sur lui.
A mesure que les coups s'abattaient sur son armure, des cris d'extases se mélangeaient à ses chants.
Ses compagnons d'arme, mus par cette manifestation divine de plaisir, se transcendaient d'agressivité.

La victoire annoncée, tous ses amis entourèrent le Héros du jour et s'exclamèrent, d'un ton unanimement grivois :
« A poil la Dinde !
A poil la Dinde ! »



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Légende bienveillante : Albior

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Dicton sarrasin : « S'il continu dans cette voie, il va mal tourner... il finira Paladin

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Le Fléau d'Arawn.

École elfique de Luin.

Pas facile de se faire respecter en tant qu'instituteur. Surtout quand on est un nécrite et qu'on a un cheveu sur la langue.
Riveur Jan-Balthazar en savait bien quelque chose, il cumulait les deux.

Il exécrait la beauté des jeunes elfes.
Il exécrait l'outrecuidance de ses élèves qui le raillaient dès qu'il s'exprimait.

En conséquence, et pour assoir son autorité, Riveur fit l'acquisition d'un fouet.
Dès lors, il en développa une addiction toute particulière.

Tous ses élèves sentirent le cuir claqué, laissant d'immondes balafres sur leurs ravissants minois juvéniles. Mais Riveur faisait montre d'une agressivité toute particulière à l'encontre d'Arawn, son propre fils qui lui renvoyait l'image de sa laideur naturelle de nécrite.

Pour parfaire la maitrise de son art, son martyre de fils subissait de plein fouet l'apprentissage de son père. (tel que : "arracher les cils de sa paupière gauche, mais sans crever son œil...", mais, hélas! sans réel succès... ce qui ne rebuta pas pour autant Riveur à persévérer)

Puis vint les temps obscurs où le savoir et la connaissance ne devaient plus se transmettre par des coups de triques mais par « la pédagogie éducative ».

A ses élèves, Riveur dit : « Le programme à fanzé. Un terme nouveau doit être abordé : l'éducafion. »

Kharambhar, trublion fanfaronard, leva son moignon (la semaine dernière, le jeune elfe eut le malheur de lever son doigt quand Riveur exécuta l'exercice « Sus aux mèches rebelles ») pour prendre la parole.
« Monsieur, on ne dit pas : *Aborder les Ducs à Fion* ; mais plutôt : *Rencontrer Sa Seigneurie de mon Cul*. »

Autant dépité que furieux, Riveur abandonna et s'en fût, seul, dans les contrées lointaines. Il prit toutefois le temps de délivrer une dernière tatane bien placée à Arawn, qui lui arracha l'oreille et le bras droit et tout en lui crevant son unique œil.

Les jours passèrent et Riveur sombra dans une grave dépression, en manque de violence.

Jusqu'au jour où il fit une improbable rencontre :
L'étranger : « Bonjour, je m'appelle Thaukar dit A-poil-la-dinde et je suis masochiste. »
« Bonzour, che m'appelle Riveur Zan-Balthazar dit le fléau d'Arawn et che fuis fadique. »

Et leur cœurs bâtirent à l'unisson.

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Légende féerique: Morgan

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La grammaire avec Kharambhar: Le pluriel de « Un Fléau »... Des Figures !!

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Le Prêtre d'Arawn.

Clan Luin, 10 ans plus tard.

Aveugle, manchot et à moitié sourd, Arawn Jan-Balthazar se serait bien passé de l'héritage de son père.

Le nécrite fut recueilli par des missionnaires clercs chargés de propager le culte du Dieu Unique.
Totalement dépendant, il ne se sentait libéré que lorsque son esprit voguait dans les méandres de ses songes.

Le jour, son quotidien était amour, partage et prières à l'Unique.
La nuit, ses rêves étaient morbides, violences et litanies à Loki.

Cette dichotomie s'insinuait avec malice dans l'esprit d'Arawn à tel point qu'il développait des symptômes de plus en plus prononcés d'une schizophrénie chronique.

Sa fiancée, Marie Honnête, s'inquiétait de ce changement brutal de personnalité qui n'avait de cesse de s'accentuer. Il ne sortait plus et passait tout son temps enfermé dans sa chambre.

En fait, Arawn ne luttait point contre la maladie. Au contraire, il la stimulait. Il mettait tout son cœur, toute son âme dans l'accomplissement de rêves... qu'il ne vivait plus comme de simples expériences oniriques.

Marie, à tout prix, veillait sur compagnon. Pour éviter qu'il ne sombre dans ses turpitudes solitaires, elle lui faisait la conversation autant que possible.
Arawn sortit de sa torpeur lorsqu'elle aborda un thème a priori anodin :

Marie : « Je crois qu'il y a un cirque qui s'est implanté dans la ville. J'ai vu un nécrite qui se promenait un fouet à la main... »

Pris d'une fureur frénétique, son pendant occulte, jusqu'alors fantasmagorique, se matérialisa dans la pièce.

Le spectre d'Arawn était déjà loin quand Marie se précipita vers son fiancé qui s'effondrait. L'esprit d'Arawn avait quitté son corps inerte.

Au détour d'une ruelle, un regard chimérique se posa sur le supposé dompteur.
L'homme : « Mon fils... qu'es-tu devenu? … Pardon, pardon... j'ai changé... »
Et Riveur enlaça son enfant, en pleur.
Le spectre embrassa son père. Frappé d'une mort subite, Riveur n'eût le temps de comprendre que ce baiser avait absorbé toute son énergie vitale.

Bruce, un ivrogne qui avait pris domicile la ruelle, ne releva pas la singularité de la scène.
Bruce lit le baiser mortel du nécrite comme un effet secondaire de sa dépendance à la bibine.

Arawn n'initia comme disciples que des infirmes libérés par un parricide. Ce qui explique sans doute, qu'aujourd'hui les prêtres d'Arawn aient quasiment disparu de Nevim.

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Légende : inconnu

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Chason d'Arawn branchée: « C'était la fille du Père Honnête,
J'étais le fils du Père Fouettard,
Elle s'appelait Marie Honnête,
Je m'appelais Jan-Balthazar. »
[…]Vint à sa rencontre, un homme possédé d'un esprit impur,
[…]Et Jésus lui demanda : " Quel est ton nom? "
Et le démon lui dit : " Mon nom est Légion, car nous sommes nombreux. "


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