BG de mon futur perso : Framby au delà de la resurection

L'histoire d'Amtenaël
framboise
Gros Nioubi
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BG de mon futur perso : Framby au delà de la resurection

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Une nouvelle vie, un nouveau combat, Framby au-delà de la résurrection !


Framboise, fils d’humain et l’on dit aussi d’une Muse, fut à la fois un héros, un poète et un sage. Un Barde, ami de la famille depuis toujours, l’avait initié tout jeune à la musique, et devenu très vite un maître dans cet art, il avait ajouté deux cordes aux sept cordes de la cithare. Ses accords sur cet instrument et sur la lyre étaient, dit-on, tellement merveilleux qu’ils charmaient jusqu’aux êtres insensible. Les bêtes féroces venaient se coucher à ses pieds ; les oiseaux, pour l’entendre, se penchaient ou se posaient dans les bois d’alentour ; les vents tournaient de son côté leur souffle ; les arbres se penchaient vers lui ; les rochers le suivaient en dansant.

On dit qu’il apaisa par les sons de sa lyre la mer houleuse et qu’il pouvait endormir le plus violent des dragons. On dit aussi qu’il fit un séjour sur de lointains continents pour en ramener des sons parfumés et inconnus…Mais le plus bel épisode est celui de sa descente au enfer.

Comme, le jour même des noces qui l’avaient uni à une naine nommée Aud, sa jeune femme, qui, après le festin, jouait dans un pré avec ses compagnes, avait été piquée au pied par une vipère et était tombée morte, il résolut d’aller la chercher chez les Ombres.

Il descendit, ayant pris sa lyre, par une porte des Enfers, celle qu’un ami du Barde, lui indiqua ; et, fendant la foule des fantômes, aborda le dieu du royaume des morts.

« O divinités du monde souterrain, leur dit-il – de ce monde souterrain où tous tant que nous sommes, nous les pauvres mortels, nous retombons un jour – je suis venu vers vous non pas par désir de voir ce paysage, ni pour combattre vos fidèles, mais pour revoir mon épouse perdue. Je n’ai pu me résigner à sa perte. L’Amour a été le plus fort, l’Amour, dieu tout-puissant, qui jadis vous poussa à ravir votre compagne. Au nom de l’Amour, je vous en supplie : par ces lieux que la peur remplit, par cet immense chaos, par ce muet royaume, renouez le fil coupé du destin d’Aud. Je sais que tôt au tard elle reprendra la route de ce commun séjour. Je le sais ; mais, pour toute faveur, je vous supplie de la laisser vivre son juste terme. Si vous repoussez ma demande, je resterai ici, car j’aime mieux être mort avec elle que de vivre séparé d’elle. »

Il parlait, et les cordes mélodiques de sa lyre rythmaient se paroles. Des âmes exsangues pleuraient. Les travaux, des bannis de notre monde, stoppaient. Et pour la première fois, les déesses du mal, dit-on, vaincues par le chant, laissèrent couler sur leurs joues des larmes.

Ni le démon ni sa compagne n’eurent le cœur d’opposer un refus à la prière de Framboise. Ils appelèrent Aud, qui vint, Ombre récente, d’un pas que retardait la blessure de son pied.

« Suivez Framboise, lui dit le roi des Ombres, suivez-le vers la Terre. Je mets une condition seulement à cette faveur unique, c’est que Framboise, qui ira devant, ne se retournera pas pour vous voir avant d’être sorti du royaume souterrain. »

Les voici donc qui montent en silence par un sentier abrupt et obscur. Ils approchaient déjà de l’issue vers la terre lorsque Framboise, tremblant que Aud ne le suivît, se retourna pour la voir. Il la vit, Hélas !!!! qui en tourbillonnant s’enfonçait à reculons dans le chemin parcouru. Il tenta de la retenir ; il n’embrassa qu’une ombre. Elle disparut à jamais dans le gouffre.

Il essaya alors, mais en vain, d’apitoyer de nouveaux les dieux. Pendant 7 jours et 7 nuits, on l’entendit gémir à la porte des enfers… Finalement il rentra dans son royaume, inconsolable, chantant du matin au soir, du soir au matin, cette épouse qu’il avait, et par 2 fois perdue.

Les femmes du royaumes, furieuses de se voir dédaignées, un jour où elles célébrées une fêtes locale, se retournèrent contre lui :
« Le voilà donc, dit l’une, celui qui nous méprise, ce veuf désespérant ! »
Et elle lança une aiguille à brodée au visage de Framboise, la pointe l’égratigna. Une autre saisit une pierre qui dans son trajet, vaincue par le concert de la voix et de la lyre, tomba aux pieds du poète… Mais les attaques des ces femmes redoublent de violence. Et comme leurs clameurs, leurs flûtes, leurs tambourins, leurs battements de mains ou leurs hurlements recouvraient le chant du poète, elles l’atteignirent enfin - son « charme » disparaissant – et elles le massacrèrent à coups de pierres, de mottes, de branches d’arbres, de herses. Lorsqu’elles l’eurent achevé, et que par cette bouche mélodieuse qui domptait autrefois les rochers et les bêtes l’âme le quitta, elles laissèrent son cadavre rougir le sol de sang.

Les oiseaux affligés, les bêtes sauvages, les bois, les forêts pleurèrent Framboise le chanteur. Les arbres, en signe de deuil, se dépouillèrent en été de leurs feuilles. Les fleuves aussi pleurèrent, et tellement que leurs larmes grossirent encore leur cours.

Les membres dispersés et une quantité infime de sang du mari de Aud furent recueillis par le Barde, ami de toujours.
On ne sait toujours pas par quels moyens, ce magicien a fait, mais l’esprit de Framboise, son âme, son cœur, ses pensées, étaient revenus dans ce corps lui ressemblant tout en étant celui d’une femme.
La douce et mélodieuse voix du Barde l’interpelle : « Framby, j’ai fait mon possible pour te redonner vie, tu n’as plus rien à faire sur cette terre en tant qu’Homme, ta tristesse masculine te perdra d nouveau. Tu es de retour sur cette Terre, pour accomplir se que tu dois faire, se qui est au fond de ton âme, je te quitte à présent »
Sur ces mots, le Barde disparût dans une Ombre clair et douce.

Framby, dans ce nouveau corps, de femme, timide et arrogante, faible et horriblement forte, belle et ténébreuse, aimante et haïssant, compris de quoi allait se faire son futur.
Elle fera son possible pour aider les gens s’aimant, détruite les créatures du malin qui l’ont prise au piège.
Elle appris donc, tant bien que mal, la magie et ses subtilités.

Framby fera à présent le bien au Bien et combattra de toutes ses nouvelles forces, les corps qui traduisent, la présence des ténèbres.


« Tremblez vils créature du mal, mon corps est d’une beauté irrésistible, mais mon cœur est encore lourd de souffrance et mon âme à soif de votre sang, vous m’avait testé, je reviens dans l’Ombre éteindre le peu de lumière qui vous reste, TREMBLEZ »


Mélange d'état d'âme, de mythologie....

Framboise mort si Framby est crée
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