[BG]Georcyn, la prostituée ( partie 1)

L'histoire d'Amtenaël
KillerBoB
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[BG]Georcyn, la prostituée ( partie 1)

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Introduction à l’histoire de Georcyn




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Chers amtenaeliens,
Depuis quelques temps une prostituée du nom de Georcyn parcourent les terres bénites d’Amtenael afin d’apporter plaisirs et désirs au âmes en peine errantes. Ses services ne sont pas très coûteux. En voici une liste :
-Paroles érotiques, accolades et baisers – 15 pièces d’or
-Acte sexuel – 30 pièces d’or
-Pipe – 40 pièces d’or
-Positions sexuelles moyennes – 60 pièces d’or
-Position sexuelles avancées – 75 pièces d’or

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Bonjour m’sieurs dames, me v’ici sur Amtenael depuis un p’tit moment. Mon histoire n’est pas très compliquée mais j’voulais vous en faire un p’tit récit. Il va comme suis :

Je bondis de mon lit en distinguant le chant du coq. Il était six heures et quelques lurettes et je n’étais guère très réveillée. Mes paternels étaient déjà à l’extérieur et je pouvais entendre le bruit métallique de notre vieille araire. Ce fut d’abord le cri perçant de ma vieille maman qui fit sonner ma cloche et j’enfilai en un tour de main ma toge. Je dévalai les marches de la grange et j’aperçus ma mère me lancer un regard si perçant que j’en fut intimidée.

-Cela fait un certain moment que j’tai dis d’enfiler ta poche de p’tate et de venir donner un coup d’main à ton paternel.

-Désolé mère, j’vous désobéirai plus.

-Allez va ton père s’impatiente.

-Oui m’man.

Je n’avais point la vie dont j’aurais rêvée d’avoir. N’étant point riches, mes parents ont néanmoins réussis à se procurer une vieille baraque non loin du Quartier résidentiel. Je n’avais que huit ans mais je projetais déjà de devenir une grande guerrière. Ma grand-mère me racontait tout le temps des histoires sur les preux chevaliers qui venaient sauver leurs princesses mais je n’avais guère la tête à me ridiculiser en longues robes de tissus. Donc, j’essayai de développer mes aptitudes physiques mais étant une damoiselle, mon paternel ne portait aucune importance à m’apprendre ‘‘l’art de la ferme’’ et encore moins de me donner une pitence. Il me disait d’ailleurs :
Vous les femmes v’êtes faites pour préparer l’repas c’est tout! Et puis j’ne vois pas l’utilité d’vous apprendre comment faire puisque v’êtes toutes faibles.

Mais un jour, peu après la mort de mes deux frères, il dut me confier ses secrets et m’initier à ce fameux ‘‘art de la ferme’’. Contrairement à ses croyances, j’appris rapidement et je fus bientôt une vraie habituée. Bientôt je fus en âge d’apprendre les techniques de combat. Alors âgée de 14 ans, mon paternel m’enseigna quelques principes de bases. Ces techniques m’avaient littérallement emballées et je devins une adepte.

Des mois passèrent et bientôt des années mais, jamais mes parents m’autorisèrent le départ de mon chez-moi. Il me disaient toujours qu’ils avaient besoin de moi et qu’ils ne pouvaient se passer de mes services. Alors j’attendis jusqu’au jour ou je me promenais dans les fiefs quand j’aperçus ma mère allongée sur le sol, nue et avec un autre homme que mon père! Je distinguai bientôt le son d’un autre puis une autre femme. La vérité me sauta au yeux; le boulot de ma mère était en fait celui d’une prostituée et donc tous ces soirs ou j’entendais ma maternelle hurler qui me rassurait toujours disant : - Mais voyons, c’est qu’un cauchemar Georcyn, un cauchemar alors file te recoucher! Ces paroles insensées étaient des salades, que des salades!


Bouleversée, je pris mes jambes à mon cou et dévalai les fiefs vaseux en sanglotant et trébuchant. Chez-moi, je rassemblai mes affaires et je pris un vieux bout de tissus ainsi qu’un bâton et j’en fis mon baluchon .


Une belle lurette après ces événements morbides, j’errais toujours sur des terres inconnues et c’est alors, un bon matin d’automne, que je découvris une cité gigantesque. Sur l’écriteau, il y était indiqué : Albion, un mile. Je compris que c’était la chance tant attendue. Ma grand-mère m’avait souvent racontée qu’il existait trois grand royaumes qui combattaient pour leur patries : Albion, Hibernia et Midgard. Je sautai de joie et je m’aventurai dans la dernière mile me séparant de mon paradis. Deux gardes costauds en armures scintillantes m’interceptèrent et me dirent :
-Oh voyageuse, que venez-vous faire dans la belle cité Albionnaise?
Je mâchais mes mots et je bafouillais énormément mais je réussis tant bien que mal à sortir une phrase on peu plus compréhensible :
-BonsoirM’sieurs,J’SuisGeorcynDuQuartierRésidentielEtJ’AimeraisDevenirGuerrière.

Les gardes me dévisagèrent et l’un d’eux éclata de rire. L’autre tant qu’à lui m’observa un instant puis me suggéra :

-Bien, je vois, c’est toujours pratique une guerrière de plus en nos rangs mais je ne puis vous renseigner plus que cela. Il y a un fort là-haut (il me pointa la colline) et je pense que vous pourriez trouver un maître qui puit vous renseigner. Dans ce cas, je vous souhaite bonne chance!

Il marmonna quelques jargons à son compagnon et tous deux s’éloignèrent sans se retourner.
Cela me prit quelques temps avant de réaliser que mon souhait était au point d’être exhaussé. J’attrapai mon baluchon et je me mit en route vers le château sublime. En route, je détournai mon regard sur un couple de guerriers qui semblaient se pratiquer à l’épée. Mon attention fut alors complètement détournée sur ces deux personnages et j’allai leur poser une question.

-Bonsoir! J’aimerais savoir ou je puis peaufiner l’art du combat?

-Eh bien ma p’tite d’moiselle vous tombez sur une élite en la matière. Je suis maîtresse des armes et je maîtrise parfaitement le corps à corps sous toutes ces formes. D’abord, prenez cette épée et montrez-moi ce que vous savez faire.

Je pris la lame luisante en tremblant de tous mes membres. La grand dame m’expliqua le fonctionnement d’un combat et nous commençâmes le réchauffement.

La guerrière fut complètement ébahie de la manière dont je maniais l’épée. Elle était si absorbée par le moindre de mes mouvements et gestes qu’à la suite d’un de mes coups, elle échappa son épée sur le sol brumeux.

-W...Wow! Je...je n’ai jamais vu dans t’ute ma carrière une femme aussi combative que vous! Quel est votre nom?

-Georcyn m’dame.

-Eh bien Georcyn je vous souhaite la bienvenue dans le camp des maîtres d’armes, si vous acceptez je vous enrôle dès maintenant! Suivez-moi.

Je suivis la jeune dame dans une maison assez bien rangée qui appartenait sûrement à un noble seigneur.

-Georcyn, voici la demeure des maîtres d’armes, c’est ici que vous apprendrez toutes les techniques de combat. À chaque fois que votre rendement aura été satisfaisant, je vous accorderai un cycle d’entraînement. Je ne vous garantie pas la simplicité, mais bien l’efficacité! Cet entraînement commence dès maintenant et voici votre épée ainsi que votre bouclier!

-M…Merci m’dame! Comment puis-je vous remercier?!

-Eh bien va! Et surtout bonne chasse!

Ma respiration était saccadée et je ne sentait plus mon cœur tellement ses battements étaient forts et rapides. J’observai autour de moi et je vis d’autres guerriers et bientôt des mages qui semblaient s’entraîner près d’une pierre grouillante de serpents.

-Que la chasse commence! M’exclaffai-je!


C’est ici que ce termine l’introduction à mon histoire et depuis mon enrôlement dans les maîtres d’armes, je n’ai plus touchée à mon carnet de notes.

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Mon BG n’est pas fini bien sur, l’histoire de la prostituée que Georcyn deviendra plus tard apparaîtra bientôt dans ce même article.

Pendant ce temps, j’espère que mon BG ne brusquera pas trop certaines personnes alors postez vos commentaires merci! :)
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