[BG] Adalrik

[Jackoneill]

ADALRIK

Le Troll maudit

Adalrik est né il y a de ça 300 ans dans les régions montagneuses de Midgard, après avoir passé son enfance dans le froid glacial et la neige immaculée, il fut recueilli par un chevalier qui errait dans les montagnes.
Ce chevalier l’emmena par delà les mers et les montagnes, à Camelot, la ville du Roi Arthur et de ses chevaliers de la table ronde.
A Camelot, Adalrik apprit les Us et Coutumes humaine, la langue des hommes mais aussi l’écriture.
Il été passionné par la manipulation des haches, et est devenu le meilleur bûcheron de Camelot, mais aussi un combattant des plus réputés.
Mais un jour, il décida de retourner dans la région de Midgard, pour retrouver les siens.
Quelle fut sa surprise lorsqu’il constata que, devenu à demi humain, il fut rejeté par ses compatriotes qui le bannirent définitivement des montagnes.
Désormais, Adalrik ère dans la région de Midgard, prés des humains qui sont la seule famille qu’il n'ai jamais eue.

Première Partie

La neige, magnifique et étincelante parmi les montagnes de Midgard ;rochers s’élevant au-delà des nuages, paysage semblable à une feuille de papier sur laquelle sont écrits les plus beaux de tous les vers.
Ce pays lointain berçait mon enfance de Troll.
J’étais le dernier d’une lignée de dix garçons et cinq filles, grande famille au visage bleuté, tel le ciel pur des montagnes qui nous entouraient.
J’ai passé une enfance des plus banale, chassant parfois le gibier des montagnes ou bien passant simplement des moments sur les sublimes falaises des monts enneigés.
L’événement le plus important de ma vie arriva le jour de mon deux centième anniversaire.
En effet, j’allais nonchalamment le long des falaises blanches à la recherche de mon dîner quand tout à coup, j’entendit sonner un cor d’un son royal dans la tempête qui s’élevait.
Je me dirigeais alors vers ce bruit majestueux avec peine car il sembla s’éloigner de plus en plus.
Après des milles de marche, j’entendit alors une voix haute et grave qui parlait dans une langue que je ne connaissait pas alors à l’époque, mais que je peux aujourd’hui comprendre.
Un chevalier s’adressait alors à sa compagnie :
- J’ai trouvé un Troll par là bas, ce doit être lui qui nous suis depuis tant de milles !
- Je le veux vivant ! , répondit une voix puissante et grave.
C’est alors qu’en un instant je me retrouvai encerclé par deux chevaliers, je tirai ma hache de guerre de mon fourreau afin de livrer bataille, mais un des chevaliers m’adressa la parole dans ma langue natale à ma grande surprise :
- Nous ne te voulons aucun mal, dit-il.
- Nous cherchons un Troll à amener à Camelot avec nous, continua-t-il.
- Nous suivra tu ?
Je les suivais donc sans résistance jusqu'à ce sublime bastion qu’est Camelot…




Deuxième partie

Camelot, sublime ville entourée de remparts interminables, remparts qui dépassent au moins trois fois ma taille, une impression de puissance se dégage de cette ville majestueuse, bastion des chevaliers de la table ronde et du roi Arthur.
Arthur le pourfendeur des ténèbres qui arracha Excalibur de la pierre afin de gagne le pouvoir suprême et fonder Camelot ainsi que la table ronde, composée des plus vaillants chevaliers de tout le royaume.
Harassé par l’impression de puissance de Camelot, je me sentais obligé de rentrer la tête haute fier de faire partie de cet univers magique et chevaleresque.
Dés mon arrivé dans ce royaume, on m’amena voir mes quartiers qui se situaient près du château, avec les chevaliers de la table ronde.
C’était une grande chambre où un feu crépitait de milles étincelles dans une cheminée faite de pierres issues de mes montagnes natales, l’odeur du bois brûlant dans l’antre de pierre parcourait la pièce, ce qui donnait une impression de chaleur intense et qui me donna vraiment envie de rester à jamais en ces lieux.
Le minimum vital pour un humain était réuni en ces lieux, des meubles que je n’avais alors jamais vus étaient entreposés dans cette immense pièce : un lit si grand qu’il pourrait contenir aux moins deux de mes congénères, un râtelier fait spécialement pour des haches que je sais manipuler avec aisance, une sublime armoire faite de bois de cèdre afin d’y ranger mes divers habits ou d’autres choses encore, un cor royal en ivoire y est entreposé dans une vitrine de cristal sur un socle d’or, pour rappeler l’appartenance au roi Arthur, et aussi pour les grandes guerres de chevaliers, qui font tout l’honneur de Camelot et de ceux de la table ronde.
Sur un chevet en pin était entreposé une chandelle ainsi qu’une bible et un crucifix, car pour les habitants de Camelot, la religion est très importante et la quête du Saint Graal est leur travail.
Après avoir visité ces lieux magique, on m’amena voir le roi afin de m’entretenir avec lui….

Troisième partie

J’arrivait devant cette immense demeure, le plus beaux de tous les châteaux du monde, des murs immense en pierres sculptées, voila une forteresse qui impressionnerait mêmes les plus grands rois de la planète.
Il était osé sur un tertre vert entouré par une douve, lorsque j’arriva l’immense porte en bois s’abaissait, grinçant fortement, pour me laisser le passage vers l’intérieur du château.
Après avoir passé le pont de bois que formait désormais la porte, une grande grille en acier se souleva jusqu’au sommet de la tour.
Une porte avec des gravures représentant les diverses armoiries du roi se tenait derrière la grille, elle s’ouvra vers l’intérieur pour laisser place à la marche des personnes qui pénétraient dans le château.
L’intérieur du château surpassait de beauté l’extérieur, et le velours, l’or, l’argent et divers bijoux emplissait de toute part les couloirs du château.
Le tapis rouge était déroulé sur tous les sols du château, les tableaux de différents monarques étaient suspendus sur les murs des couloirs interminables.
J’entrait alors dans la pièce où se situait le trône, la plus belle pièce du château, où étaient exposées les armes du royaume ; le trône était posé sur le fond de la pièce au milieu d’un piédestal de quelques marches, il était énorme et semblait pouvoir contenir au moins deux foi le roi Arthur ; a sa droite, il y avait un plus petit trône, celui de la reine certainement.
Le roi se tenait là, assis sur son trône, sa couronne brillait de milles feux, elle était faite d’or sculpté et de diamants posées avec précaution.
Sur la gauche du trône se trouvait Excalibur, posée sur un socle horizontalement, elle brillait de tout son métal et semblait si majestueuse que je ne pu rien dire pendant un moment, subjugué par la beauté d’une telle arme.
Le roi s’adressa alors à moi dans ma langue ce qui me surpris beaucoup :
- Alors voila le Troll dont on m’a tant parlé ! dit-il.
- Bonjour à toi, dont je ne connais pas encore le nom. Ajouta t il.
- Je me prénomme Adalrik, mon bon roi. Lui repondit-je.
- Adalrik, voila un nom bien étrange, dit-il d’un ton étonné.
- Bienvenue à Camelot, Adalrik, ajouta t il d’un ton bien accueillant, te voila dans la plus grande ville du royaume.
- Nous avons besoin de nouvelles recrues dans le royaume, des recrues solides, termina t il d’un ton plus sérieux.
- Très bien, je ne suis pas contre aider votre royaume, lui répondit-je.
- Tu passera quelques années dans les meilleures écoles de Camelot, afin d’apprendre notre langue. Ensuite, tu iras vers les meilleurs maîtres d’armes de Camelot et tu apprendras à manipuler l’épée, le marteau, la hache et bien d’autre armes. Après cela, tu pourras enfin faire partie des chevaliers de Camelot. Va désormais en paix, Adalrik et fait bon usage de l’enseignement que je te donne.

Sur ces paroles, je me retirai dans mes appartements afin de me reposer de ce bien long voyage que j’avais fait…

Quatrième partie

Après une bonne nuit de repos, je me réveillais dans mes appartements, et je me préparais à vivre ma première journée en tant qu’apprenti chevalier de Camelot.
Une foule immense, semblable à une fourmilière, serpentait au travers des rues.
Malgré le nombre impressionnant de personnes présentes, la circulation s’avérait plutôt facile et je me dirigeais vers l’école afin de prendre mes premiers cours d’anglais.

(NB : Malgré le récit en français, n je rappelle que nous sommes en Angleterre de Camelot, c’est pour cela que mon héros apprend l’anglais et non le français ; Malgré cela, le récit restera totalement en français pour les non anglophones)

L’école de Camelot où l’on m’avait envoyé se trouve être l’université, bâtiment impressionnant de longueur, sûrement un bon demi miles, de l’extérieur ce bâtiment ressemble étrangement a une énorme bibliothèque de savoir.
Les vitres des salles de cours luisaient au soleil brillant du matin clair de Camelot, et j’entra alors dans ce bâtiment par la porte principale faite de bois sculpté avec différentes références au savoir tels que des livres ou encore des vieux parchemins.
Le couloir principal était carrelé d’un magnifique marbre noir et blanc, et les portes des salles de cours étaient faites de cèdres vermillon, on pouvait voir à l’intérieur grâce à des fenêtres donnant sur le couloir principal.
Une salle de cours m’était réservée et un professeur de lettre m’y attendait afin de m’enseigner l’anglais.
Cette salle était emplie de table d’universitaires ainsi que de chaises comme toutes les salles de l’université, il y avait un tableau noir derrière le bureau du professeur qui était situé sur une estrade de bois, les traces de craies récemment effacées subsistaient sur le tableau, ainsi que l’alphabet écrit à la fois en majuscule et en minuscules, dans une jolie écriture soignée.
Le professeur se tenait debout sur son estrade, impressionnant de grandeur grâce à son piédestal, bien qu’il ne me dépasse pas, je sentais son pouvoir de domination sur moi, et je m’asseyais silencieusement et respectueusement.
Il s’adressa tout d’abord a moi dans ma langue natale :
- Bienvenue a vous, Adalrik, je suis votre professeur de lettres anglaises, j’espère pouvoir vous donner le meilleur enseignement possible ; dit-il sur un ton posé et calme.
- Je vous écouterais attentivement et ferai de mon mieux afin d’apprendre votre langage, monsieur ; lui dit-je.
- Très bien alors commençons sans plus tarder.

Et je commença mon premier cours d’anglais, il dura jusqu'à midi, puis j'alla déjeuner et je revins l’après midi afin de continuer ce cours captivant, qui m’apprit beaucoup de choses sur la langue anglaise.
Après deux semaines de cours intensifs, je maîtrisai enfin la langue anglaise, et je m’apprêtais à me rendre dans l’école de chevalerie afin de suivre un enseignement auprès d’un maître d’arme réputé.
Mais j’alla d’abord remercier le bon vieux professeur qui m’appris tant de choses :
- Merci a vous, monsieur ; lui dit-je dans la nouvelle langue que j’avais appris.
- C’est vous que je remercie, j’ai beaucoup appris de la culture Troll grâce à vous, monsieur, dit-il d’un ton gratifiant.
- J’espère que l’on se reverra un jour, professeur, d’ici la, je vous souhaite une bonne continuation.
- A vous aussi, mon ami, vous deviendrez un grand chevalier, je pense.

Puis, je partis enfin me reposer dans mes appartements avant de commencer le lendemain mes enseignements de chevalier…

Cinquième partie

Comme chaque jour, Camelot était bien animé et la foule serpentait dans les rues de la ville.
Je me dirigeai vers l’école de chevalerie, afin de prendre ma première leçon avec mon maître d’arme.
Une caserne énorme accueillait les chevaliers dans leur entraînement quotidien, sous les apparences d’un château fort avec quatre tours aux quatre coins du bastion.
Le tout était fait de pierres grises et la porte monumentale était de chêne sculpté avec les armoiries des chevaliers.
Elle s’ouvrirent dans un grincement métallique vers l’intérieur, pour laisser place à une cour faite de sable blanc tassé tel un cirque romain.
J’entrais alors dans cette bâtisse, fier et droit comme le plus grand des chevaliers.
Dans l’arène centrale, les chevaliers s’entraînaient en s’entre combattant les uns les autres, a l’épée, au marteau, a la hache, et a bien d’autres armes encore.
Je trouvais alors mon maître d’arme, attendant mon arrivée, il avait, à coté de lui, un râtelier sur lequel on avait disposé plusieurs armes à une ou a deux mains.
Il avait la prestance des grands chevaliers de camelot, portant ses armoiries fièrement, se tenant droit comme la loi avec son épée attachée sur le coté.
Il se présenta à moi a la manière des plus grands chevaliers :
- Je suis Oradir Thenandil, pourfendeur du dragon des mers, du clan des Thenandil, chevaliers de Camelot de père en fils. Dit-il sur un ton assuré.
- Je suis Adalrik, Troll des montagnes, nouvel apprenti Chevalier de camelot. Lui répondit-je.
- Bienvenue à toi l’ami, grâce à moi tu va apprendre le maniement des armes et la science du combat.
- Je suis prêt à suivre vos enseignements messires, dit-je d’un ton respectueux.
- Très bien nous allons donc pouvoir commencer.

J’ai donc ainsi commencé mon entraînement a la manipulation des armes, après un an passé avec le maître d’arme, j’étais devenu l’un des combattants les plus féroces de tout Camelot, et je m’apprêtais à rendre ma visite de fin de formation auprès du roi afin qu’il m’adoube Chevalier de Camelot…

[JeannotLapin]

Sur le site officile d daoc tu trouveras leur histoires mais elle ne sont pas toujours tres coherentes, et pas en accord avec le BG du serveur, inspire toi plutot de celui-ci pour creer ton propre BG.

[Jackoneill]

ok merci

[Jackoneill]

hmmm sinon a quand le BG complet de amtenael ??
si c trop long je fait un BG moi meme mais apres yaura de soucis de coherences ak l'histoire du srv donc ....

[enkilak]

hmmm sinon a quand le BG complet de amtenael ??
si c trop long je fait un BG moi meme mais apres yaura de soucis de coherences ak l'histoire du srv donc ....

Hermès travaille présentement sur le reste du BG. Cependant, la vraie histoire d'Amtenael est conu de très peu de gens, voir aucun. (Si on parle de la création du monde) Si tu veux savoir ce qui s'est passé dernièrement, je te conseille d'aller faire un tour dans la section Roleplay et d'y lire les différents messages. Sinon, un BG est quelque chose de personnel et tu n'as pas réellement besoin de savoir tout ce qui s'est passé pour te faire ta propre histoire.

Bonne chance et bon jeu!

[Sarek]

Tu peux aussi créer ton propre BG et ensuite le modifier si c'est nécessaire

[Jackoneill]

ADALRIK

Le Troll maudit

Adalrik est né il y a de ça 300 ans dans les régions montagneuses de Migdar, après avoir passé son enfance dans le froid glacial et la neige immaculée, il fut recueilli par un chevalier qui errait dans les montagnes.
Ce chevalier l’emmena par delà les mers et les montagnes, a Camelot, la ville du Roi Arthur et de ses chevaliers de la table ronde.
A Camelot, Adalrik apprit les Us et Coutumes humaine, la langue des hommes mais aussi l’écriture.
Il été passionné par la manipulation des haches, et est devenu le meilleur bûcheron de Camelot, mais aussi un combattant des plus réputés.
Mais un jour, il décida de retourner dans la région de Midgar, pour retrouver les siens.
Quelle fut sa surprise lorsqu’il constata que, devenu à demi-humain, il fut rejeté par ses compatriotes qui le bannirent définitivement des montagnes.
Désormais, Adalrik ère dans la région de Midgar, prés des humains qui sont la seule famille qu’il n'ai jamais eue.

[Ygernia]

bon début , etoffe ça, développe un peu tu verras, tu pourras arriver à une histoire passionnante!

[Jackoneill]

Première Partie

La neige, magnifique et étincelante parmi les montagnes de Midgard ;rochers s’élevant au-delà des nuages, paysage semblable à une feuille de papier sur laquelle sont écrits les plus beaux de tous les vers.
Ce pays lointain berçait mon enfance de Troll.
J’étais le dernier d’une lignée de dix garçons et cinq filles, grande famille au visage bleuté, tel le ciel pur des montagnes qui nous entouraient.
J’ai passé une enfance des plus banale, chassant parfois le gibier des montagnes ou bien passant simplement des moments sur les sublimes falaises des monts enneigés.
L’événement le plus important de ma vie arriva le jour de mon deux centième anniversaire.
En effet, j’allais nonchalamment le long des falaises blanches à la recherche de mon dîner quand tout à coup, j’entendit sonner un cor d’un son royal dans la tempête qui s’élevait.
Je me dirigeais alors vers ce bruit majestueux avec peine car il sembla s’éloigner de plus en plus.
Après des milles de marche, j’entendit alors une voix haute et grave qui parlait dans une langue que je ne connaissait pas alors à l’époque, mais que je peux aujourd’hui comprendre.
Un chevalier s’adressait alors à sa compagnie :
- J’ai trouvé un Troll par là bas, ce doit être lui qui nous suis depuis tant de milles !
- Je le veux vivant ! , répondit une voix puissante et grave.
C’est alors qu’en un instant je me retrouvai encerclé par deux chevaliers, je tirai ma hache de guerre de mon fourreau afin de livrer bataille, mais un des chevaliers m’adressa la parole dans ma langue natale à ma grande surprise :
- Nous ne te voulons aucun mal, dit-il.
- Nous cherchons un Troll à amener à Camelot avec nous, continua-t-il.
- Nous suivra tu ?
Je les suivais donc sans résistance jusqu'à ce sublime bastion qu’est Camelot…

[Ygernia]

encore, la suiteuuuuuuh!!!

[Jackoneill]

encore, la suiteuuuuuuh!!!

attends un peu je suis pas une usine a écrire ^^"
surtout quand on sais que mon taff c'est ingénieur en informatique ^^"

PS: j'ai rien dit , aprés 10 min posés sur word je post la deuxieme partie ^^"

[Jackoneill]

Deuxième partie

Camelot, sublime ville entourée de remparts interminables, remparts qui dépassent au moins trois fois ma taille, une impression de puissance se dégage de cette ville majestueuse, bastion des chevaliers de la table ronde et du roi Arthur.
Arthur le pourfendeur des ténèbres qui arracha Excalibur de la pierre afin de gagne le pouvoir suprême et fonder Camelot ainsi que la table ronde, composée des plus vaillants chevaliers de tout le royaume.
Harassé par l’impression de puissance de Camelot, je me sentais obligé de rentrer la tête haute fier de faire partie de cet univers magique et chevaleresque.
Dés mon arrivé dans ce royaume, on m’amena voir mes quartiers qui se situaient près du château, avec les chevaliers de la table ronde.
C’était une grande chambre où un feu crépitait de milles étincelles dans une cheminée faite de pierres issues de mes montagnes natales, l’odeur du bois brûlant dans l’antre de pierre parcourait la pièce, ce qui donnait une impression de chaleur intense et qui me donna vraiment envie de rester à jamais en ces lieux.
Le minimum vital pour un humain était réuni en ces lieux, des meubles que je n’avais alors jamais vus étaient entreposés dans cette immense pièce : un lit si grand qu’il pourrait contenir aux moins deux de mes congénères, un râtelier fait spécialement pour des haches que je sais manipuler avec aisance, une sublime armoire faite de bois de cèdre afin d’y ranger mes divers habits ou d’autres choses encore, un cor royal en ivoire y est entreposé dans une vitrine de cristal sur un socle d’or, pour rappeler l’appartenance au roi Arthur, et aussi pour les grandes guerres de chevaliers, qui font tout l’honneur de Camelot et de ceux de la table ronde.
Sur un chevet en pin était entreposé une chandelle ainsi qu’une bible et un crucifix, car pour les habitants de Camelot, la religion est très importante et la quête du Saint Graal est leur travail.
Après avoir visité ce lieux magique, on m’amena voir le roi afin de m’entretenir avec lui….

[Ygernia]

(encore!!!)

[Jackoneill]

*fegnassio lance une attaque flemme sur Jackoneill*
demain ...

[Jackoneill]

Deuxième partie

J’arrivait devant cette immense demeure, le plus beaux de tous les châteaux du monde, des murs immense en pierres sculptées, voila une forteresse qui impressionnerait mêmes les plus grands rois de la planète.
Il était osé sur un tertre vert entouré par une douve, lorsque j’arriva l’immense porte en bois s’abaissait, grinçant fortement, pour me laisser le passage vers l’intérieur du château.
Après avoir passé le pont de bois que formait désormais la porte, une grande grille en acier se souleva jusqu’au sommet de la tour.
Une porte avec des gravures représentant les diverses armoiries du roi se tenait derrière la grille, elle s’ouvra vers l’intérieur pour laisser place à la marche des personnes qui pénétraient dans le château.
L’intérieur du château surpassait de beauté l’extérieur, et le velours, l’or, l’argent et divers bijoux emplissait de toute part les couloirs du château.
Le tapis rouge était déroulé sur tous les sols du château, les tableaux de différents monarques étaient suspendus sur les murs des couloirs interminables.
J’entrait alors dans la pièce où se situait le trône, la plus belle pièce du château, où étaient exposées les armes du royaume ; le trône était posé sur le fond de la pièce au milieu d’un piédestal de quelques marches, il était énorme et semblait pouvoir contenir au moins deux foi le roi Arthur ; a sa droite, il y avait un plus petit trône, celui de la reine certainement.
Le roi se tenait là, assis sur son trône, sa couronne brillait de milles feux, elle était faite d’or sculpté et de diamants posées avec précaution.
Sur la gauche du trône se trouvait Excalibur, posée sur un socle horizontalement, elle brillait de tout son métal et semblait si majestueuse que je ne pu rien dire pendant un moment, subjugué par la beauté d’une telle arme.
Le roi s’adressa alors à moi dans ma langue ce qui me surpris beaucoup :
- Alors voila le Troll dont on m’a tant parlé ! dit-il.
- Bonjour à toi, dont je ne connais pas encore le nom. Ajouta t il.
- Je me prénomme Adalrik, mon bon roi. Lui repondit-je.
- Adalrik, voila un nom bien étrange, dit-il d’un ton étonné.
- Bienvenue à Camelot, Adalrik, ajouta t il d’un ton bien accueillant, te voila dans la plus grande ville du royaume.
- Nous avons besoin de nouvelles recrues dans le royaume, des recrues solides, termina t il d’un ton plus sérieux.
- Très bien, je ne suis pas contre aider votre royaume, lui répondit-je.
- Tu passera quelques années dans les meilleures écoles de Camelot, afin d’apprendre notre langue. Ensuite, tu iras vers les meilleurs maîtres d’armes de Camelot et tu apprendras à manipuler l’épée, le marteau, la hache et bien d’autre armes. Après cela, tu pourras enfin faire partie des chevaliers de Camelot. Va désormais en paix, Adalrik et fait bon usage de l’enseignement que je te donne.

Sur ces paroles, je me retirai dans mes appartements afin de me reposer de ce bien long voyage que j’avais fait…